Bienvenue dans ce lycée où les monstres sont rois ♪
Souvenez-vous du temps ancien où déjà les monstres et humains vivaient en semi-harmonie dans ce lycée, il y a plusieurs années de cela...
Aujourd'hui, les enfants de ces anciens élèves font leur entrée dans cette académie mystérieuse, loin du pays des Bisounours ♪
Que seras- tu ? Ange ou démon ? Rejoins-nous pour le savoir ~ ^w^
Capu Next Génération
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Sujet: Nous sommes tous les mêmes, au fond. [Ulrika + Libre] Dim 28 Juil - 6:17
« La torture la plus pure au monde. »
Je regardais autour de moi, le coeur battant la chamade sous l'inquiétude, j'eu un vertige en comprenant où j'étais : l'église. Dire que je m'étais contentée de fuir un danger... J'arrivais droit vers un autre. Celui-ci certainement encore plus mortel que le précédent. Je ne savais pas trop ce qu'il s'était passé, j'étais en chasse, j'avais trouvé une proie, une jeune humaine plutôt mignonne qui faisait la catin, quand cinq hommes étaient arrivés... et ils n'avaient rien d'humain. Me sachant parfaitement incapable de leur faire face, j'avais préféré fuir. Je fuyais rarement devant un combat, mais je n'était pas suicidaire, je savais quand est-ce qu'il valait mieux partir pour sauver ma vie. Mais si c'était pour arriver à cet endroit. Dangereusement près, en plus. Je me sentais déjà mal. Etre un vampire doublé d'une sorte de démon n'était pas le mieux pour traîner à proximité d'un endroit béni.
Je voulais m'enfuir, mais étrangement, je n'avais même plus assez de force pour ça, ma tête tournait, et mes jambes finirent par céder sous moi, j'étais appuyée contre un mur de l'église. Dire que je n'étais même pas à l'intérieur... Je tentais de penser à autre chose, regardant les environs plongé dans l'obscurité nocturne, il devait être aux alentours de minuit, un peu plus tôt ou un peu plus tard peut-être, aucune idée. Il y avait deux lampadaires un peu plus loin, qui éclairaient l'allée menant à l'entrée de l'édifice. Je tentais ne serait-ce que de me traîner un peu plus loin, quand j'entendis des bruits, et je vis cinq hommes s'approcher... Ceux de tout à l'heure. Un rire malsain retentit.
- Alors, gamine, t'as eu peur ? lâcha l'un d'entre eux, que je toisais d'un air mauvais. - Allez... voir ailleurs... si j'y suis sifflais-je tant bien que mal entre mes halètements douloureux.
Ils rirent. Pourquoi ils n'étaient pas mal, eux ?! Ils étaient quoi ?! Je pris le temps de flairer un peu, et frissonnais. Des lycaons. J'étais dans une mauvaise situation, là... Ils s'approchèrent, et l'un me saisit par le bras pour me relever, je mordais le sien sans ménagements, et en retour il me rejeta violemment contre le mur, ce qui me sonna. Je me retrouvais cette fois avec les deux bras maintenus, et l'autre qui ricanait.
- Allez, les mecs, foutez-la dans l'église, juste à l'entrée, ça lui apprendra.
Mes yeux s'agrandirent de peur, oui, pour une fois j'avais réellement peur. Je me mis à me débattre, tentais de les électrocuter, mais j'étais trop faible pour donner plus que de faibles décharges qu'ils devaient à peine sentir. Et puis, soudain, tout s'assombrit un peu plus, la douleur dans ma poitrine s'intensifia, mes poumons me brûlaient, j'avais du mal à respirer, ma tête tournait, je ne voyais que des tâches noires qui dansaient devant mes yeux. Les deux me lâchèrent, et je m'écroulais au sol, voyant juste des ombres floues s'éloigner en riant. L'entrée était là, juste à moins d'un mètre, en tendant la main je pouvais presque toucher dehors... Mais j'étais incapable de me relever, haletant, tentant de retrouver un peu d'air.
- Ai...dez-moi... tentais-je de crier, même si ce ne fut qu'un murmure qui m'échappa.
Si j'avais ne serait-ce qu'un peu de chance, quelqu'un aurait vu la scène et me sortirait de là, ou alors une créature à l'ouïe assez puissante pour avoir entendu mon appel à l'aide viendrait... Mais j'avais peu d'espoir, me sentant doucement partir, cherchant tout de même à prendre une bouffée d'air, en vain, c'était comme si un poids appuyait sur ma poitrine. J'étais mal, j'avais mal. Si mal...
Sujet: Re: Nous sommes tous les mêmes, au fond. [Ulrika + Libre] Dim 28 Juil - 11:58
Nous sommes tous les mêmes, au fond. [Ulrika + Libre]
Rika se retrouvait une fois de plus dans le monde des humains, pourquoi faire vous demandez vous ? A votre avis ?! Il fallait bien qu'elle mange et sa nourriture de prédilection était le sang humain bien frais prélever à même les vaines d'un jeune homme, oui son repas était de préférence de sexe masculin allez savoir pourquoi.
Elle avait donc pris le bus quelque temps plutôt habiller d'une robe noire et de chaussure plate assortie lui donnant l'air mignonne, afin de rendre la chasse plus facile il fallait qu'elle ait l'air inoffensive. Elle descendit alors comme à son habitude tranquillement du bus et ouvrit son ombrelle qui était enfaîte son sabre, mais grâce a quelque sort elle avait réussi à lui donner une tout autre apparence comme elle le faisait pour se donner l'air plus humaine.
Elle marcha tranquillement en ville se mêlent aux humains cherchant du regard une proie appétissante, mais pour l'instant rien de très intéressant ils étaient tous trop vieux, trop gras, malsain etc.... Rika soupira exaspéré de ne pas trouver un humain à son gout, pour élargir ses recherche elle marcha toujours plus loin, passant dans les rues les unes après les autres, s'était dur d'être si sélective parfois.
Il fessait nuit à présent, quel heure ? Aucune idée elle n'avait pas de montre sur elle, Ulrika commençait réellement à désespéré quand elle trouva finalement un jeune homme répondant à ses attend, il attendait son train dans le métro, elle s'approcha de lui le charma à l'aide de ses pouvoirs hypnotiques, il était très tard près de minuit et le métro était désert, elle en profita donc et l'entraînait dans un coin et sans attendre le croqua au cou, elle ferma les yeux sa proie lui ne pouvait pas bouger ni parler il était éveiller sentait la douleur, mais ne pouvait l'exprimer vu qu'il était sous l'emprise de la jeune vampire, c'était décidément un pouvoir bien pratique.
Quand Ulrika se nourrissait elle fermait les yeux et se concentrai sur son sens de l'ouïe pour la prévenir d'un quelconque que danger, seulement cette fois ses oreilles ne capter pas un danger pour elle-même, mais plutôt les plaintes d'une personne en danger, elle ouvrit les yeux et lâcha le cou du jeune homme et renifla l'air une autre vampire enfin plus précisément une hybride vampire et ... démon ? L'autre se la créature de la nuit était très faible et semblait être en train de s'éteindre à petit feu, une autre odeur se mêlait à tout ça ou plutôt cinq autres odeurs provenant de lycaons, cette odeur fit grimacer Rika, elle avait presque terminé de suceur tout le sang du corps du jeune homme qu'elle maintenait debout par le col de sa chemise, elle le poussa sous les rails du train qu'il avait attendu bien entendu prenant garde à ce que les humains ne la voie pas et prenne ça pour un suicide de plus, des cris d'horreur retentir dans le métro le bruit du train qui freinait bien qu'il faut trop tard et que le sang du jeune homme et ses organes et membre déchiqueté par les rails et roue du train gisait entre celle-ci, c'est avec un calme a toutes épreuves et une froideur inhumaine que Rika remonta les escaliers qui menaient à la rue.
Une fois dans la rue elle suivi la piste de la demi-vampire affaiblie et pour cause qu'elle était faible ! A suivre sa piste Rika s'était retrouvé juste la rue devant une église non loin elle voyait les lycaons qui pouffaient d'un rire mauvais et elle put apercevoir la jeune fille étendue au sol à l'entrée de l'église, Rika en avait la nausée rien qu'à être devant cet édifice alors entré pour sortir la jeune fille de la lui semblait bien plus dur que prévu, en réfléchissant elle finit par se faire remarquer par les cinq garçons ils souriraient toujours avec un air mauvais, l'un d'eux ricanât et lançant à ses compagnons en élevant bien à voix :
- Et les gars matez-moi ça ! Une autre gentille fifille pour s'amuser avec nous
Les rires des autres garçons retentirent dans la nuit, Rika resta impassible et froide et répondit sur un ton glacial :
- Cause toujours sale bâtard galeux...
