[Terminé] Des retrouvailles un jour de fête, qui dit mieux ? [PV Altair]

Le temps a bien passé depuis l'époque de nos rondes.

Nous avions finalement retrouvé un semblant de calme, chacun partit faire on ne sait quoi, nous laissant seuls. Je ne m'attendais vraiment pas à revoir Altair ou Shizuka, ici, à Yôkai. Et pourtant, ils étaient là, à ma grande surprise, mais surtout à mon grand bonheur. Mon rêve se réalisait donc, moi qui n'avais eu de cesse d'espérer de retrouver les personnes chères à mon coeur, mes amis d'autrefois, qui, plus que ça, avaient été une seconde famille. Tout sourire, je regardais mon collègue.

- C'est bon de te revoir, Altair. Que deviens-tu depuis la fin de nos études ? Toujours avec Mirajane ? Il me semble qu'il y a une petite Seiumi sur la liste des élèves...

Je terminais mon verre de thé glacé, ne tordant pas à m'en servir un autre en observant ce qu'il se passait aux alentours. Tout le monde dansait, jouait, bavardait. Certains élèves se livraient même à une bataille d'eau dans un coin. Tant qu'ils n'approchaient pas, tout irait bien. Mon regard s'attarda sur les gens qui se déhanchaient devant la scène, puis sur Altair, et enfin sur mon verre que j'agitais doucement.

- J'espérais tellement revoir mes amis d'autrefois en venant ici, que j'ai du mal à croire que ce n'était pas un espoir dans le vent... Enfin. A nos retrouvailles et à l'année à venir, cette fois en tant que professeurs !

Sur ces mots, je levais mon verre en souriant, puis buvais une gorgée, tout en me demandant ce que nous allions bien pouvoir faire.

Le temps avait changé les êtres et l'un de ceux sur lesquels il avait eu le plus d'influence n'était autre que moi. Je regardais ma collègue avec douceur après que les autres se soient éparpillés pour profiter des festivités. J'avais vidé mon verre de jus de tomate un peu contre mon gré, renversé par terre tout à l'heure. Je pris le gobelet et le mis dans une poubelle, avant d'en prendre un autre et de me servir un bon thé glacé pour me changer les idées. J'écoutais Yûki me questionner et répondis avec douceur.

- En effet Yûki, je suis toujours avec Mira et même si cela peu paraitre présomptueux, notre amour reste toujours aussi fort l'un pour l'autre. Et de notre union est née notre fille Rima qui fait partie des élèves cette année. Elle a la beauté de sa mère et le caractère de son père.

Je portais un moment mon attention sur la scène, mes hanches bougeant doucement au rythme de la musique, même si je ne pouvais plus danser à cause de ma jambe. Bien que j'avais pris quelque chose pour que je puisse marcher sans ma canne, cette dernière était raide, comme qui dirait morte, car même si j'arrivais à marcher, elle ne répondait plus, elle était un sacrifice que j'avais du faire pour le bonheur de ma famille. Je la remarqué qu'elle voulait porter un toast et je répondis d'une voix douce.

- A nos retrouvailles et à cette année à venir. En parlant de professeur, j'ai déjà une petite protégée, tu la connais fort bien, c'est ta fille Himeka. Je l'ai croisée alors qu'elle s'était perdue dans la forêt et on a fait connaissance.

Je sourit doucement et posais mon verre sur la table, pour m'appuyer avec douceur sur cette dernière. Ma jambe ne me faisait plus mal mais je ne voulais pas forcer de trop dessus.

- Si tu ne le sais pas, j'ai sacrifié les nerfs de ma jambe pour sceller mes pouvoirs, pour ne pas blesser ma famille même par accident. Je ne suis plus aussi impressionnant qu'avant, je ne suis plus qu'une personne avec de bons pouvoirs de régénération, mais c'est tout, et toi quoi de nouveau ?

Et jamais il ne cessera de nous filer entre les doigts.

