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| Sujet: Satori Strigoï, renard câlin Lun 27 Aoû - 9:49 | |
| IamSatori STRIGOÏWanna see my face ?]feat Ittoki Otoya de Uta No☆prince-sama♪ Physique Forme Humaine
Comme vous l'aurez deviné à mes oreilles de formes surprenantes je suis un hybride, mi homme mi renard, la couleur dominante le roux comme un renard européen avec quelques marbrures de blanc comme sur le bout de mes oreilles. Ma queue longue et touffue (rangez vos pensées perverses je parle de celle pleine de poils qu'on peut voir derrière moi) est elle aussi striée de blanc avec un roux plus foncé peut être (se tourne dans tous les sens pour essayer de comparer la couleur de sa queue et celle de ses oreilles). Bon * essoufflé* on va passer à autre chose, mes yeux par exemple ? Rouge sang, normal pour un vampire me direz vous et bien pas vraiment, ils ont pris cette couleur et l'ont gardé lors d'une "erreur" mais je ne vais pas vous ennuyer dès maintenant avec cela. Ma taille peut être que cela vous intéresserais de savoir que contrairement à mon père qui est parmi les géants avec son mètre quatre vingt seize, moi je fais pâle figure à côté de lui, à peine un mettre soixante quatre vingt pour soixante dix kilos. Bien que ma croissance ne soit pas terminée j'ai peu d'espoir de pouvoir atteindre les hauteurs de mon père. Mes cheveux peut être à présent, et bien roux comme ma queue et mes oreilles, peut être un peu plus clair, je ne me rend pas bien compte, en tout cas roux. Mon style vestimentaire maintenant et ce sera finit, je porte en général des vêtements humains, jeans, tee shirt, les couleurs tant que ce la ne choque pas avec mon roux. Des pulls et des chemise en hiver auquel je privilégie des tenues plus légères en été et de tout temps, pour camoufler mes oreilles dans le monde humain j'ai souvent une casquette ou un chapeau pour les camoufler un sort de dissimulation pour ma queue qui ne "disparaît" pas vraiment mais devient invisible pour les humains.
Forme renard Une image vaux mieux qu'un long discours
Comment ça c'est pas assez ? Bon ok donc heu sous ma forme de renard j'ai une collerette blanche, mes oreilles restent striées de blanc sur le bout, assez petit renard, du moins je reste dans les tailles d'un renard adolescent donc environ 60 cm de long 1m en comptant la queue sur 30 cm de large. Mes yeux restent rouges, mon poil est d'un roux flamboyant, je pense que les traces de blanc sont liés au métissage entre mon père qui était blanc comme la neige et ma mère qui était totalement rousse
Mental
Bon alors mon mental, détrompez vous tout de suite, ce n'est pas en portant un nom qu'on est sadique ou pas, j'en suis la preuve vivante au grand désespoir de mon père, en effet je suis aussi doux qu'une peluche. Câlin au possible j'apprécie grandement l'affection qu'on me donne et je la rend autant qu'on me laisse faire. Je suis d'un naturel doux, aimant, j'adore qu'on me caresse la tête et les cheveux, je passerais des journée entière à ronronner sur les genoux de quelqu'un qui passerait son temps à me caresser les cheveux (oui un renard peut ronronner). Donc comme vous l'aurez compris je ne suis pas du tout comme mes parents auraient aimés que je sois, j'ai toujours eut un tempérament calme et tendre, appréciant de me lover et de recevoir des gestes tendres, le seul hic c'est je ne sais pas quand je devrais m'enfuir. Assez stupide sur les bords, je suis persuadé que tout le monde à un bond fond et je crois chaque personne capable de s'améliorer, mon seul désir est de faire de ce monde un grand champs de fleurs où chacun pourrait s'épanouir et grandir dans l'amour et la douceur que chaque être devrait recevoir. Utopique, fleur bleu j'aime tout simplement la vie et la chérie chaque seconde qu'il m'est donné de vivre. Je ne suis pas rancunier, je donne sans attendre, j'offre sans rien demander en échange. Positif, je voit toujours dans chaque situation le bon côté, j'aime être moi même, j'aime tout simplement la vie je suis quelqu'un qui même dans une situation les pire positivera car il ne sert à rien d'être négatif, la vie elle même sera sans pitié alors il ne faut pas désespérer, un jour ou l'autre elle s'éclaircira. En amitié comme en amour (s'il m'arrive un jour d'aimer) je suis près à tout pour les autres, négligeant jusqu'à ma propre vie pour faire plaisir à mes amis et les rendre heureux, c'est ce qui m'importe le plus de rendre les autres heureux ^_^ Histoire Mon histoire commence il y a 16 ans de cela, au même endroit d'où je vous écris ces quelques lignes. Avant de vous parler de moi je vais prononcer quelques mots pour mes parents histoire de vous dire qui ils étaient.