Elle s'avait qu'avec ses pouvoir limite par l'église elle ne ferait pas le poids s'ils décidaient de tous l'attaquer en même temps, mais elle ne voulait pas laisser la jeune fille dans l'église ça aurait pu lui être fatale, puis comme elle était là a présent elle ne pouvait plus reculé, les lycaons ricanèrent de plus belle l'un d'entre eux celui qui avait parlé plutôt lui fonça dessus elle l'évita de justesse en un saut et elle siffla, a cet instant un nuer de chauve-souris arriva elles entouraient les lycaons leurs tournant autour les mordant parfois au passage une véritable nuer noir meurtrière, enfin presque contre cinq Lycaons elle servait juste de contre temps, Rika en profita alors et courra vers l'entrée de l'église, plus elle approchait plus elle se sentait mal et plus son pouvoir devait faible et elle devenait vulnérable comme une simple humaine, arriver à l'entrée elle se senti très mal et prise de vertige, mais elle se ressaisit et avec le peu de force qu'elle avait encore attrapa la jeune fille par le bras et la tira de toutes ses forces ou du moins ce qui lui restait à cet instant, elle pouvait entendre les lycaons déchiqueter chauves-souris par chauves-souris. Après un effort titanesque Rika avait réussi à faire sortir la jeune demi-vampire de l'église et l'avait emmené sur le trottoir, à quelques mètres de celle-ci, c'est à ce moment que Ulrika tomba à genoux haletant complètement épuiser elle secoua doucement la petite demi-vampire
- Ré...réveille-toi...
Codage by Rika
Dernière édition par Ulrika Báthory le Dim 28 Juil - 14:54, édité 1 fois
Saito Oni
Messages : 121 Date d'inscription : 11/07/2013
Fiche perso Espèce: Vampire, sang pur ! Infos perso: Inventaire:
Sujet: Re: Nous sommes tous les mêmes, au fond. [Ulrika + Libre] Dim 28 Juil - 14:18
Nouvelle rencontre
Ce matin en se levant, Sète n'avait pas prévu ce qui lui allait arriver. Comme chaque jour qu'il avait de libre, il allait dans le monde des humains, pense y trouver un endroit bien paisible. Ayant un style bien un lui, pour ce jour-là, un pull assez doux avec des petits poils qui donnait cette matière douce de couleur semis noir et semis blanc était porté sur lui comme un haut. Pour ce qui est du bas, il s'agissait d'un pantalon à carreaux noir et blanc { j'ai un pantalon comme ça *_* avec des chaussures trop styler bref ! XD} accompagner de jolies chaussures assez hautes mais avec le talon plat, vous devez connaître ce genre de chaussure.
Avec de tel vêtement il partis une fois de plus dans le monde des humains. Tout aussi intriguer par ce monde il se balada parmi les autres. Quand Sète était arrivé dans ce monde la nuit avait déjà commencé, et donc il ne restait sans doute plus beaucoup de temps avant de repartir... À moins que la passe une nuit ici. Il n'avait pas de quoi avoir peur, même si dans son caractère il n'était pas du genre à fuir le danger. Lunettes au-dessus de sa tête il parcourut les rues à la recherche de rien à vrai dire ._.
Croisant quelques jeunes lycan, il essaya de les éviter, en se cachent dans une ruelle sombre. À ce moment-là, un mal de tête horrible prit possession de lui, ce mettant à genoux, les mains sur les yeux il essayer de se relever, mais tout son corps était bloqué, figé. Ses yeux d'une bleutée égale à ses yeux avaient été changés en un rouge vif. Alors que la bande je jeune l'avait vue et c'était approcher de lui, Sète c'était redresser et avait fait face à eux, les regardant ne pouvant plus se contrôler. L'air froid était sur son visage et sans expression, hormis un petit sourire sadique au coin des lèvres, qui faisait assez peur.
« - Souffrance. »
Est fixant, chacun des hommes tomba devant lui se tortillant de douleur. Un petit rire sadique parvint à s'échapper de ses lèvres. Puis ce mal de tête repris, s'écroule par terre, il redevint un peu près normal et essaya d'aller dans un endroit perdu pour reprendre ses esprits et se contrôler ... Du moins s'il pouvait. Foncent comme il pouvait une main sur un de ses yeux, Saito partis tout droit dans l'église la plus proche, autant de dire qu'il n'y avait pas 300 églises.
Entrant à l'intérieur ferma la porte brutalement sans savoir si quelqu'un était dehors dans les barrages ou à l'intérieur. Une horrible douleur l'envahi alors qu'il était derrière l'hôtel. Avec son manque d'énergie il put ravoir un contrôle sur lui. Ayant rapidement vu des personnes en dehors il mit ses lunettes ses les yeux, et passa la tête en dehors de la porte de l'église, regarde à droit et à gauche, il vit alors deux jeunes demoiselles dont une qu'il connaissait, s'avançant vers eux comme si de rien n'était il se mit accroupis.
« - Elle n'a pas l'air bien »
Sans même l'ombre d'un bonjour, il regarda la jeune fille qui était inconsciente, tout en se cachent derrière ses genoux. Levant le regard de temps a autre a Ulrika, avec un petit sourire, pour lui adresser un petit bonsoir à peine muet qu'on ne l'entendit à peine
Sujet: Re: Nous sommes tous les mêmes, au fond. [Ulrika + Libre] Lun 29 Juil - 5:49
« Quand la fierté en prends un coup. »
Je sens vaguement une aura, différente de celle des lycaons... L'un de mes pairs, apparemment. Un vampire. Une voix résonne, lointaine, donc je ne comprends que certains mots, qui résonnent dans ma tête. « Eh... gars... gentille fifille... amuser... nous... ». Que se passe-t-il ? Je ne vois que des ombres, un jeu de lumières et d'ombres, telles des ombres chinoises, des formes qui dansent vers lesquelles je parviens à tendre légèrement la main, comme si quelqu'un allait venir me la prendre et me tirer de là. Et puis, une autre voix retenti, claire, féminine, froide, impassible, dont je ne comprends rien cette fois, les mots autant que le sens m'échappe. Et puis, du bruit, rien que du bruit. Je tente une énième fois de prendre de l'air, de chasser ce poids sur ma poitrine. Je serre les poings sous la douleur bien que je n'ai plus aucune force.
Noir.
Combien de temps avait-il fallu de temps avant que je n'entende une nouvelle voix, cette fois tout près, alors que l'on me secouait doucement ? « Ré... Réveille-toi... ». Me réveiller ? Mais c'était si doux, dans le noir. La lumière me faisait mal. Si mal. Pourtant, je retrouvais un minimum de lucidité, me rendant compte que la douleur s'atténuait, que j'étais moins oppressée. Je bougeais légèrement les mains, en mettant une sur ma poitrine en retrouvant un peu mon souffle, gardant encore les yeux fermés. J'entendais encore du bruit. Il y avait deux personne. Tous deux étaient des vampires de sang pur, apparemment. « Elle n'a pas l'air bien. ». Une voix masculine. Il parlait de moi ?
Je finis par cligner des paupières, les ouvrant difficilement alors que ma respiration s'était faite plus facile. Je vis deux personnes. La plus proche de moi était la femme, qui, si je l'avais bien compris, m'avait sortie de l'église. L'autre, était un jeune homme aux cheveux d'un bleu turquoise plutôt vif malgré le peu d'éclairage. Je voulu parler, mais je ne fis que tousser. Aussi, j'attendis d'avoir un peu récupéré, pour me redresser doucement en position assise, portant une main à mon front, mon mal de crâne était toujours présent, et à la limite du supportable. Je grimaçais légèrement, avant de regarder autour de moi, nous n'étions qu'à quelques mètres de l'église. Voilà pourquoi mon malaise ne disparaissait pas totalement... Mais il n'était plus aussi fort qu'avant. Je reportais enfin mon attention sur les deux vampires, prenant une profonde inspiration. Bon, apparemment, je devais être reconnaissante. Aïe.
- Je... Merci... De m'avoir sauvée... murmurais-je doucement, pour éviter que ma voix ne se brise.
Je toussais de nouveau, tentant de m'éclairer la voix, tout en essayant de comprendre ce qu'il avait bien pu se passer. Ce qui était assez compliqué. Je n'avais aucune idée du temps durant lequel j'étais restée inconsciente, ni de comment on m'avait sortie de là, ni de ce qu'il était advenu des lycaons.
- Est-ce que vous... pourriez m'expliquer ce qu'il s'est passé ? Je m'interrompais, toussais de nouveau, secouais un peu la tête. Au fait... Je m'appelle Yuze. Yuze Kurotsuki. Et vous deux ?...