Je le regardais se resservir un verre, puisque l'autre avait fini renversé par la forte des choses, souriant légèrement. Ce jeune homme qui avait été l'un de mes collègues au comité, du temps de nos études. Ces retrouvailles me rendaient fort nostalgiques, de cette époque où Shizuka m'avait nommée bras droit, à ma grande surprise. A présent, j'en venais à me demander de qui était composé le nouveau comité... Il faudra peut-être que je pense à aller faire un tour dans leur quartier, pour voir le mur sur lequel étaient affichés les photos de tous les chefs et bras-droits depuis qu'existait le comité.

Il parla alors d'une voix douce, m'informant qu'il filait toujours le parfait amour avec Mirajane et qu'ils étaient à présent les heureux parents d'une jeune fille nommée Rima. Ce nom me revint, je l'avais bel et bien vu sur les listes des élèves de cette année. Tous comme d'autres qui m'avaient bien surprise.

- Tu me vois ravie que vous soyez heureux, Mira et toi. J'aimerais bien la revoir, elle aussi. Compte-t-elle parmi les membres du personnel de cette année ? Je n'ai pas vraiment pris le temps de consulter la liste de nos collègues... Et votre fille est en classe Red, il me semble, n'est ce pas ? Une petite aux cheveux et yeux bleus, tout comme toi ?

Je ne pu m'empêcher de me déhancher très légèrement sur la musique moi aussi, j'aurais dansé avec plaisir, mais pas au milieu de tous ces gens... Je n'avais jamais vraiment aimé avoir de l'attention braquée sur moi ou trop de louanges qui me gênaient à coup sûr. Il porta un toast à son tour, et je souris à la suite de ses paroles. Donc, il avait rencontré ma fille aîéne.

- Elle est très gentille, quand elle veut. Mais elle peut aussi être fort agaçante lorsqu'elle s'y met... Je ne te raconte même pas les disputes familiales. Elle a hérité de mon caractère, la pauvre.

Je ris un peu, avant de venir prendre un petit amuse-gueule sur la table, le mangeant avant de prendre une gorgée de mon thé glacé, penchant un peu la tête en regardant Altair, qui m'informait sur sa jambe.

- C'est une belle preuve d'amour, dont tu as fait part en sacrifiant tes pouvoirs pourtant puissants... Peut-être trop. Tu as du mérite d'avoir agis ainsi, certains auraient préféré leur... « puissance » à la sécurité de leur entourage. Je soupirais légèrement, haussant les épaules en souriant de nouveau. Moi ? Je file le parfait amour avec Luze, je suis à présent son épouse, je porte donc le nom de Kurotsuki. Nous avons eu une fille aussi que tu rencontreras sûrement, elle s'appelle Yuze. Sinon, rien de bien nouveau, la routine familiale en fait.

Je lorgnais un peu vers les stands de jeux plus loin, lançant un petit regard à mon collègue, lui demandant ainsi silencieusement s'il souhaitait que nous allions voir ce que nos élèves avaient montés comme jeux, et pourquoi pas s'y amuser un peu ? Après tout, n'était-ce pas le but d'une fête ?

Je remarquais que comme moi, le rythme lui donnait envie de danser, par contre, ce n'est pas la même raison qui l'empêchait de se libérer. Je pense que ce devait être qu'elle ne voulait pas danser devant des personnes qu'elle ne connaissait pas. Une idée me traversa l'esprit, mais j'allais lui en parler après. J'écoutais ses questions avec attention, y répondant quand elle eut fini.

- Eh bien, j'ai eu une lettre de Mira qui me disait qu'elle venait d'avoir le poste de bibliothécaire, et qu'elle arrivait, car elle n'en pouvait plus de ne pas voir son mari et sa fille en dehors de périodes de vacances. Et pour ce qui est de ma fille, elle est bien en classe red et il est vrai qu'elle a mes yeux et mes cheveux, mais le visage de sa mère.