☆ Si un couple de monstre à été le plus craint que mes parents, l'histoire les as oublié au profits de mes parents. Tout d'abord mon père, imaginez des cheveux argents, des yeux doré, un regard froid et calculateur, et un ego surdimentionner seulement pour le monstre le plus dangereux je suppose qu'il pouvait se targuer d'être au dessus de tous les autres. Magicien hors pair, expert des métamorphoses et des sceaux, maître accomplie et surtout dangereux vampire prédateur, violeur et sanguinaire (enfin c'est ce qu'il me dit qu'il a été).
☆ Ma mère n'était pas moins crainte, un regard envoûtant, des cheveux argents également, sans doute normal pour des demi frère et soeur, en effet mes parents sont issues de la même puissante lignée de vampire, elle n'en était pas moins sanguinaire que lui et même si chacun avait son lot de repas en dehors des relations conjugales je sais que ma mère aimait mon père. Pourquoi cette certitude ? Parce que quand ils s'isolaient tous les deux et qu'ils n'étaient que tous les deux ils avaient des attitudes que je retrouvaient dans les actions des parents de mes camarades de classes, enfin avant quand je vivais avant avec eux*oreilles qui se baissent et regard qui devient légèrement humide*
Bon parlons d'autre chose, la suite de l'histoire se serait bien, en fait j'ai une famille qui comporte bien plus de membres que cela même si je ne sais pas à quoi ils ressemblent. En dehors de mes parents je n'ai jamais vu une seule autre personne que comporte ma famille, sauf peut être ma belle mère une fois, je ne me rappel que de long et beaux cheveux bleus, une silhouette fine et mince, mon père ne me laissant pas vraiment poser de question je sais juste que sa beauté éclipsait celle de toutes les autres femmes à part ma mère.
Bon alors comment je suis arrivé ici et bien il y a 16 ans de cela dans cette même école, à la pleine lune, un loup blanc avait rejoint une renarde sur une colline, les deux morphes avaient repris forme humaine et se sont livrés sur la plage non loin à un accouplement qui me donna naissance dans le plus grand secret. Ma mère ne l'avait pas caché à mon père mais d'un commun accord ils avaient passé mon arrivée sous le sceau du secret, je n'ai jamais découvert pourquoi d'ailleurs, j'ai toujours pensé que c'était à cause de la réputation de mon père que cela l'aurait ternie quelque chose dans ce genre là. ma naissance eut lieu dans le lieu dans lequel j'allais passer les dix premières années de ma vie, durant lesquelles je ne voyais que rarement mes parents.
Chapitre 1 : Premiers doutes A ma naissance j'avais les cheveux argentés et les yeux dorés comme mes parents, je ressemblais trait pour traits à chacun d'eux, avec la seule différence que la nourrisse rencontrait des difficultés à me nourrir. Ils avaient pourtant fait en sorte que ma naissance ne les gêne pas dans leur projet et leur amusement, étant dans le lycée à mon arrivée je restais seul dans un monde que mon père dirigeait, un grand château hors du temps et de l'espace. Il avait capturé et envoûté une humaine qui devait me servir de nourriture pourtant malgré ses essais que ce soit pour me la faire mordre ou tirer son sang pour me l'administrer en biberon je rejetais le sang à chaque fois qu'on tentait de me le faire avaler.