Ils méritaient un minimum de politesse, du moins je l'estimais. Ils m'avaient sauvé la vie, je devais leur témoigner au moins un peu de gratitude. Même si... ce n'était pas dans mes habitudes.
Sujet: Re: Nous sommes tous les mêmes, au fond. [Ulrika + Libre] Lun 29 Juil - 16:10
Nous sommes tous les mêmes, au fond. [Ulrika + Libre]
Ulrika avait bien senti une présence vampirique en plus, à vrai dire elle ne s'était pas inquiétée de cette présence car elle en avait reconnu la provenance, Saito Oni surnommé Sète, elle ne l'avait pas vu, mais senti à vrai dire elle était plus concentrée sur l'état de la jeune fille étendue au sol inconsciente, elle ne savait pas combien de temps elle avait passé dans l'entrée de l'église mais suffisamment pour la faire s'évanouir, en même temps si Rika n'avait pas bu le sang d'un jeune homme avant de rentrer elle serait s'en doute elle aussi tomber dans les pommes avant d'avoir pu sortir la demi-vampire de là.
Rika venait à peine de retrouver son souffle qu'elle entendit des bruits de pas elle eut un sursaut et se retourna pour voir qui approchait croyant que les Lycaons revenait à l'attaque, c'est la quel vu Sète qui s'approchait il sortait de l'église ?! Elle se demandait bien ce qu'il avait été faire là dedant et de plus s'il n'était pas un peu masochiste sur les bords ! Mais elle ne dit rien soulager que ce ne sois que lui, plus loin gisait des cadavres de chauves-souris, mais pas de lycaons il avait dû fuir, elle reporta alors son attention sur la jeune fille qui semblait avoir bougé un peu et respirait avec plus de facilité donc ses qu'elle commençait à aller un peu mieux, Rika sourit à cette idée et Saito s'accroupis prés d'elles, il dit que la jeune fille n'avait pas l'air bien Rika hocha la tête pour approuver ce qu'il venait de dire et répondit sur une ton calme quoi que légèrement fatiguer :
- Elle respire tout de même mieux qu'il y à quelques instants, elle a remué aussi donc je pense que c'est bon signe.
Le jeune bleuté ne l'avait même pas salué en donc elle avait fait de même de toutes façons l'heure n'était pas aux salutations vu qu'elle était plutôt inquiète pour la demi-vampire, néanmoins Sète et elle avait échangé un regard et il lui avait murmuré un petit bonsoir à peine audible, mais elle l'avait tout de même compris, elle lui rendit ce petit sourire.
Elle entendit alors la petite demi-vampire bouger ce qui capta son attention elle la regarda elle avait ouvert les yeux, Rika ne dit rien attendant de voir ce qu'elle allait faire et surtout ne voulant pas la brusquer et la laisser récupérer à son rythme, elle semblât vouloir parler, mais se mit à tousser, ce qui était normal vu qu'elle avait eu beaucoup de mal a respiré dans l'église elle voyait à peine son torse remuer là-bas, maintenant que tout était plus calme et qu'elle l'avait mieux regardé elle remarqua que la demi-vampire était plus jeune qu'elle-même.
La jeune fille finie par s'asseoir elle porta sa main à son front et grimaça elle devait avoir mal au crane, certainement parce qu'ils n'entaient cas quelques mètres de l'église, Rika aussi en avait des nausées et se sentait faible car prise de légers vertiges, c'est d'ailleurs pour ça qu'elle n'avait pas bougée qu'elle était restée à genoux à coter de la demi-vampire encore une fois heureusement qu'elle avait dîné avant de venir l'aider sinon elle aussi aurait été "H.S." tout un moment. La jeune fille finie par parler en un murmure, elle les remercia de l'avoir sauvé Rika sourit et répondit avec douceur :
- Je t'en prie. J'espère que ça va j'ai eu un petit contre temps avec les autres sales bâtards galeux donc je n'ai pas pu te sortir de la plus vite.
En disant cela une chauve-souris toujours en vie et trois de ses soeurs volèrent avec l'ombrelle d'Urika en gueule, la vampire tendit la main et l'attrapa au vole une fois que les chauves-souris l'eurent lâché Rika les regarda dit simplement avec un sourire :
- Merci !
Ensuite la vampire écouta la jeune fille qui après s'être éclairci la voix avait demandé s'ils voulait bien lui dire ce qu'il s'était passé puis elle avait toussé à nouveau et s'était présenté en tant que Yuze Kurotsuki et avaient demandé leurs noms à Rika et Saito, la vampire pris la parole en premier sur un ton doux accompagner d'un sourire comme à son habitude :
- Enchanté de te rencontrer Yuze, Moi je m'appelle Ulrika Bàthory. Mais tu peux m'appeler simplement Rika.
Elle marqua un pose et pris le temps de s'asseoir au lieu de rester à genoux elle les frottas doucement pour les débarrasser des petits cailloux et autres saletés qui étaient collées à sa peau couleur porcelaine, puis elle reprit toujours sur le même ton :
- Pour ce qu'il c'est passer pour ma part, j'étais sortie dîner puis je t'ai entendue appelée à l'aide donc poussé par la curiosité je suis venu jusqu'ici et là j'ai vu ses cinq types et je t'ai vu dans l'église alors, j'ai lancé toutes les chauves-souris que j'ai pu trouver dans les parages sur eux le temps de te sortir de là.... Par conte je n'ai aucune idée de ce qu'il leurs ais arrivé ensuite.
A la fin de sa phrase elle regarda autours d'elle là ou gisant les cadavres de chauves-souris qu'ils avaient tué, ils ne devaient pas être parti bien loin, il fallait donc tout de même rester sur ses gardes, ils pouvaient toujours revenir et peut-être plus nombreux ce genre de bêtes fessaient souvent partie d'une meute.
- Et toi comment t'es-tu retrouvée dans ce pétrin ? Finit-elle par demander au bout de quelques minutes
Codage by Rika
Saito Oni
Messages : 121 Date d'inscription : 11/07/2013
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Sujet: Re: Nous sommes tous les mêmes, au fond. [Ulrika + Libre] Mar 30 Juil - 0:13
Les visages tombent..
Sète était un peu fou sur les bords. S'il avait été dans cette église et cela seul lui pouvait savoir exactement pourquoi il avait été le dedans c'était pour ressentir un brin de douleur pour le permettre d'avoir un contrôle raisonnable sur lui. C'était pour une de ces raisons-là qu'il aurait préférées mourir que de rester en vie encore quelques instants. Saito, un jeune homme aux couleurs flash n'aimait pas le reste du monde, et encore moins de vivre, pour lui il était qu'une fourmi parmi une grande fourmilière ou il airait à attendre que la mort vienne le chercher.
En sortant de l'église les vertiges lui vinrent alors, il n'avait pas touché à une goutte de sang humain et d'autre chose depuis son arrivée à l'école, cela faisait déjà donc deux jours. Pour ne pas paraître « malade » il avait un air un peu joyeux sans l'avoir, nous allons dire qu'il essayait d'être assez naturel. Même si sa peau le trahissait, les deux jeunes femmes ne pourraient pas voir qu'il était dans un état assez potable. Ce qui le rendait un brin joyeux, car il n'aurait pas à être bombardé par des questions ou des obligations ou même de la pitié, ce qu'il avait horreur d'avoir...
Saito fixait la jeune fille, elle était si calme, si pâle qu'on aurait dit une enfant... Cette fille était comme morte. Il n'attendait que de la voir réveillée, pour voir qu'elle allait un peu près bien. Rester accroupis, laisse son visage cacher entre ses jambes il attendait gentil menti. Petit à petit, il la vit sa réveillée et de bouger un peu dans tous les sens. En attendent Ulrika avait aimablement dit qu'elle respirait mieux qu'il y a quelques instants, Sète ne pouvait pas vraiment savoir, car il venait d'arriver et il n'avait pas vraiment vu dans l'état qu'elle était arrivée, ni d'où elle venait, c'était la question du jour ...
Délicatement, l'enfant si l'on peut dire avait discrètement ouvert les yeux. Voyant à présent la couleur de ses yeux, d'une couleur fort sympathique elle reprit connaissance, avec son peu d'humour, il allait limiter dire d'un air charmeur « ALLELUYA ! » mais il ne dit rien et attendit encore un peu. Tranquillement, elle se mit de côté une main sur son front voyant bien quelle n'était pas très en forme non plus. Saito resta muet comme une carpe alors que les jeunes filles avaient tous deux parlers.