Je souris et vidais mon verre de thé, avant de m'en resservir un. J'avais envie de quelque chose de plus fort, comme de l’absinthe mais cela était interdit à cause de tout les mineurs qui étaient ici. Je soupirais et écoutais son récit sur sa famille. Elle avait donc épousé Luze après que June est disparu en lui laissant Himeka et son frère. Je souris à sa remarque sur le fait qu'elle était heureuse de cette vie, même si j'avais entendu que les deux filles ne se supportaient pas, mais cela ne me concernait pas.

- Je suis heureux d'entendre que tu as trouvé le bonheur. C'est ce que je souhaitais à toutes les personnes qui comptent beaucoup pour moi.

Je remarquais alors son regard qui se dirigeais vers les stands de jeux,et me dit que ce devait être une bonne idée pour nous d'y participer. Je souris et lui dit tranquillement.

- Si je gagne le gros lot dans chaque jeu, tu m'offres une valse ?

C'était ce que je voulais lui proposer tout à l'heure, de lui servir de cavalier pendant une danse. Enfin, je pense que juste une danse ne dérangerait pas Luze, mais je pouvais bien me tromper.

- Tu penses que c'est un bon marché ? Si tu me bats une fois, tu me demande ce que tu veux.

Je souris et la guidais tranquillement vers les stands de jeux, regardant les jeux d'adresse, de force, et tout le bataclan. Je décidais de choisir, le premier, un simple test d'adresse. Il fallait crever des ballons avec des fléchettes. On avait six fléchettes, et il fallait au moins en crever trois pour gagner un prix, et pour le gros lot, un magnifique ours en peluche, il fallait en crever six. Je posais l'argent pour la partie et lançais les trois premiers touchant les cibles. Je pris mon souffle et lançais les trois derniers, faisant éclater les trois ballons qui me manquait, gagnant l'ours en peluche. Je me tournais vers Yûki le sourire aux lèvres.

- Je t'offres la partie, tu veux essayer ?

Autant le prendre tel qu'il vient, en ce cas.

J'étais plus que ravie lorsqu'il m'annonça que Mirajane viendrait occuper le poste de bibliothécaire, peut-être même était-elle déjà là, parmi nous, prête à nous faire la surprise de débarquer à l'improviste pour nous faire une superbe surprise ? Etrangement, venant de cette petite argentée, cela ne m'aurait franchement pas étonnée. Malheureusement, j'avais beau regarder autour de nous, je ne la voyais pas. Je me contentais d'acquiescer à ses paroles, un grand sourire aux lèvres, pour montrer que j'avais bien compris, bien que je ne donnais pas de réponse.

Je remarquais bien son sourire quand il comprit qu'aujourd'hui enfin j'étais heureuse. Il est vrai qu'à l'époque où j'étais au lycée, en tant qu'élève, et même avant d'ailleurs, j'avais toujours été de mal en pis, sombrant peu à peu par la faute de déceptions amoureuses chaque fois plus grandes. Aujourd'hui tout cela n'était que du passé, des souvenirs dont je parvenais à sourire même si certains me faisaient parfois encore pleurer. J'avais trouvé l'amour, l'âme sœur, cette personne unique, cette moitié que l'on a tous en ce bas monde, reste à la trouver. Luze, lui, était venu de lui-même à moi, il y a seize ans. Et, d'un simple désir de chair, nous en étions venus à un désir d'amour. A présent, j'étais entourée de ma famille quelques peu agitée, mais que j'aimais plus que tout au monde.

- C'était également le souhait que j'avais pour tous mes amis d'autrefois. Pour ma part je peux dire sans mal qu'aujourd'hui j'ai réellement trouvé le bonheur, mon mari aussi je pense, mes enfants peut-être moins mais... tout vient à qui sait attendre. Nous en sommes deux beaux exemples, toi et moi.

Je terminais mon verre que je jetais à la poubelle mise à disposition, souriant à la proposition d'Altair. Une valse ? Cela faisait un certain temps que je ne l'avais pas danser, bien que c'était ma danse favorite. Si l'on oubliait mes délires de jeunesse avec Nyu et Yuan... Ah, le bon vieux temps.

- Hm, c'est un bon compromis. Mais je pense que tu as toutes tes chances de me battre, alors préparons-nous à valser !