De peur de mes parents les serviteurs n'osaient pas leur dire le problème et m'emmenèrent à l'hôpital dans lequel je recevais des perfusions toutes les semaines, c'est le jour de mes un an que mon père découvrit la vérité. La nourrisse fut tuée ce jour là quand il perdit son contrôle, la violant avant de la vider de son sang devant la nouvelle personne qu'il avait choisit pour veiller sur moi, lui promettant les pires tortures si jamais elle faisait la même erreur de ne pas dévoilé toute anomalie qu'elle verrait. Elle découvrit très vite que je refusais de mordre, pleurant de longue heures dès qu'elle essayait de me faire boire et quand elle réussissait je tombais à moitié en léthargie, mon père fut prévenu sur l'heure et le verdict fut terrifiant pour lui, j'étais allergique au sang qu'on me faisait boire, mon organisme le rejetant avant de me rendre malade si jamais j'en absorbais par la voie des vampires.
Il chercha longuement le pourquoi de mon intolérance, se rendant compte que c'était l'association de son sang à celui de ma mère qui en fait entraient tous deux en conflits quand je buvais, mes yeux trahissant mon besoin de sang en devenant rouge il dut céder à l'évidence et me faire entrer à l'hôpital comme cela avait été fait depuis ma naissance. Il commença à poser sur moi un regard emplis de doutes quand à mon futur, se demandant sans doute ce que cela ferait de différent cette apparence de "rébellion" contre le fait de mordre les autres.
En fait cela changeait beaucoup de choses, pour commencer je n'étais pas sanguinaire comme il l'aurait voulut, restant la plupart du temps à ronronner dans les bras d'Hélène, la nourrisse se prenant d'affection pour le petit renard qu'elle avait dans les bras, mes transformations étant assez anarchiques à ce moment là, je devenais des fois sans prévenir entre ses bras un petit renard roux. Autant dire qu'elle me berçait d'amour me rendant plus heureux que je ne l'aurais jamais été entre mes parents. Je devenais doux et tendre avec elle pour me montrer des jeux simples et amusant, mes yeux dorés la ravissant alors qu'elle semblait me porter un peu plus que de l'amour fraternel. Sa dernière erreur a été de me bercer alors que mon père rentrait par surprise la voyant me bercer tendrement, un seul regard et elle su qu'elle avait été perdue, me portant dans mon petit lit alors qu'elle subissait le courroux de mon père et de ma mère, se faisant torturer par les deux dans le donjon, ses cris se répercutant me faisant m'éveiller et pleurer, cherchant sa présence en essayant de sortir du lit à barreaux grattant avec mes petites pattes rousses ceux ci. Quand les cris cessèrent mes couinements le firent aussi, je comprenais qu'elle ne reviendrais pas, du haut de mes dix huit mois je sentais que j'avais fait quelque chose de mal mais je ne savais pas encore quoi...
Chapitre 2 : Premiers pas
Mes premiers pas, je les fis avec l'homme que ma mère avait désigner pour m'apprendre la vie qui serais la mienne, comment mon souvenir de lui le désigne, dur, froid et sans pitié. J'étais encore jeune, à peine plus de trois ans, Alexandre avait été choisit par mi les plus ferme vampire du clan, son regard était sans aucunes émotions ce qui l'avait fait être choisit. Mes parents espéraient que l'amour offert par mes précédentes nourrisses seraient éliminer de mon sang par le traitement de l'homme qui était je dois le reconnaître assez dur. Pour chaque erreur que je faisais je me trouvais battu et frappé, finissant mes journées souvent sans réussir à m'asseoir. J'avais cinq ans à peine quand il m'imposa de tuer la personne qu'il avait capturé pour moi, devant mon regard terrifié et voyant que je ne le ferais pas il tua l'homme devant mes yeux horrifié, bercer d'amour pendant deux ans je ne comprenais pas le changement, cherchant désespérément à retrouver le bonheur d'une étreinte même fausse.
Le nouveau tournant de ma vie fut quand j'allais demander quelque chose que je n'aurais pas du à ma mère, mon père et elle ignorait que j'avais gardé le petit livre d'image qu'Hélène m'avait offert. C'était un soir, je venais de descendre en me faufilant jusqu'à la bibliothèque surprenant une conversation entre mon père et Alexandre, le précepteur informant mon père que je n'étais pas vraiment apte à me débrouiller seul et surtout qu'il devait se préparer à de nombreuses déceptions de ma part. La conversation me fit si mal que je me mettais à courir pour me retrouver dans la serre de ma mère, me blottissant dans un coin avant de l'entendre marcher, me précipitant contre elle en quémandant en levant les bras une étreinte. Un coup de griffe puissant qui m'envoya contre la porte me fit perdre connaissance, le sang coulant de ma tempe sous la violence du geste que j'avais reçu. Je repris connaissance à la même place, me relevant avec difficulté en rampant doucement jusqu'à la fontaine, lapant l'eau de celle ci avec lenteur avant de m'évanouir de nouveau.
