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Bienvenue dans ce lycée où les monstres sont rois ♪♥️

Souvenez-vous du temps ancien où déjà les monstres et humains vivaient en semi-harmonie dans ce lycée, il y a plusieurs années de cela...
Aujourd'hui, les enfants de ces anciens élèves font leur entrée dans cette académie mystérieuse, loin du pays des Bisounours ♪♥️

Que seras- tu ? Ange ou démon ? Rejoins-nous pour le savoir ~ ^w^
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 La belle éprise du brasier.

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MessageSujet: La belle éprise du brasier.   La belle éprise du brasier. Icon_minitimeMar 4 Sep - 9:56



I
am
Seika Shirabuki

intelligente - réfléchie - joyeuse - sociable - drôle - franche - passionnée - altruiste
curieuse - vicieuse - gourmande - bornée - survoltée - rêveuse - impudique

Wanna see my face ?

feat Momo Velia Deviluke

Physique
Un corps en tout point démoniaque, une bouille d'ange, des lèvres douces, des traits délicats, la taille avantageuse, de belles formes au développement déjà bien entamé. Des galbes bien ronds et doux, la silhouette élancée et frêle. Pas le moindre écart nauséeux de poignet d'amour, un Balrog n'a pas de couche de graisse. Un corps à la peau étrangement sèche et chaude. Non brûlante, mais pouvant faire croire à un état intempestif de fièvre.

Si l'on dirige son regard vers le visage saillant, on dénotera assurément de remarquables bouchées succulentes. De petites joues rosies parfois rougies de sa bonne humeur. De grands yeux vacillant entre le mauve et le rose, des écrins rares et doux. Une courte, mais bien soyeuse merveille capillaire rose. Des sourcils très fins ne pouvant vraiment appuyer ses états d'âmes. Il peut advenir que les terminaisons de ses mèches bouclent mais ce n'est qu'un détail.

Et maintenant si l'on veut bien s'attarder sur l'entièreté du personnage, un corps qui peut sembler lourd de quarante-trois kilogrammes, non par sa surcharge mammaire ; et une taille approximative d'un bon mètre soixante-six. Son seul habit demeure l'uniforme banal de l'établissement, à savoir qu'elle est bien mise en valeur aussi bien au niveau du buste que des bas avec ces jambes nues à croquer. Le tout enjolivé par un petit noeud papillon noué à la place d'une cravate. Petit hic de la demoiselle, elle ne peut cacher sa queue, cela lui est diablement impossible, elle n'y parvient pas le moins du monde. Mais bon l'affaire reste mignonne et non effrayante alors cela peut passer aisément. Sa seule solution est de se l'enrouler autour du ventre pour la masquer sous l'uniforme mais sinon elle ne peut pas la faire disparaitre.



Mental
La jeune démone colle parfaitement à sa nature, elle est secrètement vicieuse et perverse, à fantasmer sur le beau monde et à s'imaginer d'impossibles romances torrides. Aussi dans la continuité des péchés, on retrouve la gourmandise et dans cette lignée l'envie effroyable de dévorer tout et n'importe quoi de comestible. Ceci après passage au lance-flamme maison. Il faut le savoir un Balrog ne peut manger que des aliments sans la moindre parcelle d'eau, donc déshydratés, desséchés ou carbonisés comme elle préfère. Un petit nappage de cendre sur ces plats, un pur régal. La démone est donc un glouton en puissance, mais c'est qu'elle a peur d'être affamée et d'en payer les lourdes conséquences, car si pour vous être à jeun vous rend larvaire, elle peut en mourir. Pour le côté impudique, on pourra constater qu'elle n'a aucune honte à se balader les fesses à l'air et à se montrer en fille d'Eve. Allant même pour rire à vous enchanter d'une charmante compagnie ,audacieuse qui pourrait même s'offusquer à venir vous visiter dans la nuit, dans votre lit. Tout cela bien sur pour découvrir véritablement ce qu'est l'Amour.