L'enfant, les avait remercié de l'avoir sauvé. Sète voulut rectifier sa phrase, car il n'avait pas fait grand-chose ... voir rien du tout n'a par lui dire qu'elle n'était pas bien et de la regarder sa réveillée c’était la seule chose qu'il avait faite. Tout de suite après Rika avait dit qu'elle avait eu un contre-temps avec les autres bâtards comme elles les avaient décrits et que par conséquent elle avis mit un peu de temps pour la sauver. Une petit chose lui fait tilter, est ce que les jeunes galeux qu'elle avait vus étaient les mêmes qu'il avait vaguement croisés . Bientôt il aurait eu réponse à ses questions.
Pendant que Rika faisait appel à ses chauves-souris, Sète resta accroupi cacher entre ses genoux, regarde les deux jeunes filles du coin des yeux, ne parle pas encore. La jeune Yuze qui s'était présentée il y a quelques instants avait demandé ce qui s'était passé. Saito alors attendit les paroles de Rika pour savoir ce qui s'était passé, car lui aussi était dans l'ignorer. À présent, Rika c'était présenter, il restait donc plus que lui. Il n'aimait pas se présenter... vraiment pas... il ne le fit donc pas maintenant.
Yuze, eu alors la version de l'histoire et par la même occasion il eut la version des faits, l'écoute avec attention Rika avec dit qu'elle était sortie d'un dîner qu'elle avait entendu appeler à l'aider et qu'Ulrika poussée par la curiosité avait été voir de plus près. Puis elle avait vu cinq types et alors elle avait remarqué Yuze dans l'église. C'est ainsi que la chevalière Rika est venue et donc a sauvé la petit Yuze en envoyant ses chauves-souris et qu'elle a amené l'enfant dehors pour la faire respirer. Personnellement, si on me dit que j'avais vu une jeune fille avec cinq mecs j'aurai pensé aux violes, le monde dans le quelle Sète vie est tellement barbare …
La question qui allait faire que Saito allait avoir un visage assez froid et figer était la question de savoir ce qui était arriver au cinq mec... Très bonne question qu'il aurait pu répondre, et il ne sans privant pas, mais cela resta très vague. Sète avait répondu juste après Rika qui avait demandé à la petite Yuze comment elle s'était retrouvée dans ce pétrin ! Très bon choix de question avait pensé Saito, comment une fille qui n'était pas humain, donc un petit plus avait été traîner dans une situation pareil... ?
« - Je ne pense pas qu'ils risquent de revenir... »
T-elle avait été les seules paroles qu'il avait pu prononcer dans un dialogue aussi torride.
Sujet: Re: Nous sommes tous les mêmes, au fond. [Ulrika + Libre] Lun 5 Aoû - 3:55
« Pleurerons-nous sur le sort de criminels ? »
Je pris l'initiative de me relever lentement, m'étirant légèrement, vérifiant que je n'avais subis aucun dommage autre que le fait de m'être retrouvée à l'agonie dans l'église, mais apparemment, tout allait bien. Au moins un bon point. Et les deux autres n'avaient pas l'air non plus d'être blessés, je ne sentais pas spécialement l'odeur de leur sang. En tout cas, ce qui était sûr, c'était que je me retrouvais entre deux vampires au sang-pur. Je priais pour qu'ils ne soient pas de ceux qui méprisaient les hybrides comme moi. Enfin, si ç'avait été le cas, certainement ne m'auraient-ils pas sauvée. Ou alors, l'auraient-ils simplement fait pour se moquer de moi ensuite. Mais ils n'avaient pas l'air ainsi. La jeune femme qui venait de récupérer son ombrelle apportée par quatre chauves-souris, se présentant comme Ulrika, semblait assez sympathique et souriante. L'autre, qui ne s'était pas présenté, avait l'air assez silencieux, distant, comme dans son propre monde, loin de tout. Je m'autorisais donc à lire dans ses pensées, juste pour attraper son prénom au vol, Saito. J'esquissais un petit sourire, l'air de rien.
J'époussetais un peu mes vêtements, faisant couler mon regard de l'un à l'autre, les écoutant silencieusement, bien que le bleuté n'avait dit qu'une seule et unique phrase à la fin. Ils ne risquaient pas de revenir ? Etrange. Les auraient-ils traumatisés ? Je laissais mon regard sur lui, comme si je tentais de le sonder, de savoir ce qu'il pouvait bien cacher dernière l'espèce de carapace qu'il semblait avoir bâtie autour de lui. Puis, je soupirais, secouant doucement la tête, prenant la parole après avoir fait traîné un long silence, plongée dans mes réflexions concernant ce Saito.
- Enchantée, Ulrika, et merci, pour ton aide. Ce n'est rien, pour le contre-temps... Tant qu'on s'en est tous sortis.
Je regardais les cadavres de chauves souris, un peu plus loin, grimaçant légèrement. Les pauvres. Oui, j'avais plus de compassion pour des « sales bestioles » comme auraient dit certains, que pour « de braves garçons » comme lesdits certains auraient pu tout aussi bien le dire. Mais ces chauves-souris étaient certainement plus méritantes de compassion que ces sales types. En continuant de parler d'eux, la question que je redoutais arriva. Comment je m'étais retrouvée dans ce pétrin ?
- C'est très simple, fis-je avec un petit rire léger. Je chassais. J'avais trouvé une proie. Et le groupe a débarqué. J'ai préféré partir, car seule contre cinq, c'était du pur suicide. Et en fuyant je me suis retrouvée ici, sans vraiment savoir pourquoi. Le groupe est revenu me chercher des noises, je me suis rebiffée, et pour me faire taire ils m'ont mise dans l'église. De là, vous connaissez la suite.
Je souriais, penchant un peu la tête, affichant un air enfantin tout ce qu'il y a de plus mignon et innocent, puis partais dans un fou rire, sans raison apparente. Les gens pensaient souvent que j'étais folle, parce que je passais de la colère, aux larmes, au rire, d'une seconde à l'autre, sans crier gare. Personne n'en avait jamais compris la raison. Pas même moi. Pas plus que je ne compris pourquoi je m'accroupissais devant le bleuté, venant effleurer sa joue du bout des doigts, le regard pétillant de malice.
- Enchantée, Saito ! lançais-je l'air de rien, alors qu'il allait certainement se demander d'où je connaissais son prénom. Comment peux-tu savoir qu'ils ne reviendront pas ? Tu les as tué ?
Je n'avais aucune gêne à parler de la mort de quiconque, moi-même j'avais plus d'une fois ôté la vie à bien des personnes. Une fois, une seule, j'en avais souffert. Je savais bien que ce jour là, je n'aurais pas du... Je me relevais d'un coup, tournoyant un peu sur moi-même pendant un instant, avant de m'arrêter net, tout aussi soudainement, riant avec légèreté, rire enfantin et cristallin, chassant toutes mes sombres pensées, regardant mes deux confrères.
- Que diriez-vous que l'on s'éloigne un peu de l'église ? Je n'aime pas du tout cette proximité avec cet endroit de malheur !
A leurs yeux, je devais certainement paraître des plus étranges. Mais peu m'importait. Je l'étais un peu, au fond. Et je l'assumais !
Sujet: Re: Nous sommes tous les mêmes, au fond. [Ulrika + Libre] Mer 7 Aoû - 8:40
Nous sommes tous les mêmes, au fond. [Ulrika + Libre]
Rika et Yuze avait toutes les deux parler elle s'était toute deux présenté, mais Saito lui n'avait pas desserré les dents, la jeune vampire aurait put le présenté elle-même à Yuze vu qu'elle l'avait rencontré hier, mais avait décidé de ne pas le faire, après tout Saito n'était pas du genre très bavard il devait avoir ses raisons pour ne pas se présenter tout de suite, il semblait plutôt joyeux, mais elle avait appris à ne pas se fier à l'image qu'il donnait.
Yuze elle s'était relevée et s'étirait un peu vérifient qu'elle avait subi aucun dommage physique, Rika elle en profita pour épousseté son ombrelle, vérifient si le charme qui fessait garder à son arme cette apparence n'avait subi aucun dommage en tombent tout à l'heure, tout lui semblait ok elle sourit satisfaite, elle écouta Saito répondre après elle disant que les cinq garçons de tout à l'heure ne risquait pas de revenir, elle tourna la tête un instant surprise qu'il dise cela, son ton était comme son visage figé et froid, il devait avoir fait quelque chose à ses types, avait -il perdu le contrôle de lui-même comme lors de leur première rencontre ? c'était surement ça, elle ne dit rien se contentant d'arborer un sourire chaleureux en le regardant posant une main sur un des genoux du jeune homme.