Je le suivis tranquillement jusqu'aux stands, regardant un peu tout ce qui s'y trouvait, évitant soigneusement les jeux qui nécessitaient l'usage d'eau. Bien que j'avais sur moi ces pilules aux herbes que je pouvais avaler pour me permettre d'entrer en contact avec ce liquide qui pouvait m'être mortel. On arriva à un stand avec un jeu simple d'adresse, six fléchettes, des ballons à éclater. Je restais en arrière, pour voir mon collègue et ami gagner le gros lot après avoir éclaté les six ballons, et j'applaudissais doucement, amusée, avant d'hocher la tête quand il me proposa d'essayer à mon tour. Bien que... j'avais toujours été maladroite, le comble pour un vampire.

- Bravo ! Et, j'accepte avec plaisir.

On me tendit donc six fléchettes, et j'en pris une en regardant les ballons. Je lançais la fléchette, le ballon éclata. Puis un deuxième, un troisième, un quatrième, un cinquième. Et puis, bien évidemment, il fallait qu'il y en ai une de trop. Ma sixième fléchette rata sa cible, et je fis une petite moue.

- Manqué ! C'était prévisible, en plus ! fis-je en riant.

Je regardais alors les stands environnants, et l'un me fit de l’œil, l'éternel jeu du chamboule-tout, qui ne connait pas ? Je souris et pris la main de mon collègue et ami pour l'entraîner tranquillement vers le stand, regardant les élèves qui jouaient déjà. Une fois que ce fut notre tour, je payais pour deux parties, une pour moi mais aussi une pour lui, et l'on me tendit mes trois balles, en tendant trois autres à Altair. Je lançais ma première sur les quinze boîtes sur la table en face de nous, parvenant à faire tomber les trois au sommet. J'en lançais une deuxième, qui en fit tomber quatre à gauche. Donc, il restait cinq boites en bas, et trois montées à droite. En clair, aucune chance de toutes les faire tomber. Tant pis, je lançais ma dernière balle, et il n'en restait que deux debout.

- Arf, dommage. A toi, Al' !

Je la vis à son tour essayer de battre mon score au jeu du ballon, je croisais les doigts pour qu'elle gagne quand même quelque chose. Les premiers ballons tombèrent sans efforts, puis le quatrième, et le cinquième. Je croisais toujours les doigts pour qu'elle réussisse, mais la dernière cible lui échappa. Je récupérais quand même son prix par galanterie, car une personne galante porte toujours toutes les affaires. Je me laissais ensuite guider par mon amie jusqu'à un autre stand, celui du chamboule-tout. Un incontournable que j'adorais toujours abattre. Je remarquais qu'elle me rendit la pareille pour la partie de tout à l'heure et pris tranquillement les balles.

- Dommage, je vais te gagner le gros ours en peluche alors.

Je visais avec adresse et fis tomber les deux boites en bas à gauche avec ma première balle, faisant tomber celles qui reposaient dessus. Je fis de même avec les deux boites sur la droite, réitérant le même effondrement. Il ne restait alors plus que la boites du bas au milieu. Je lançais ma dernière balle et dégommais ma cible, gagnant une fois de plus le gros lot. Je récupérais l'ours en peluche et l'offrais à Yûki, même si je devrais le porter après.

- Cadeau.

Je regardais autour de moi pour chercher une attraction différente et en trouva une, mais me ressaisi de suite, vu qu'il y avait de l'eau, et que les vampires était très affecté par cette dernière. J'ouvrais la voie entre les stands, à la recherche d'une attraction qui pouvais nous intéresser, mais de mon point de vue, je n'en trouvais pas vraiment. Je me tournais vers ma compagne et lui demandais poliment.

- Tu veux faire un autre stand, je ne sais pas lequel choisir à dire vrai.

Mon sourire charmant toujours derrière mon masque, je la laissais choisir volontiers la prochaine épreuve. Je profitais de ce moment pour me reposer un moment sur le banc à proximité à cause de ma jambe abimée. Je regardais autour de moi à la recherche de ma femme, que je n'avais pas encore vue alors qu'elle devait aussi venir participer à cet événement.