Après viennent sa farandole de facéties et de lubies enflammées. Cette jouvencelle est une pile survoltée, intenable et n'en faisant bien souvent qu'à sa tête. Un interdit même menaçant aura pour effet de la tenter diablement et elle s'y risquera. Une sacrée fouineuse pouvant vite devenir collante et casse pied, c'est juste que n'ayant rien elle fonce pour obtenir vos faveurs. Bornée, car oui Seika n'est pas du genre à lâcher prise ou à abandonner, le Balrog est un démon plein d'orgueil et de fierté guerrière. Alors elle n'abandonnera pas ses amis devant le danger même si elle n'aime guère se battre. Et dans une querelle elle ne la bouclera jamais, croyant dur comme fer que son idée est la meilleure ou que c'est la meilleure chose à faire dans une situation donnée. Aussi elle aime bien la malice pour nargué quelq'un à lui embrasser la joue ou les lèvres juste pour provoquer une réaction sucitant le rire. Une frayeur, comme tout Balrog de sang pur elle souffre d'une peur chronique à la simple vue ou profération de l'élément aquatique ou ce qui s'y rattache. Elle s'éveillera au pire un petit rictus de sensation désagréable en défomant un peu son visage. Mais cela peut aller carrément au malaise.

Et lui demander de partir alors que vous être en proie à la détresse ne sert à rien, elle exècre de voir des larmes couler et d'entendre la mélodie des coeurs brisés. Elle se veut chaleureuse, amicale et réconfortante. Comme on dit il y a un temps pour s'amuser et un temps pour se poser, donc être sérieuse et faisant preuve d'une remarquable intelligence. Réfléchie donc parfaitement apte à comprendre et compatir. Du reste elle se passionne pour la lecture et l'écriture d'une verbe de toute beauté, les deux seules choses qui la font paraitre étrange puisqu'elle est d'un naturel agité. La méditation n'étant pas son fort elle préfère s'amuser en tout temps, masquant une immense détresse au fond de son coeur, car quand on a jamais rien eut on est triste. Ce qui la fit tenir c'était ces histoires, ces beaux rêves d'une autre contés sur cette terre des hommes. Et aux Enfers la vie est laide et mortifiante, mais cela elle ne le soufflera vraiment. Préférant garder toujours son petit sourire angélique impénétrable, même si parfois l'hypocrisie est de mise, elle s'est jurée, elle a juré de ne jamais pleurer.

Découlant de ce dernier point, Seika est animée d'une foi bornée et assez dingue, croyant que l'on peu changer les gens par le pouvoir de l'amour. En ouvrant les coeurs des gens pour tous s'aimer. On peut dire que la tantine est une sacrée idiote mais qu'elle sait y faire dans ce domaine. Seulement sa disciple sera t'elle aussi douée que son professeur ?



Histoire

~ Diary of Eden ~

The darkside chronicles :
Lorsqu’on a rien on aimerai avoir des miettes, pour se nourrir et avoir une identité, des souvenirs merveilleux. Et là rien. Une subtile et navrante déchéance chronique dans les ténèbres de son propre cœur. D’abord on commence par ne plus distinguer le timbre de ces voix, qui deviennent de plus en plus distantes, jusqu’à devenir sourde au moindre appel. Puis notre vision se détache au fur et à mesure, de la discorde, de cette réalité si laide qui nous dégoûte. On perd le goût aux moindres saveurs qui ne sont plus que d’inlassables bouchées infectes, un délicieux rôti à la broche devient aussi fade que la cendre d’un odieux condamné au supplice de la crémation. Cela vous intrigue n’est-ce pas ? Comment on peut avoir tout et en vérité n’avoir absolument rien ...

Je m’appelle Seika, un nom fabuleux signifiant « Feu Sacré », une étrangeté quand on sait ce que je suis. Alors oui mes parents m’adorent, seulement à par être la mascotte du royaume je n’étais rien à proprement parler. Oh oui c’est super d’être la petite princesse du couple royal qui régit un des sept Enfers. Tu parle, c’est horrible, invivable. Comment on t’elles pu rester aussi gaie ? Je ne parlerai à personne je le pense de mes parents, ils m’ont tellement déçue. Mais bon je comprends leurs innombrables responsabilités, mais à chaque fois que j’essayais de les voir, j’allais interrompre des réunions ou des galas de la haute société d’arrivistes démoniaques. Aux yeux de tous ces êtres hypocrites et bellicistes je n’avais que de valeur symbolique, juste le feu de vie à entretenir pour faire perdurer la lignée. Et moi alors, je voulais « être » et non plus paraitre ! J’ai tant souffert de ne pas être vue comme telle ...