Après un long moment de silence Ulrika fut détourné de son attention sur Saito par Yuze qui répondait enfin à la présentation de Rika et la remercia pour son aide, lui disant également que le contre temps qu'elle avait eu n'était pas grave vu qu'ils s'en étaient tous sorti, Rika sourit et hocha la tête pour approuver ce que je jeune fille avait dit elle ajouta calmement et amicalement :
- Enchantée aussi de faire ta connaissance Yuze, et oui tu à raison, mais ça m'ennuyait tout de même si l'église ne m'aurait pas affaibli je leur auraient arraché la tête et le tour était joué, elle pris un aire triste tournant sa tête vers les petits cadavres des chauves-souris et reprit tristement. A cause de ça il a fallu que ses pauvres petites y laisse leur vie.
Rika écouta ensuite la réponse de Yuze à sa dernière question, comment avait-elle fini dans ce pétrin ? La jeune fille répondit avec un petit rire léger, Ulrika écouta calmement apparemment ses cinq types l'avaient dérangée alors qu'elle chassait, qu'elle avait pris la sage décision de partir, car cinq contre un lui paraissait être du suicide, elle n'avait pas eu tord sur ce point mais bon en allant l'aider Rika avait eu une attitude suicidaire elle- même et elle n'en était pas à sa première fois il lui était arrivé plusieurs fois d'avoir beaucoup d'adversaire contre elle seule et sent était souvent sorti de justesse, très amocher voir uniquement par coup de chance, elle n'interrompue pas la jeune demi-vampire qui continua son histoire, donc en fuyant elle s'était retrouvée sans le vouloir ici et qu'ils l'avaient suivi et l'avait finalement jetée dans l'église pour la faire taire, Rika soupira décidément ses types étaient des véritable faibles, sans prendre à une jeune fille à cinq était extrêmement courageux de leur part bien-sûr s'était purement ironique.
Pendant ce temps Yuze avait souri d'un air enfantin et était parti dans un fou rire sans raison, elle était vraiment mignonne comme ça, enfaîte Rika ne se posait même pas la question de pourquoi elle s'était mise à rire comme cela, après tout cela lui arrivait aussi elle devait être comme elle un peu folle sur le bord du moins on l'avait déjà traité de folle plusieurs fois de part ses réactions enfantines, la jeune Yuze s'était accroupie devant Saito et lui avait effleuré la joue de celui-ci, Rika fronça un instant les sourcils, prise d'une certaine jalousie puis elle secoua la tête et se reprit, retrouvant son visage calme et son sourire habituelle l'amour qu'elle puissant sentiment qui en réveillait temps d'autre en même temps, Yuze semblait avoir lu le nom de Saito dans son esprit, car elle s'adressa à lui en prononcent son nom, elle lui posa aussi une question pour savoir pourquoi il semblait si sûr que les cinq autres ne reviendrai pas et s'il les avait tués, bon ça au moins c'était fait, Rika n'avait pas voulu ennuyer Sète avec ce genre de question, mais elle était tout de même curieuse de savoir ce qu'il allait répondre, qu'avait-il fait avant de les rejoindre ? Maintenant resterai à savoir si cette fois il dénierait répondre à Yuze ou s'il détournerait la question.
Rika se leva calmement tout en retirant de quelque révère de main la saleté qui s'était déposé sur sa robe d'un noir corbeau, Yuze proposa qu'ils s'éloigne de l'église, car elle n'aimait pas être aussi proche de cet endroit, Rika pensa qu'il en était de même surement pour tous les trois, même éloigner elle pouvait ressentir ce malaise constant qui lui donnait des vertige il était tant de sent éloigner, elle hocha donc la tête avec un sourire radieux aux lèvres :
- Oui il serait temps, ce n'est pas agréable du tout dans être si proche, tout le contraire d'ailleurs !
Dans un geste gracieux elle ouvrit ce qui lui servait d'ombrelle et posa le manche contre son épaule gauche elle se tourna ensuite vers Saito et lui tendit la main pour qu'à son tour il se relève gardant son sourire elle lui dit d'une voix enfantine et enjouer :
- Tu viens Sète ?
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Saito Oni
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Sujet: Re: Nous sommes tous les mêmes, au fond. [Ulrika + Libre] Dim 11 Aoû - 10:24
Marionnette
Accroupis, sur son trottoir, il ne bougea pas. Saito avait peur de la foule, il n’aimait pas avoir trop de monde autour de lui, car il était facile pour lui pour tuer tout comme, perdre le contrôle. C’était pour divers raison qu’il restait assez éloigner de tout le monde, il s’était construis un propre monde ou seul certaine personne pouvait rentrer dont Ulrika. Personne d’autre ne rentrerai, le toucherai le manipulerai, personne n’aura un contrôle sur lui tant que lui n’aurait pas un contrôle sur lui.
Les deux jeunes femmes, parlaient librement, quand a lui il attendit et ne dis pas même un bruit. Fixent de temps a autre la jeune Rika, avant de regarder brièvement la jeune femme qui avait de la joie de vivre. En tout premier Yuze fut enchantée d’apprendre le prénom de Ulrika, et cette enfant la remercia pour son aide. Elle avait plutôt intérêt, car Rika était rentrer dans cette église a souffrir elle-même pour sauver une autre, ce que peu de personne ferrai.. Tout me monde sans était sortie certes. Mais Saito lui n’avait pas fait grand-chose..
Puis après avoir appris le prénom de ma bien aimer elle expliquât comment elle avait été entrainer ici.. Yuze était peut-être une fille a problème a s’attirer les ennuie de tout le monde ? Les petites filles qui sont arrogante, qui vous nargue et qui en sont fière. Chose qui me tape sur le système. Avec un certain rire la demoiselle expliquât qu’elle chassais, comme la plupart des créature devrais-je dire.. et que par chance elle avait trouvé une proie !
Et que c’est ainsi que les guss sont arrivés, et donc au final elle a préféré partir. Bonne décision ! Il faudrait être un peu fou pour vouloir rester, cependant Sète lui aurait surement rester, étant déjà un garçon.. cela aurait fait un peu tapette si il aurait pris la fuite, et puis ce n’est pas vraiment son genre. Et donc le reste était facile a deviner.
Ce qui se passa après, resta très calme, très naturel. Cela dit un brin de surprise se fit avoir sur le visage du jeune Saito. Sète était dans ses nuages, regardent le sol d’une manière assez maussade et complètement ailleurs. Il entendait certes les paroles des jeunes femmes, mais il était trop feignait pour dire quelque paroles. Il avait entendu, la jeune enfant partir dans un délire des plus fous. Saito avait un peu relevé la tête pour la voir, et n’y fit même pas attention a elle. Lui aussi il avait eu un temps où il était comme cela.
Comme un enfant, qui riait sans explication, qu’il avait une certaine joie meurtrière a tuer tout le monde a aimer chacun des actes qu’il faisait. Pour lui c’était assez mignon a regarder, voir même rigolo. Pourtant il ne sourit même pas, et remit son regard sur une bouche d’égout. Fascinant.. ! puis il s’aperçut que son regard était cacher par quelqu’un qui venait devant lui. Un brin curieux il redressa la tête et aperçut l’enfant.
Lèvent un sourcil le fixent d’un air assez dérangent, pour dire qu’elle la dérangeait plus qu’autre chose. Il attendit quelque instant pour voir ce qu’elle allait faire. C’est alors qu’il sentir le bout de ses doigts effleurer sa joue. Il ne bougea pas. Sète ferma les yeux, leva sa main et repoussa sa main, pour ne pas qu’il le touche. D’une voix assez froide il prononça des paroles..
« -Enlève tes sale patte venimeuse de mon visage.. ! On ne touche pas a ce qui n’est pas a soie Yuze »
Il remit délicatement ses bras autour de ses jambes, reprenant sa position de départ et remit son regard sur le sol, figer. Puis sans même avoir été étonné elle avait prononcé son prénom. Le prénom qu’il niait tant, qu’il ne voulait pas avoir. De toutes les façons possibles Saito n’aimait ni son prénom, ni son surnom, ni même son nom de famille. Il aurait voulus êtres un sans prénom / nom .
Ce qui renda son regard surpris, c’est qu’elle avait parlé de la mort comme d’un roman. Sans gêne. Pour lui la mort était la vie et la vie était la mort. Sète eu un petit sourire mesquin sur son visage, a la limite d’avoir un rire fou, mais il eu un peu de retenue. Laissent ses lunettes de soleil sur son nez, au fond de lui il rigolait de ses paroles. D’une voix assez fou il répliqua a la jeune femme.