Je me réveillais dans ma chambre deux jours plus tard, le regard de mon père sur moi alors que je souriais en levant les bras vers lui, me prenant cette fois une gifle magistrale qui me fit venir les larmes aux yeux, me roulant en boule alors qu'il me surplombait me frappant de nouveau avant de m'immobiliser sur le lit et de me mordre dans le cou. Je sécrétais aussitôt par le stress une odeur de menthe poivrée alors que je hurlais en me débattant avec mes maigres forces sentant mon père se redresser le regard indéchiffrable alors que dans mon cou la douleur s'atténuait la peau se refermant lentement. Je le vais mon regard implorant vers lui alors qu'il tournait le dos et quittait la pièce me laissant seul et désemparé par leur conduite. Qu'est ce que j'avais pu faire de mal pour avoir une telle douleur et un tel traitement, comment faire pour qu'ils soient fier de moi au lieu de voir leur regard se plisser et se détourner ...
Chapitre 3 : Premières questions Comment si jeune prendre conscience de ce qu'on fait mal quand on tend tout votre être vers quelques choses que vous ne désirez pas ? C'est vrai que je n'étais pas vraiment fort comme ils le voulaient, je n'étais pas facile à nourrir, me rendant toujours toutes les semaines à l'hôpital, je n'étais pas vraiment performant en sorts, je n'arrivait pas à créer de sorts ni à manipuler la plus petite flamme. Les seuls dons qui se déclenchaient était les odeurs sous le stress ou bien sous la peur, la terreur me faisait déclencher aléatoirement mon pouvoir emplissant la salle d'entrainement de vapeur de parfum souvent à très fortes de doses que je m'asphyxiais presque en même temps que les autres personnes présentes.
Réfléchir sur ce qu'ils attendaient, qu'est ce que je faisais donc de mal qu'il les fasse me traiter si durement, me retrouvant si affaiblis après les tortures d'exercices exigés par mon instructeur que je m'écroulais lentement sans bouger sur mon lit le soir. C'était encore et toujours les mêmes exercices, j'en étais tellement mal à la fin que je vomissais souvent avant la fin me faisant frapper pour avoir souiller le sol, j'en devenais presque squelettique de ne rien manger et de vomir le peu que je réussissais à faire pousser en secret.
Pourquoi mes parents n'aimaient pas l'idée que je mange de la verdure, c'est sains les légumes et très bon, j'adorais les carottes, j'en avais même planter en secret dans un partenaire profitant pour aller manger entre deux journées épuisantes, me revigorant un peu à voir que j'arrivais à créer quelque chose. Je fermais les yeux doucement avant de soupirer en me blottissant sur le lit me demandant brusquement pourquoi toutes ces questions sans réponses ...
Je savais déjà que je n'étais pas comme les autres, en plus d'être différent de ce qu'attendaient mes parents j'avais toujours cette sensation que les autres avaient peur de moi, voyant souvent des courbettes sur mon passage. J'eu la réponse un jour bien que le serviteur eut été emmené après m'avoir bousculé et que j'ai tenté d'empêcher son jugement, il avait dit "pardon mon prince" mais ce n'est pas possible n'est ce pas, dans mon livre d'image le prince est un homme beau et grand et fort et brave, je n'étais rien de tout ça, toujours terrifié quand la nuit venait et quand les cris retentissaient des sous sol du château....