***
Si l’on entre plus dans les détails, je me pencherais sur une nuit bien précise. Le vent hurlait à batte la tempête sur l’immense désert débutant déjà aux grilles du château, un édifice gothique très sombre et immense, un véritable dédale pour qui n’a pas de guide. Enfin bref, l’atmosphère toujours torride demeurait et une ombre osa s’insurger sur le domaine, allez savoir, je n’arrivais pas à dormir cette nuit encore. J’avais 7 ans et j’étais au bord de la complète déchéance. Personne ne le voyait, personne ne s’inquiétait. Mes parents repoussaient toujours mes modestes demandes, je voulais juste avoir droit à un peu d’intimité avec l’un d’eux. Une petite ballade en forêt ou autre, mais rien, le vide total. Ma vie n’était depuis lors que le néant, un esprit jeté dans un gouffre abyssal où je restais larmoyante. Ma détresse je la masquais toujours derrière une hypocrisie semblable à ces sujets cupides.

Ainsi j’étais écroulé sur le sol brûlant, rougit sous aucune larme, juste ma chaleur corporelle semblant toute seule. J’avais ce regard creux qu’on les condamnés ici aux Enfers, ceux qui après tant de supplice et d’un châtiment d’éternité deviennent des larves. J’étais ainsi, hideuse à contempler, une simple coquille creuse. Et un ange vint me sauver. Qui était-elle, elle me prit dans ses bras pour me recoucher dans mon lit et je pu reprendre un peu des couleurs à l’entente de son doux patronyme. Elle était ma tante que je n’avais jamais vue, elle était si belle et comme enveloppée d’une aura apaisante, chaleureuse et si confiante. Elle respirait la joie de vivre, et elle m’insuffla ce dont j’avais besoin, l’espoir pour ensuite me donner goût à ma vie si maussade et mortifiante. La nuit passa vite, trop vite, avec si peu de verbe pour me nourrir, j’avais soif de connaissance et faim de ce pain délicieux.

Tantine me conta que son enfance ne fut pas plus brillante que la mienne, à son grand regret. Et douée de sagesse et de vertu, elle me conta la solution qu’elle avait trouvé, déjà je craignais d’être comme elle une créature incontrôlable incendiant tout sur son passage, aussi je n’irais plus apprendre à éveiller mes pouvoirs. Du reste elle avait de quoi tenir elle dans son enfance, mère la protégeais et l’aimait à sa manière détachée et froide. Et père lui était leur sauveur, leur prince et leur maître qui les avaient recueillies puis enseigné divers arts complexe et fabuleux. Puis elle me conta qu’elle voulait dans sa détresse se forger une identité propre, là j’adhérais complètement à ses fables, c’est ce dont je rêvais également en cette nuit.