« - Je te retournerai pas tes paroles de « bienvenue », de plus on me surnomme Sète, alors tâche de t’y rappeler. Et si, bien au contraire, ils seraient vivants, et qu’ils ont eu une récompense de leur travail bien mérité ? »
Il prit un certain plaisir a dire ses paroles, pour lui provoquer les personnes et de rire de leur malheur était une chose qu’il aimait bien plus que tout. Si il le pouvait il saurait lécher les lèvres.. Les deux jeunes femmes voulait partir de cette endroit, pour Sète il était bien dans cette endroit, calme tranquille même si une église qui était a côté d’eux était assez gênante cela était un belle endroit. Cependant, il ne laisserait pas sa belle partir sans lui. La jeune Rika ouvrit son ombrelle et elle l’avait poser sur son épaule gauche avant de se tourner vers Saito avec une main tendu et un certain sourire qu’elle avait demandé si il allait venir.
« - Je viens, je viens. »
Calmement et sans se précipiter il déposa sa main dans celle de la jeune femme et se releva. Entrelacent ses doigts avec les sienne il joua avec sa main, comme pour se déstresser. Puis avec un geste doux il déposa un doux baiser au coin des lèvres de la jeune femme avec un petit sourire toujours aussi sincère avec elle.
Sujet: Re: Nous sommes tous les mêmes, au fond. [Ulrika + Libre] Mer 14 Aoû - 4:54
« Mais qui tire les ficelles ? »
J'avais sentit dans l'aura d'Ulrika émerger de la... jalousie ? J'avais capté le mot « amour » dans son esprit, et avais un peu frissonné. L'amour ? Allez, j'étais bonne pour tenir la chandelle, vous pariez ? L'amour était un sentiment que je n'avais jamais connu jusqu'à présent. Avant de trouver Luze, mon père, il paraît que maman en avait pas mal souffert, et qu'elle avait faillit ne pas ressortir vivante du désespoir qu'il l'avait rongée. Du coup, j'étais assez méfiante quant à ce sentiment si destructeur que l'on trouvait malin d'énoncer comme « magique ». N'importe quoi ! Et puis... mon père ne me laissait pas vraiment libre d'aimer qui je le désirais. Il voulait que j'aime un homme, alors que j'avais toujours été plus attirée par les femmes. Il voulait que j'aime quelqu'un de fort qui saurait me dominer et me tenir tête, mais je savais que je ne tiendrais pas un mois avec une personne pareille avant de l'égorger. Je trouvais la loi de mon père injuste. Alors que ma mère, elle, me laissait aimer qui je voulais. Enfin, de toute manière, l'amour n'était pas vraiment... mon truc.
Enfin, revenons à nos moutons. Le bleuté face à moi venait de repousser ma main, et je laissais un sourire sur mes lèvres, ne répondant rien à ses paroles. Pas pour le moment, laissant le silence planer avant qu'il ne reprenne, d'une voix dans laquelle résonnait la folie, une folie qui semblait certainement à la hauteur de la mienne. Mon sourire se fit narquois, avant que je ne m'éloigne, retournant dans la rue en dehors du terrain de l'église, observant les alentours. Tout était sombre, silencieuse, la route éclairée par les lampadaires sur les trottoirs. J'entendis un bruit métallique, avant d'entendre des feulements et aboiements, déduisant alors qu'un chien et un chat avaient du se battre pour une quelconque poubelle.
Je lançais un regard vers les deux autres, et retenais un air dégoûté. Ils étaient là, main dans la main, et vas-y que je te fais un petit baiser au coin des lèvres l'air de rien. Berk. Je levais les yeux au ciel, ciel nocturne dégagé de tout nuage qui laissait donc voir les étoiles. Une belle nuit, en somme. J'attendais que les deux arrivent à ma hauteur pour regarder le bleuté, moqueuse.
- Oh, pardon, Sète... En effet, tu n'es pas à moi mais à Ulrika ♪ Je ris doucement, avant de reprendre. J'espère qu'ils ont apprécié leur récompense, les toutous, sinon c'est fort dommage pour eux.
Je traversais la route déserte pour me retrouver sur le trottoir d'en face, rassurée d'être enfin éloignée de l'église. C'était beaucoup mieux ainsi, et je me sentais en pleine possession de mes moyens. Si jamais cela devait mal tourner pour moi, je pourrais au moins me défendre un minimum. Je n'avais pas tellement peur d'Ulrika, mais plutôt de Saito, qui n'avait pas l'air d'être un enfant de chœur quand il s'y mettait. Quoique, mieux valait me méfier de la vampiresse aussi, après tout vu qu'ils avaient l'air d'un petit couple, elle pouvait parfaitement se ranger à ses côtés, et à deux vampires de sang pur contre une hybride... Hm, je me défendrais quand même, mais je ne connaissais rien de leurs pouvoirs. Donc, mieux valait la jouer fine.
- Me donnez pas l'impression de tenir la chandelle, s'il vous plait, même s'il semblerait que ce soit le cas. fis-je en soupirant doucement, affichant une petite moue boudeuse qui, l'instant d'après, était curieuse. Simple curiosité... Vous seriez pas à Yôkai ?
Ce n'était qu'une histoire de déduction, mais je les voyais mal dans un établissement humain. Très mal, même. Surtout le bleuté, qui semblait assez instable. Il ne devait certainement pas être très à l'aise avec la foule.
Sujet: Re: Nous sommes tous les mêmes, au fond. [Ulrika + Libre] Mer 14 Aoû - 14:09
Nous sommes tous les mêmes, au fond. [Ulrika + Libre]
Rika avait bien entendu comme la plupart de fille amoureuse, été un instant prise de jalousie de Yuze effleure la joue de Saito, il était vrai que ce n'était pour ainsi dire rien du tout ce n'est pas comme si elle l'avait hum draguer ouvertement ni même tenté de le violer sur place, mais elle n'avait pas appréciée si elle ne s'était pas calmé en se disant qu'il était idiot d'avoir ce genre de réaction pour si peu elle aurait sans doute réagit de manière hostile étant donné son caractère impulsif, comme la première fois ou elle avait ressenti ce sentiment à l'égard de la sale p... De la petite amie de son frère jumeau ou elle avait gentiment tenté de lui arracher la tête, mais qui avait été arrêté par son frère, s'était à cause de sa qu'elle s'était enfuie de chez elle pour rejoindre le monde des démons pour passer ses nerfs là-bas, mais cela ne lui avait pas soulagé son sentiment de trahison, maintenant qu'elle avait pris du recul, c'est à son frère qu'elle tenterait d'arracher la tête la prochaine fois pas à l'autre garce ! Non pas pour être tombé amoureux, mais pour l'avoir laissé tomber comme une veille chaussette sale après avoir rencontré cette fille.
Cependant, revenons à nos moutons, Rika avait été étonné de la réaction de Sète à l'égard de Yuze bon il était vrai qu'il n'était pas aussi sociable qu'elle et que Yuze n'aurait pas dû le toucher avec autant de familiarité, mais de l'a à lui parler de cette manière, enfin bon Yuze ne répliqua pas, elle ne réagit même pas. Rika soupira à la fois ennuyer, mais en même temps soulager elle n'avait pas envie d'être au milieu d'une " bagarre " verbale entre les deux et après de devoir les séparé comme deux enfants qui se chamaille ! Sauf que là pour séparer une hybride et en vampire cela aurait été autre affaire que de séparer deux enfants, surtout si Saito perdait le contrôle de lui-même. Non elle n'avait vraiment pas envie de ça ce soir ! S'ils commençaient à " s'existé " l'un sur l'autre un coup bien placer et paf aux dodos les gamins ! Mieux valait ne pas énerver Rika quand elle a décidé de passer une soirée tranquille, elle était gentille, mais il ne fallait pas pousser... Et les deux autres le comprendraient bien vite s'ils commençaient leurs chamailleries idiotes.
Quand Yuze avait parlé de la mort possible des autres chiens galeux, Saito avait encore une fois ouvert sa grande gu... bouche, d'une voix moqueuse et méprisante et provocante, mais s'était pas possible il avait un syndrome prémenstruel ou quoi ? ( Désoler j'ai pas pu résisté xD ) à être agressif et provocateur comme cela, bon ok s'était un mâle mais tout de même il lui fessait penser à une fille en plein période menstruel ou du moins qui y venait ( NON c'est pas du vécu ! >w<" ), si elle s'était écoutée elle lui aurait tiré les oreilles, elle se demandait vraiment s'il était dans son état normal ou s'il n'avait pas assez bu de sang ces derniers jours, ou s'il était réellement comme ça tous les jours avec les autres, pourtant à leurs rencontre il ne s'était pas montré agressif du tout, elle soupira longuement fessant sentir de cette manière son mécontentement.