Chapitre 4 : Premières larmes
Je passais la nuit à pleurer, descendant du lit tellement j'étais terrifier de voir de nouveau les yeux rouges sang et déçus de mon père je me glissais sous le lit en pleurant lentement, ne sachant plus vers qui me tourner, serrant contre moi le livre d'images en repensant à la douceur d'Hélène et à son odeur. En parlant de cela comment son odeur pouvait être là aussi, je rampais doucement sous le lit regardant plus attentivement en tirant sur le loquet qui comme scellé au sol, posant la main dessus je tirais doucement pour découvrir un escalier caché l'odeur venant de plus bas. Je me sortais de sons la literie pour aller chercher une lampe de poche et me glisser dessous, me laissant glisser les premières marches avant d'entrer dans une petite pièce, regardant le petit lit, les quelques livres ma lampe balayant l'espace restreint montant sur le lit pour me blottir contre la couverture. C'est dans ce cocon que je me souviens de ma première crise de larmes d'une longue lignée, je me sentais bien dans cet endroit qui allait devenir ma base secrète durant les six semaines qui suivirent, me réfugiant dedans la nuit tellement je souffrais intérieurement de ne pas convenir au souhaits de mes parents. Je me réveillais à l'aube pour regagner le lit et le défaire faisant semblant de rien en commençant à baisser la tête. C'était toutes les mêmes journées, encore des entraînements censé me donner l'envie de tuer, de martyriser, les courtes pauses qu'il m'accordait je les passais dans le jardin à m'occuper des fleurs. Seulement comme toutes les cachettes d'enfant, les parents finissent par les trouver, c'était le jour ou mes parents sont revenus définitivement au château, je venais d'avoir mes 6 ans et une nuit j'entendis de mon refuge un vacarme terrifiant. Je suis donc sortis avec précautions de ma cachette tombant nez à nez avec mon père dans une colère noire qui avait fait valdinguer le lit découvrant la trappe. Mes suppliques furent sans effets il dévasta mon refuge brûlant tout jusqu'au livre d'image, comme pour brûler le souvenir de ma nourrisse, m'administrant ensuite une correction monumentale dont je me souviendrais toute ma vie. Quand il eut finit avec moi et que je réussissais quand même à ouvrir les yeux je le vis rejoindre ma mère qui ne m'adressa qu'un regard dégoûté avant de tourner le dos et le rejoindre me laissant dans la marre de sang que je laissais échappé de mes multiples plaies qui se refermaient lentement une par une. La chose qui se passa fut la rage que j'éprouvais à avoir tout perdu, cela ne signifiait rien à mon père de m'avoir tout retiré, je me redressais lentement déterminé à me servir de ce dégoût qui naissait pour devenir un monstre à mon tour.
Chapitre 5 : Premiers échecs
Comment quand on a tout perdu on devient finalement ce que les autres voulaient qu'on soit, je ne tuais toujours pas mais dès que je pouvais faire souffrir mon père je le faisais, ne comprenant pas vraiment pourquoi il souriait de mes attaques . C'est à ce moment là que je fus accosté par des vampires du royaume ( au cas où vous ne l'auriez pas compris mon père est le roi du septième royaume des enfers celui des vampires) qui voulaient renverser mon père et me pousser à prendre sa place. Quand on a sept an qu'est ce qu'on peut comprendre à la politique, moi je voyais seulement que je lui prendrais quelque chose comme il m'avait pris quelque chose. Les traîtres commencèrent à monter des plans pour tuer mon père, me les soumettant alors que je ne comprenais pas vraiment ce qu'ils attendaient de moi. En fait ils voulaient juste une marionnette qu'ils auraient dirigés en me donnant les instructions jour après jours jusqu'à ce qu'ils se seraient lassés de moi et m'aurait remplacés par une autre marionnette. Mon père devait se douter de quelque chose car jamais ils