Hélas le conte devait s’arrêter net là, car ce matin là ce fut le majordome qui se figea sur le palier de ma chambre. Il était tétaniser à la vue de ma tante, d’accord elle est très belle mais pas de quoi en faire une crise cardiaque. Celle-ci me baisa le front et me demanda expressément de l’attendre ici et de prendre encore du repos, ce que je fis. En fait elle était allé trouver mes parents et avait trouvé un arrangement pour mon bien, elle m’élèverait loin des Enfers, sur Terre, et je pourrais revenir les voir lorsque je le désirerais. Et lorsqu’elle revint pour me l’annoncer je me rappelle avoir pleuré mes premières larmes de joie. C’était dit nous allions quitter cette effroyable cage dorée qui m’étranglait au sépulcre. Mais avant cela j’allais saluer mes parents, les embrassant très fort avant de sauter dans un portail dimensionnel ouvert par ma tante. Qu’importe la destination, je pouvais enfin sortir de mon cloître pour découvrir un nombre d’infinies merveilles, des lieux, des visages, des sourires, des rires, des chants. La vie s’offrait enfin à moi, et comment pouvais-je la remercier cette femme si bonne, je voulais l’appeler mère ...

~~~

The fairy chronicles :
Ainsi l’on arriva sans la moindre encombre sur la terre des hommes, j’avais les mirettes étoilées d’un nouveau né découvrant le monde. Des lumières partout, le ciel scintillant de milliers de petits feux blancs. Et une lune étrangement blanche virant au jaune roussit. Tantine m’emmena dans une cache qu’elle appelait appartement. Je lui demandais donc pourquoi elle vivait dans cet espace si restreint et clos et elle me répondit qu’elle était nomade. Que bien souvent elle quittait une ville ou même un pays pour voyager, sans vrai but que la découverte fantastique de l’inconnu et des gens aussi bons qu’elle. Alors pour les trois premières années que je passerai sur terre, n’étant pas prête à m’insérer, je voyageais avec elle pour apprendre tout un tas de fondement, des idéo étranges, des devoirs, des droits, des libertés. Et elle m’apprit ce que l’on enseignait à l’école pour mon âge. Seulement à trop voyager on se perd, mais on y gagne à découvrir bien plus de choses qu’un terrien.

Après en voyageant on peut voir des choses qui ne changent jamais, comme la haine d’un homme qui en frappe un autre, la misère des mendiants d’une basse vile, et d’autres choses si tristes. Mais ce qui me fit véritablement pleurer c’était de savoir que j’étais éternelle, que le temps ne me rongerait pas comme ce pauvre vieillard que je trouvais un jour. Un pauvre homme jeté à la rue par ce système imbécile, les hommes n’avaient-ils donc aucun cœur pour oser impunément laisser seul un pauvre homme trop âgé dans le froid et la maladie. Ce clochard je le visitais souvent avant d’aller à l’école, désormais âgée de 10 ans j’étais en CM1, sur le chemin de l’allée et aussi du retour. Je donnais chaque matin le repas que me confectionnait ma tante à ce brave homme, elle le savait et en était fière. De son altruisme légendaire j’avais été enseignée, de sa foi et sa douceur inébranlable j’étais animée. Pour moi ce qui comptait c’était que dans ses derniers temps, cet ami de la rue vive d’amour, d’eau fraiche et de paix.

Et lorsque j’étais en classe, tout allait très bien, j’étais aidée pour mon étrangeté, un besoin furieux de se nourrir sans quoi je tombais d’épuisement. Et une réticence chronique à l’eau. Je n’étais pas bien mal vue par mes camarades. J’étais juste la nouvelle un peu à l’ouest mais sérieuse dans l’apprentissage et très sage. Seulement il faut bien des mésaventures, moi j’aimais bien mes petits camarades, aussi un jour, à mes 12 ans où allait s’achever ma période scolaire dans cet établissement. J’attirais mes quelques compagnons, filles et garçons, dans un coin isolé de la cour pour leur dévoiler un secret. Il était ce serpent fin et noir qui se faufilait hors de son attache repliée au ventre, pour se glisser hors de la jupe et flirter avec le vent. Je dévoilais ma queue de diable bien mignonne, mais ceci les terrorisa. Aussitôt ils prirent jambes à leur cou en criant au monstre, ce qui me désola horriblement. Et enroulant à nouveau ma queue autour de mon ventre, je m’enfuis en pleurant.