Yuze elle se contenta de répondre d'un sourire narquois et s'éloigna, après s'être levé et avoir tendu la main à Sète en lui demandant s'il venait avec elles pour s'éloigner de l'église, elle lui avait même sourit à dire vrai elle n'arrivait pas à rester énerver contre lui, après tout avait -il sans doute ses raisons pour se montrer ainsi, il avait répondu qu'il venait d'un ton calme et avait pris sa main en se levant tout aussi calmement, il entrelaça ensuite ses doigts avec ceux de la vampire et joua un peu avec, elle pouvait sentir rien qu'en tenant sa main qu'il semblait stresser, peut-être que s'était ça la raison de son humeur si hostile, il déposa doucement un baiser au coin de ses lèvres et lui adressa un petit sourire et après vous me demanderez comme elle aurait pu rester fâché contre lui ? Elle fondait totalement, ce n'était pas juste ! Elle lui rendit donc son sourire se disant que ce n'était pas si grave après tout elle n'aurait à la limite cas proposer de chasser un peu et comme il l'accompagnait il se nourrirait avec elle et ça irai mieux du moins elle l'espérait.
Après cela elle avança, voyant que Yuze avait déjà avancé elle-même, la nuit était fraîche, mais et agréable et calme en plus, en même temps vu le quartier il ne pouvait que l'être un peu bourgeois les humains devaient tous dormir, elle ignorait l'heure il pouvait bien être mais il devait être tard pour eux, surement des personnes qui sont du genre à se lever très tôt le matin et allé au bureau ou autres métiers du genre, Ulrika ne se voyait pas faire ce genre de métier ennuyeux.
Une fois arrivée près du Yuze qui était resté planté en regardant le ciel étoiles le temps que les deux amoureux la rejoigne, Yuze lança alors à Sète les quelques réponses aux paroles qu'il avait eu il y a quelques instants, tout cela avec un air moqueur, qu'elle elle parla des "toutous " comme elle les avait appelés Rika soupire et répliqua sur un ton lasse :
- Pourrait-on arrêter de parler de ses bâtards s'il vous plaît, la proximité de l'église ma déjà suffisamment donner la nausée !
Elle avait dit surtout cela pour bien faire comprendre que cette conversation tout court ne lui plaisait pas et qu'elle en avait assez et comme il était intelligent il l'aurait sans-doute compris avant qu'elle finisse par s'énerver.
Une fois qu'ils furent tous à une bonne distance de l'église Rika se sentait beaucoup mieux elle soupira d'aise d'être débarrassé de son mal de crane, vertiges, nausées et autres, elle s'étira même après avoir lâché la main de Sète bien-sûr, tendant ses mains au ciel sentant ses muscles se décontractés, elle dit d'une voix soulager :
- Aaah ! Ça va mieux maintenant !
Un sourire radieux était sur ses lèvres, elle baissa à nouveau les bras reposant son ombelle toujours ouverte, doucement contre son épaule, elle écouta ensuite Yuze parler leurs demandant de ne pas lui donner l'impression de tenir la chandelle d'une moue boudeuse, cela fit rire Rika n'importe qui se serait senti gêner voir malaise par cette remarque, mais elle ça la fessait rire bon il était vrai qu'elle n'était pas très " normal " s'il y avait une normalité dans ce monde toutefois, ensuite la moue boudeuse de la jeune Yuze se changea pour devenir curieuse et elle demanda s'ils venaient d'Yôkai, il fallait dire que l'odeur du lycée se trouvait sur eux, mais il semblerait qu'elle avait seulement déduit cela au profile de deux jeunes gens, Ulrika avait bien senti à l'odeur que Yuze venait d'Yôkai, elle sourit simplement et répondit d'un ton plus joyeux que tout à l'heure quoi que même un peu blagueur au début :
- Ne t'inquiète donc pas Yuze, il me semble que j'aurais pris un chandelier et des bougies si j'aurait voulu que quelqu'un tienne la chandelle entre Sète et moi ! elle rit brièvement avant de répondre à la question de la jeune fille, Tout a fait tu as bien deviné, d'ailleurs si je m'en tien à l'odeur qu'il y a sur toi, tu viens aussi de là-bas n'est-pas ?
Elle termina sa phrase d'un grand sourire.
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Sujet: Re: Nous sommes tous les mêmes, au fond. [Ulrika + Libre] Mar 20 Aoû - 2:49
Regarde la beauté du ciel
Avez-vous déjà essayé de vous demander a quoi servait votre vie ? Aujourd’hui pendant 5 minutes, je me suis poser et j’ai réfléchis a savoir ce qu’on faisait sur terre. La réponse a été simple : on sert a rien. Sète était une personne comme cela, je dis bien était car il a changé, on la fait changer.. Rika était une personne qui avait fait réveiller ce qui dormait au fond de lui, elle a réussi a lui dire qu’il servait a quelque chose et que même si sa vie ne rimait pas a grand-chose et bien, il avait une personne avec qui le temps passerait plus vite et qu’il pouvait se reposer a présent, car une femme serait a ses côté.
Que l’amour est beau, mais naïf a la fois. Saito avait la main dans celle de sa bien aimer, il était toujours perdue dans ses pensées, cependant il était retenue par la main de sa chère dame pour le maintenir dans la réalité. Yuze avait répliqué, elle était a côté de lui, alors que son regard avait quitté terre pour aller dans les nuages, les étoiles. Dans un autre monde, dans un autres espace-temps qui n’était que le sien.. Elle avait dit que Saito n’était en effet pas a elle mais a Ulrika, c’était certes vrais, et il ne fallait pas dire le contraire, surtout a lui.. Puis quelque minute après Yuze avait prononcé des paroles comme quoi, elle espérait que les « toutous » avaient apprécié leur récompense, et que si cela était le cas contraire, cela aurait été fort dommage pour les toutous.
Sète aurait pu répliquer, le connaissant il répliquerait c’est sûr. Cependant deux choses l’en empêcha ; la première était les gros yeux de sa compagne, qui avait été fait, mais qu’il n’avait pas vue. Le deuxième était qu’il n’avait strictement rien entendus.. Il était tellement ailleurs, dans ses nuages, qu’il n’écoutait même plus ce qu’elle avait dit depuis le moment qu’il s’était levé et avait rejoint la mains de sa bien aimé. Après quoi il ne se souvient même pas de ce que les jeunes demoiselles était en train de dire. Saito s’échapper de la réalité, lentement.
Il ne répliqua donc pas, étant un peu ailleurs. La seul chose qu’il aurait pu dire aurait été « Tu peux répéter je n’ai pas compris un traitre mot » Mais pour lui, elle n’était pas a la hauteur de ses paroles, alors il n’allait pas s’abaisser a son niveaux des plus enfantins.. Après quoi, il entendit vaguement que Yuze ne voulait pas avoir l’impression de tenir la chandelle, et que donc elle demandait si le jeune couple était dans le lycée Yôkai. Sète laissa la jeune Rika parler a sa place, elle était ses yeux, ses oreilles, et sa bouche. La bouche cousue comme une poupée vaudou.
Tous les trois étions a présent éloigner de l’église, Saito senti la main de la compagnie s’échapper de sa main, ne mettant pas d’opposition, il la laissa filer. Restant planter-t-elle une plante fixent les étoiles qui se reflétait dans ses lunettes, les yeux river sur se ciel. Au bout de quelque minutes il enleva son regard du ciel, des rêves, pour aller a la réalité. Remettant son regard ailleurs, il était de nouveaux dans le monde réel. Se remettant a jour au niveau des paroles, le sujet n’avait pas changer, elles étaient toujours rester sur le sujet des chandelles et de l’école. Il était vrais qu’ils étaient du Lycée Yôkai, et que l’odeur qui était sur la jeune Yuze était le même qu’eux, et que donc, par conséquent elle était aussi dans le lycée.
Ne voyant pas l’intérêt de demander si elle aurait était dans le lycée, il regarda les deux jeunes, faisant un sourire faussement bien jouer avant de venir d’asseoir su un caillou non loin deux, mettant ses genoux près de son torse les entourant de ses bras, il fixa les deux jeunes femmes. Subitement il se sentit le seule mec ici, cela ne le dérangerait pas bien au contraire. Puis il vida sa tête, et a présent il n’y avait que du noir qui était dans son esprit, un esprit bien vide.