Et profiter de chaque seconde, quoiqu'il en soit.

Je le regardais faire, un sourire aux lèvres, en remarquant qu'il était bien plus doué que moi, encore une fois, et cela ne m'étonnait même pas. J'assumais ma maladresse, au moins cela prouvait que toute espèce, aussi pure et noble soit-elle, avait de petits défauts qui les rapprochaient des humains, malgré eux. Amusée, je pris l'ours en peluche contre moi, en souriant toujours. Il était tout doux, tout mignon, me rappelant celui que j'avais eu quand j'étais petite, et qui devait encore être dans le grenier chez mes parents, dans un quelconque carton sûrement. Cela faisait depuis la fin de mes études que je ne leur avais pas rendu visite, je devrais peut-être y songer, un de ces quatre... Enfin, ce n'était pas le moment pour ça.

- Merci, Al' ! Encore une fois, c'était prévisible que tu gagnes. C'est un peu décalé, d'être maladroite, vu ma race et mon rang, non ? fis-je, en toute autodérision.

Je le vis jeter un coup d’œil vers un stand qui faisait usage d'eau, et m'apprêtais à lui dire que nous pouvions faire ce jeu, mais il ne m'en laissa pas le temps, que nous voilà un peu plus loin, en train de chercher autre chose à faire. Je laissais mon collègue se reposer un peu, devinant que sa jambe devait tout de même le gêner, et regardais les environs avant d'à nouveau reposer mes yeux sur lui.

- Tu sais, le stand qui a attiré ton attention, nous pouvons le faire, j'ai de quoi me parer contre les effets de l'eau.

J'affichais un doux sourire, sortant une de ces pastilles aux plantes qui étaient loin d'avoir bon goût, mais c'était un mal pour un bien, la laissant fondre dans ma bouche en retenant une petite grimace. Berk, faudrait qu'ils s'arrangent pour que ce soit meilleur, quand même.

Je lui pris la main pour l'aider à se relever et l'entraîner doucement vers ce stand, observant les personnes qui y jouaient afin de comprendre le but. Je me baissais pour toucher quelques brins d'herbe mouillés, m'assurant ainsi que la pastille faisait effet, et ce fut le cas, à mon grand bonheur.

- A toi l'honneur, Al'.

Nous avions ainsi joué à quelques autres jeux, nous amusant tels des gamins. Nous étions retombés en enfance l'espace d'une journée, et cela me ravissait, je me sentais rajeunie de 15 ans, et je me rendais compte qu'au fond j'étais toujours la même, je n'avais pas changé. Raison de plus d'être heureuse. En compagnie d'Altair, nous avions dansé, festoyé, trinquer encore, danser à nouveau, jouer quelques parties de plus, jusqu'au soir tombé. Nous nous étions séparés, chacun de notre côté, et il m'avait annoncé avec regrets après un appel de Mirajane que le devoir l'appelait dans le monde des humains. Il poserait sa démission le soir-même.

Ainsi, ce fut non pas sur un adieu, mais sur un au revoir, écho de la promesse de nouvelles retrouvailles, que nous partîmes chacun de notre côté. Moi, ravie de cette journée mais terriblement abattue par ce nouveau départ alors que je venais tout juste de le retrouver.

La vie est ainsi, bienvenue, enchanté, ravi de te retrouver, au revoir, adieu.
On ne refera pas le monde.

[RP TERMINE]

J'ai un peu arrangé la fin de mon post pour que ça passe en terminé et pas abandonné, j'aime pas ça xD Fin voilà ~

» Il faut bien commencer un jour ou l'autre.
» Un souffle, léger, sous la lumière du jour. [Libre]
» Il était une fois deux cookies...~ [Pv Remon] [Terminé]
» La lâcheté, un art bien maîtrisé. [Terminé]
» Asseyez-vous et dites-moi ce qui ne va pas [Tetsuya][Terminé]