Personne ne croirait l’histoire de ces garnements mais une petite bande de petite frappe me suivit jusqu’à mon refuge, pour m’y coincer et m’y tomber dessus. Leur médisance de couards me fit reculer et tomber dans cette ruelle proche du petit campement de mon ami des rues. J’avais mal, les pavés étaient trempés, des pierres me lapidant, des coups de bâton me rossant, j’avais mal au cœur de subir le vice immonde de l’homme, tout ça parce que je suis différente. Et j’avais bien sur très mal à chaque coup qui pleuvait sous la coupe de la haine, mais malgré la douleur intenable je restais happée à nouveau vers le néant de vie, la tête un brin immergée dans une flaque. Et tandis que l’un de mes détracteurs me souleva pour me redresser par les dessous de bras, j’avais le regard vagabond et funèbre. Un deuxième garçon vint baisser ma jupe pour dévoiler ma queue, il tira dessus pour la forcer à se désenssérer de mon ventre et tirant dessus il me fit tomber pour que mon dos aille se fracasser par terre. Là qui peut dire ce qui se serait passé, un viol ? Des mutilations sadiques ? En tout cas l’un vint à me chevaucher, je ne résistais pas, je pleurais des larmes brûlantes. Et je fus encore une fois sauvé par un être miséricordieux.

Il fut ce vieil homme rassemblant des forces méconnaissable pour abattre une canne en bois dans le dos de ce détracteur qui souffrant prit la fuite. Les autres garnements en firent de même et comme Dieu qui sauva les hommes pauvres pécheurs, il me tendit l’avenir d’un salut, une poigne que j’étreignis pour me jeter dans ses bras et hurler ma détresse. Il m’aida à regagner l’appartement de ma tante et il fut inviter à rester. Hélas il dénigra cette gentillesse et s’en retourna aux ombres, juste avec le sourire d’avoir pu rendre sa bonté à cette enfant que j’étais. Le jour suivant ma scolarité était achevée et ma tante prit la décision de changer de ville pour que je n’ai aucun ennuis, seulement je devais revoir ce brave homme. Je ne connaissais même pas son nom, et lorsque j’accourue à sa tanière il avait disparut. Sur le sol ne résidait qu’une plume blanche très belle, je la pris et rentrais larmoyante. Aujourd’hui encore je crois qu’il était un ange, qu’il avait été là pour moi précisément, et qu’il s’en été retourné au pays des célestes. Cette seule pensée me conforta et je gardais la plume en souvenir, qui depuis lors est toujours si pure et radieuse.

La suite, elle s’est chargée de mystères de mises en bouches. Pour ma dévotion folle je reçus le surnom de « l’Azriel », cela sonnait bien comme un ange, mais voilà j’étais démone. Parait-il que j’était à son image, une belle âme fragile et aimante à la recherche du bonheur des hommes et des dieux. Durant ces trois dernières années, le collège se déroula sans encombre, elle ne cessa de me parler de ce lycée étrange et fantastique. Me laissant m’endormir avec des contes de fées, comme les légendaires Super Nanas qui jadis sauvèrent le monde plusieurs fois. Une petite mise en garde contre le retour d’un Top 4, ou encore elle me livra ces secrets en brides. J’avais envies de percer tous ces mystères et elle le savait, elle me donnait des miettes pour que je rassemble le puzzle et trouve un sens à tout ceci. La morale cachée derrière ces fables en quelque sorte. Elle me parla d’un bon nombre de gens, juste comme ça, me laissant dans la tête une farandole de noms atypiques. Et une requête, une lettre à donner à une certaine femme. Juste avant le jour de mon intégration elle avait appris, allez savoir comment, que Kurosu Yûki la femme dont-elle parlait le plus souvent, avait intégré le lycée comme professeur. Et que moi je devais faire une passerelle entre elles. Mais comment lui dire non, elle ne m’avait jamais rien demandé avant cela.

Alors le jour J je me saisis de mon cartable en cuir, y glissant cette lettre, et je filais sur un coup de tête. La saluant et la remerciant pour tout, je savais qu’elle allait encore disparaitre pour ne pas être retrouver alors je la serrais bien fort comme si c’était nos adieux. Puis me voilà à sauter dans un portail double, déjà ouvert sur la dimension spéciale du domaine de Yokai. Ma tante pouvait faire cela, ouvrir un portail double sans danger et donnant direct sur un autre lieu du monde. Alors je la saluais et je m’y engouffrais pour ne plus jamais revenir à ce jour. Et maintenant que commence mes aventures sur la piste des mystères !


In Fact, I'm Just...

♣️ Surnom : l'Azriel (un surnom atypique, donné par sa tante, sonnant comme porteur d'espoir et de renouveau)
♣️ Age : 15 ans
♣️ Sexe : Féminin
♣️ Race : Balrog
♣️ Profession : Elève
♣️ Chambre solo ou double : Double + Mixte La belle éprise du brasier. 2558695
♣️ Orientation sexuelle : Bisexuelle
♣️ Pouvoirs :
- la forge : peut fasconner des objets en forgant du magma frais, ceci est épuisant