n'arrivaient à leur fins, sans doute parce que j'étais bien qu'en colère contre lui incapable de lui faire le moindre mal. Je me rappel le jour où j'ai découvert un secret, tombant par mégarde sur un carnet de mon père ils contenait une liste de nom avec des croix placées de différentes manières je comprenais rapidement qu'il s'agissait d'une liste de victimes violées ou non, les croix se plaçant de différentes manières. C'était un matin où j'étais descendu dans la bibliothèque, je cherchais un livre avant d'entendre du bruit et je m'étais alors caché, dissimulant ma présence en utilisant une odeur de papier ancien. Mon père était alors entré dans la pièce et avait pris un livre dans les dernières étagères, le portant à la table de lecture il avait griffonné quelque chose dedans avant de replacer le livre à sa place, quittant la pièce en baillant. Porté par la curiosité j'avais pris une échelle et était allé chercher le livre pour le consulter. Au fur et à mesure des pages j'avais trouvé que c'était de pire en pire, il détaillait parfois ce qu'il avait fait comme sévices sur ses victimes écoeuré j'avais reposé le livre à sa place avant de retourner dans ma chambre tellement malade que je ne me sentais même pas de me rendre à mes leçons. Je venais de me rendre compte que cela ne servirait à rien, après tout je n'étais pas comme eux il me fallait me résigner, je ne serais jamais le monstre sanguinaire et sans coeur qu'ils étaient, rien que lire les méfaits passés et présent de mon père me donnais envie de vomir, je cessais donc de prétendre que j'étais ce qu'ils voulaient, voyant de nouveau le visage déçu de mes parents mais en paix au moins avec moi. Je redevenais donc celui que j'avais toujours été au fond de moi, ma colère passant et je pardonnais à mon père cette perte qui m'avais en partit détruit. Je suivais toujours les cours avec applications, refusant de blesser ou tuer j'appris tout de même à lire écrite et compter en sept langues, faisant de mon mieux pour au moins ne pas échouer dans mes études. Enfin c'est ce que j'espérais mais malheureusement il ne suffit pas de croire et d'espérer pour obtenir, c'est peu après tout cela que je commis l'irréparable, les cours de métamorphose avaient commencés, long et fastidieux, je n'arrivait à prendre ma forme de renard que sous le stress et jamais volontairement, pour changer cela j'avais de très long exercices de concentration, un jour que j'étais fatigué l'irréparable se produisit. J'avais ma forme de renard et quelque chose m'effraya me faisant reprendre forme humaine dans le stress je comprenais en voyant le visage horrifié de mon professeur que je n'avais pas fait quelque chose de bien. J'avais perdu mes cheveux argents, ils étaient maintenant d'un roux éclatant, un mouvement derrière moi et je poussais un hurlement qui attira mon père, que n'aurais je donné à cet instant de quoi pouvoir remonter le temps. J'avais une forme hybride, mi homme mi renard, les sons me semblaient plus clairs, la luminosité plus étincelante mais en même temps je ne ressemblait plus du tout à mes parents. Ma mère ne fit aucune réflexion mais me dévisagea avant de tourner le dos et de prendre la main de mon père pour l'éloigner de moi, tout simplement en disant quelques mots qui restèrent gravés dans ma mémoire :" Laisse tomber Haya, on n'en fera rien c'est un raté, il vaux mieut essayer de nouveau, que penses tu de..." Le reste des mots s'était perdu quand elle s'était éloignée au bras de mon père, je compris alors que je ne serais jamais ce qu'ils voulaient . Trop différent, trop gentil, je ne correspondrait jamais à ce qu'ils auraient voulus que je sois, elle venait de me blesser plus durement que je ne l'avais encore jamais été. J'espérais juste que s'ils réussissaient l'enfant à venir ne subirais pas ce que j'avais à affronter jour après jour.