(au maximum une modeste épée ou un bouclier, sinon une dague ou une poëlle c'est facile)

- manipulation du brasier : étant un démon de flamme, il lui est possible d'extraire de son corps son propre feu pour par exemple projeter un souffle ardent ou enflammer son corps, ou encore générer une boule de feu, créer un fouet enflammé (pouvoir offensif principal et puissant mais il consume les forces de la créature qui peut rapidement se mettre en danger)

- doit ingurgiter beaucoup de nourriture pour rester en forme, si le fourneau (estomact) n'est pas allimenté en combustible, le démon s'affaiblit et pert peu à peu ses pouvoirs jusqu'à terme voir s'éteindre sa flamme de vie

- portail démoniaque: pouvoir basique d'un démon de haut rang, la capacité à déchirer le tissu spatial pour ouvrir un passage vers la dimension infernale (ne peut en créer que deux, un d'entrée et un de sortie, ne pouvant être maintenu plus d'une minute), pouvoir pratique pour se défendre d'une attaque en l'aspirant dans un portail pour pouvoir possiblement la renvoyer, mais ce pouvoir sert principalement à voyager d'un endroit à un autre (peut transporter plusieurs personnes) en passant d'abord dans une dimension isolée puis à revenir dans le 1er monde mais à un autre endroit (exemple je saute depuis ma chambre pour arriver sur le toit)

- impossibilité à prendre sa véritable forme de démone (sa forme hybride complète seulement sous le coup de la rage)

- brasier aimant : étant un démon de flamme, dont la source de vie est une flamme magique, elle ne craind pas le feu et peut le dévorer pour restaurer ses forces (vulnérabilité totale façe à l'eau qui peut lui être mortelle)

- impossibilité de masquer sa queue qui lui reste sous forme humaine (c'est mignon)

- le vol : la bête peut se doter d'ailes (fragiles)

- la chaudière : la capacité à élever sa température corporelle puis sensiblement ambiante
(rappel que le corps du démon est un fourneau qui sous forme humaine maintient sa température corporelle à 40 degrès minimum)


♣️ Passions : la lecture, l'écriture, les histoires d'amour La belle éprise du brasier. 3796183460

♣️ Tiques et manies : creuser en profondeur pour découvrir vos secrets
+ être dans la lune et fantasmer lorsqu'il s'agit d'amour
La belle éprise du brasier. 3265981769

♣️ Ambition/but/objectif : Découvrir la vrai vie, les joies et les larmes comme l'Amour ! La belle éprise du brasier. 2103224315

♣️ Armes : celles qu'elle forge

♣️ Comment avez-vous connu le forum ? merci Capu Chuu V2


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MessageSujet: Re: La belle éprise du brasier.   La belle éprise du brasier. Icon_minitimeMer 5 Sep - 6:07

La belle éprise du brasier. 1170383393 Je UP pour signaler que j'ai achevé mon écriture La belle éprise du brasier. 1296623765
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Himeka Hijiyama
Bloody Cat

Himeka Hijiyama


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Date d'inscription : 23/08/2012
Age : 25

Fiche perso
Espèce: Mi Neko - Mi Vampire
Infos perso:
Inventaire:

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MessageSujet: Re: La belle éprise du brasier.   La belle éprise du brasier. Icon_minitimeMer 5 Sep - 6:38

Bienvenue ~

Présentation parfaite, recensement d'avatar fait, moi je dis OK, si toutefois tu n'abuses pas de tes pouvoirs.

Petite présentation rapide, Himeka Hijiyama, simple élève de 16 ans, hybride neko-vampire, ma mère Yûki Kurosu travaille dans le lycée en temps que sensei.

Pense à faire ton suivis rp et relation à partir de la fiche modèle Ici
Tu peux demander un rang personnalisé Ici

Je te créée une chambre dans le dortoirs mixte tout de suite, puisque nous n'avons plus d'homme en attente d'une mignonne coloc pour le moment x)

Dernière chose pour la validation, je te demanderais de répondre à une question pour vérifier que tu as bien lu le règlement : quelles sont nos priorités sur ce forum ?
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MessageSujet: Re: La belle éprise du brasier.   La belle éprise du brasier. Icon_minitimeMer 5 Sep - 7:31

La belle éprise du brasier. 1217087787 Nos priorités sur le forum ... Attends voir que je réfléchisse La belle éprise du brasier. 1296623765
Hum c'est une question piège c'est ça Jean-Pierre ê_e
---> Réponse validé
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MessageSujet: Re: La belle éprise du brasier.   La belle éprise du brasier. Icon_minitime

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