Chapitre 6 : Premiers espoirs
Bien malgré moi je faisait tout de même des progrès, pour pouvoir me déplacer déjà, la queue me donnant un nouvel équilibre à trouver, mes sens plus développés me permettaient d'améliorer certaines de mes capacités. Je me prenais même à espérer que malgré ma nouvelle apparence mes progrès seraient remarqués, peut être que seulement le fait d'être le plus doués me ferait remarqué. Je redoublais donc d'effort, m'améliorant chaque jour un peu plus, devenant plus agile même si je commettais de nombreuses erreurs. Mes oreilles étaient maintenant plus longues et plus grandes, de matière très douce presque comme une peluche j'avais un aperçu de ce que mon pelage donnait quand j'étais un renard et cela me plaisait beaucoup. Pour devenir plus performant mon père imposait un exercice dans le monde humain par semaine, pour camoufler ma queue longue et rousse ainsi que mes oreilles. C'était très difficile je n'eus que des soucis à me concentrer les premières fois, pensant uniquement au sort que je posais derrière moi je ne regardais pas où j'allais ce qui me faisais souvent percuter les gens. C'est un après midi comme ça que je rencontrais un humain assez taciturne il semblait avoir à peu prêt mon âge et malgré cela il semblait comme plus mûr, je m'approchais discrètement de lui et m'assis l'air de rien sur le même banc que le jeune homme le regardant sans rien dire me concentrant pour ne pas laisser apparaître. Combien de temps je suis resté immobile à juste écouter les bruits autour de nous je ne sais pas, mais je sentais le regard du garçon de temps en temps sur moi, le laissant sans troubler sa lecture. J'appréciait le fait de ne pas avoir à justifier ma présence alors qu'il continuait à lire j'observais tout autour de nous, étrange comme son calme m'apaisait mon regard se posant de temps en temps sur lui, il se leva finalement au bout d'un moment me tendant la main et serrant la mienne. " Salut moi c'est Jun'ichirō mais tu peux m'appeler Jun, je viens souvent ici le mercredi si tu veux qu'on se revoit." Il s'éloigna alors qu'une très jolie jeune fille aux cheveux roses le rattrapait et enlaçait son bras en babillant après m'avoir jeté un regard froid. Je restais quelques temps figé avant que mon regard s'illumine déterminé à revenir la semaine suivante pour retrouver mon "ami" tellement content que j'en oubliais presque ma concentration et détalait sans demander mon reste quand une dame aperçu ma queue de renard qui fouettait l'air de contentement derrière moi.
Chapitre 7 : Premiers amis
Ainsi donc tous les mercredi je retrouvais Jun au parc, dans les premiers temps j'apportais moi aussi un livre et nous parlions un peu de ce qu'on lisait, il était assez renfermés et ne dévoilait que peu de chose sur sa famille ce qui m'arrangeait fortement vu la mienne. La suite des choses c'était qu'on devienne ami, il me parlait seulement de sa soeur, enfin demi soeur, elle était à un cours de danse pas très loin et c'est pour ça qu'il l'attendait dans le parc, plus on se connaissait pus on se sentait à l'aise l'un avec l'autre. C'était comme si un lien invisible nous reliait et nous faisait nous retrouver, j'étais toujours content et à ses côtés je devenais de moins en moins prudent, nos fou rire finirent par provoquer ce que je craignais. C'était un après midi comme les autres, en hiver on jouait à se réchauffer en se racontant nos pires bêtises et je perdit ma concentration ma queue et mes oreilles apparaissant brusquement et je me figeais alors qu'il ne semblait pas choqué, il sourit et ne me rejeta pas. On passa l'après midi à parler de nos familles, je lui expliquait mes soucis avec la mienne, il me révélait que la sienne n'était pas tellement différente, bien qu'humaine sa belle mère connaissait l'existence des monstres, quand à son père il avait beau être humain il avait dans le temps aimé une sirène, la mère de Jun. D'une beauté comparable à nulle autre c'était pour le bien de son fils qu'il l'avait arraché à sa mère car elle était marié au pire monstre qui régnait sur leur école à ce moment là. Il lui confia la fuite de ses parents alors qu'il n'était qu'un nourrisson, l'amour que sa belle mère lui avait donné même s'il n'était pas son fils par le sang, étrangement mon coeur se serrait de peur quand il parlait du monstre au cheveux argent qui avait détruit le bonheur de ses parents. Toutefois il était heureux avec sa famille, après que sa soeur ait acceptée ma présence ils m'invitèrent chez eux pour prolonger les après midi de rigolade, nous profitions de la vie à cet instant là jouant à des jeux de société ou tout simplement à rire des histoires que les parents de Jun racontaient. Tout était si parfait que j'en oubliais parfois l'heure, me faisant sermonner quand je revenais plus tard que l'heure que le professeur m'avait autorisé, et cela dura tout le temps que nous pûmes nous voir avant que tout soit brisé une nouvelle fois. C'était un après midi comme un autre, on jouait dans la chambre de mon ami alors que sa mère entra sans qu'on l'ait entendue remarquant alors ma queue et mes oreilles elle sursauta avant de sortir précipitamment. On n'avait pas parlé de ma particularité aux parents de mon ami et j'avoue que cela m'était sortit de l'esprit, quand plus tard son père rentra ils me prirent à part pour tenter de découvrir le nom de mes parents, après avoir longuement hésité et me disant qu'ils auraient l'ouverture d'esprit nécessaire pour ne pas juger le fils sur les actes de son père je leur confiais mon secret... Quelle erreur que la mienne, je me retrouvais à la porte en un rien de temps avec interdiction de les approcher, depuis longtemps je me disais que j'aurais du le dire dès le départ, je fixais du perron la chambre de Jun dans laquelle je voyais des silhouettes bouger alors que des cris retentissaient, finissant par me mouvoir pour fuir, prisonnier à jamais de mon nom, des actes de mes parents espérant juste que mon ami n'aurait pas de problèmes par ma faute. Le mercredi suivant je me rendais au parc, le banc occupé vide de présence alors que je me recroquevillais dessus attendant le soir pour finalement quitter l'endroit pour ne plus y revenir, ma mine attristée étant plus que révélatrice je me retrouvais battu le soir par mon père qui avait perdu son calme en me hurlant que je n'avais pas besoin d'amis et que j'étais suffisamment mou comme ça pour ne pas que je m'attendrisse encore plus. Ce soir là sur mon lit couvert de bleus et de plaies sanguinolentes je me jurais de ne plus jamais me lier avec personne de peur que la colère de mon père ne se pose sur un autre que moi.
Chapitre 8 : Nouveau départ
Quelques années plus tard, j'avais atteint mon objectif, plus personne n'avait d'intérêt à mes yeux, je restais seul dans mon coin, pour autant je restais tout à fait sociable, j'avais juste mis un mur entre moi et les autres, je ne vivais plus au château, en effet vu que mes parents ne supportait plus ma vue j'avais été envoyé ailleurs pour ne plus déranger leur vie. Je logeais alors chez un membre du clan qui c'était intégré à la société pour fournir des proies vivantes au clan, sa maison possédant deux entrée une "humaine" et l'autre démoniaque. Je préférais moi ignorer les activité de cette personne me réfugiant dans la mansarde qui était à présent mon seul endroit de repos. Je maîtrisais désormais mon apparence, devenant un peu plus grand chaque jour je n'en étais pas moins mélancolique, arrivé à 14 ans il me fallait apprendre maintenant toute la lignée et ses "exploits". N'ayant rein d'autre à faire je me mis à la tâche en développant une grande mémoire, j'entendais souvent les victimes de mon logeurs hurler et me réfugiait dans un livre alors que les rires des vampires me glaçait le sang. Les journées se succédaient, identiques et monotones, je finis par me demander si c'est ainsi que je vivrais éternellement et puis un matin on vint me donner une lettre, m'ordonnant de préparer mes bagages et me chassant presque du toit que j'avais eu. J'allais étudier dans le lycée de mes parents, celui dans lequel ils avaient appris et grandit, leur dernier espoir pour que je devienne comme eux. Moi c'était ma porte de sortie donc au lieu de dire que ce n'était pas la solution et que jamais je ne me réduirais à ce qu'ils étaient j'acceptais cette chance, oubliant ma promesse de ne pas me lier à qui que ce soit, j'espérais de nouveau, me demandant si j'y rencontrerais moi aussi des personnes qui compteraient dans ma vie. J'allais me donner cette dernière chance de me faire des mais, ce serais mon dernier essais avant de me résigner et d'aller m'enfermer dans ce monde sombre et froid qui était le mien. In Fact, I'm Just... Surnom : Je n'en ai pas trouvé à vous de me dire ;) Age : 16 ans Sexe : masculin Race : par tiers mi kirito (homme fleur) / sorcier / vampire Profession : étudiant Chambre solo ou double ( préciser si chambre mixte ou non ) : double mixte si vous voulez Orientation sexuelle : pas encore décidée ^^ Pouvoirs :
- malgré mes différentes races je n'en ai qu'un seul, je peux produire des odeurs de toutes sortes sans maitriser vraiment la force du parfum.
- Après c'est une capacité de morphose en renard (quelques capacité auditives supérieures à la moyenne)
- a noter que j'ai une capacité limitée de régénération
Passions : les câlins ça compte ? Tiques et manies : ronronne quand on lui caresse les cheveux Ambition/but/objectif : me faire des ami(e)s ^///^ Armes : c'est dangereux ces trucs là >_<
Comment avez-vous connu le forum ? Une amie ^w^ Ma famille : Never-Utopia |
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