Sujet: Re: Nous sommes tous les mêmes, au fond. [Ulrika + Libre] Dim 25 Aoû - 6:26
« Et si ce ciel s'embrasait ? »
Je ne me sentais pas à l'aise entre eux-deux, un petit couple, c'était vraiment... gênant. Ce n'était pas que j'étais jalouse ou autre, non, juste que j'avais cette désagréable sensation d'être... en trop ? Au fond, cela ne changeait pas vraiment de d'habitude, j'avais toujours eu ce sentiment que l'on ne voulait pas de moi, que l'on serait mieux si je n'étais pas là. Rien qu'avec ma sœur Himeka, cette guerre sans fin que nous menions était au fond insensée, j'en étais plus que consciente, mais comment faire pour l'arrêter alors que notre relation était plongée dans ce cercle vicieux qu'était la vengeance ? Aucune de nous n'en voyait l'issue, c'était peut-être que tout était fini, qu'il était trop tard pour revenir en arrière ? Je n'en savais rien. Et, rien que penser à tout ça m'avait remise de sale humeur, une envie de provocation et de sang m'envahissait dés lors. J'hochais à peine la tête aux paroles d'Ulrika, un peu ailleurs.
- Je suis bien à Yôkai.
Rien de plus. Je n'avais plus la tête à parler pendant trois plombs à raconter ma vie et blablabla. En plus, le turquoise à côté m'agaçait avec son silence pesant, alors qu'habituellement j'aimais bien le calme. Là, je ne sais pas ce qu'il me prenait, mais je fit volte-face d'un coup vers lui, le toisant d'un regard à la limite d'être assassin.
- T'as un problème, pour pas parler ? T'as perdu ta langue ?
Je m'approchais de lui, assis sur un rocher non loin, et plantais mon regard dans le sien, en lui prenant le poignet, un sourire mauvais aux lèvres. Je ne savais même pas ce que j'avais à m'en prendre à lui alors qu'il n'avait strictement rien fait. A part m'ignorer, mais bon, limite il avait bien fait. Quoique, ça me poussait encore plus à le chercher pour le faire sortir de ses gonds et voir ce qu'il avait dans le ventre.
- Si tu as un problème avec moi tu peux le dire, je vais pas me vexer, juste te donner une bonne raison d'avoir un problème.
Je lançais un coup d’œil à Ulrika, sachant qu'elle risquait fort de me remettre à ma place. Surtout que là, je m'en prenais à un couple, donc, si cela tournait au combat, je risquais fort d'en baver, seule contre deux sang-pur... Mais bon, on est tarée, ou on l'est pas, n'est-ce pas ?
Sujet: Re: Nous sommes tous les mêmes, au fond. [Ulrika + Libre] Jeu 29 Aoû - 13:26
Nous sommes tous les mêmes, au fond. [Ulrika + Libre]
Rika depuis le début était plus vive, plus causante et plus amicale que Saito avec Yuze, lui les quelque fois où il avait ouvert la bouche pour directement s'adresser à la jeune fille n'avait pas été très amicale voir même hostile, Ulrika avait du mal à reconnaître son compagnon avec ce genre d'attitude bon en même temps il était ensemble que depuis peu de temps aussi et on ne connait pas quelqu'un entièrement en seulement deux jours avec, mais bon il semblait ailleurs aussi elle l'avait remarquer le jeune homme était du genre rêveur un peux dans son monde et il aimait regarder le ciel, ce qu'il fessait justement en marchant, heureusement d’ailleurs qu'Ulrika la tenait par la main le guidant elle avait l'impression d’être les yeux de Saito à ce moment précis.
Heureusement Rika fut soulager d'un poids car Saito n'avait pas répliquer au parole que lui avait lancer Yuze, elle se demandait même s'il écoutait ce qu'elle disait, vu son air on aurait pas dit qu'il comprenait un traire mots de ce que les deux jeune fille disait, cela était curieux que des personnalité comme Sète et Rika s'entende et sois en couple, Saito était du genre calme , avare en parole et surtout dans son petit monde, alors qu'Ulrika était du genre à ne pas rester en place part moment , à aimer discuté avec les gens et du genre sociable la plus part du temps, on dit que les opposé s'attire c'était surement le cas pour eux enfin se fut la réflexion d'un instant de la jeune vampire.
Alors qu'elle et Yuze parlait de Yokaï et de chandelle, Saito restait planté comme un plante en pot regardant toujours son ciel étoiler, il revint un peux dans le monde réelle les regarda faussa un sourire que Rika comprit faux malgré l'effort et les talent d'acteur de son compagnon, après tout lorsqu'elle l'avait vu sourire si sincèrement auparavant son imitation de sourire ne marcherai plus avec elle.
Elle soupira le voyant partir s’asseoir sur un caillou comme habituellement les jambes recroqueviller sur son torse et les bras autours il prenait souvent cette position assis, il semblait se protéger comme ça, elle trouvait sa mignon mais niveau maintient il se serai surement taper sur les doigts par la mère d'Ulrika qui ne cessait de corriger sa fille sur sa manière incorrecte de se tenir, en même on est d'une famille noble ou on ne l'est pas.
Yuze quand a elle semblait aussi avoir changer de comportement pour un plus sérieux et ailleurs comme Saito ou du moins presque, elle répondit simplement d'un hochement de tête a Rika qui lui avait adresser la parole et lui répondit simplement que oui elle était bien à Yokaï, Ulrika sentit que quelque chose n'allait pas l'atmosphère était tendue d'un seul coup et elle avait vu juste elle eut a peine le temps de le remarquer que Yuze se tourna vers Saito le regard hostile lui demandant s'il avait un problème pour parler ou avait perdu sa langue, Ulrika n'eut même pas le temps de répondre que Sète n'était pas du genre bavard et qu'il ne fallait pas s’énerver pour si peu que la jeune hybride s'approchait de lui plantant son regard dans le sien et prenant son poignet, elle avait un air mauvais sur le visage, elle dit encore des mots a Saito cherchant sans aucun doute à l’énerver pour qu'il réplique.
Ulrika fut surprise de toutes les actions que Yuze avait eues à cet instant, se demandant quelle mouche l'avait piqué ? Elle avait aussi peur que Sète réplique s’énerve puis perdre son contrôle et que cela recommence, elle avala sa salive portant sa main vers son cou qui avait encore quelque traces bien que caché par un collier ras-du-cou noir en soie et dentelles, les traces donc de la foi ou il l'avait attrapé a la gorge pour l'étrangler, suite à une attaque de goules qui l'avait fait perdre son contrôle et cela risquait de se reproduire Ce soir ... Rika qui avait espéré une soirée tranquille tapa du pied espèrent encore calmer le jeu avant que les deux jeune gens ne s’énerve trop et aille trop loin en geste comme en parole.
Elle tapa donc du pied à terre son air apeuré disparut pour laisser un visage sévère apparaître, comme une mère prête à grogner ses enfants qui se chamaille elle s'approcha d'eux disant sur un ton autoritaire et énerver à la fois :
- Ça suffit !!
Une fois arriver près d'eux elle attrapa le poignet de Yuze calmement et avec douceur, elle tira ensuite dessus avec la force nécessaire pour qu’elle lâche Sète use de sa force vampirique si besoin était, elle garda le poignet de Yuze un instant avant de la lâcher :
- Arrêter vos sottise maintenant c'est stupides...
Elle soupira marquant une pause, posant ses mains sur ses haches les regardant d'abord Saito pour voir sa réaction au faite qu'il fut " déranger " par Yuze puis justement Yuze elle prit un ton plus doux cette fois :
- Saito n'est pas du genre bavard c'est tout, pas la peine de se fâcher pour si peu, si ton objectif est de simplement voir de quoi il est capable ... je n'ai pas envie de sa ce soir ...
Elle ne savait pas comment allait réagir la jeune fille, mais elle n'avait pas du tout envie de devoir essayer de raisonner Saito dans sa folie meurtrière si quelqu'un cherchait justement à ce qu'il ne se calme pas... sa serai un énorme problème à genre pour la vampire, elle appréciait plutôt bien la jeune Yuze jusqu’à présent et c'était dit que s'était une bonne idée de l'avoir sauvé quelque temps auparavant, donc cela rendait la situation encore plus inconfortable pour Ulrika, si cela finissait mal se serai encore en partie de sa faute, c'était elle qui avait été prise de l'envie de sauver cette hybride, voilà qu'elle avait pour façon de la remercier d'agresser son petit ami mettant la vampire dans une situation peux confortable.
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Saito Oni
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Sujet: Re: Nous sommes tous les mêmes, au fond. [Ulrika + Libre] Lun 2 Sep - 4:13
Madame est pas contente.
Perdue dans ses pensées il avait entouré de ses jambes de ses mains pour être de nouveau seul. Il avait eu l’habitude d’être comme cela pour retrouver son monde de paix et de tranquillité. Il ne voulait pas gêner de plus c’était une personne qui n’aimait pas les gens. Cela était drôle car Ulrika était bien le contraire c’est vrais, lui était le total opposé. Sète n’aimait pas sortir, pas parler, pas bouger, pas s lever, pas manger. En brève il n’aimait rien. Au moins il n’était pas très difficile, on lui donnait une chambre avec vue sur le ciel sa lui convenait. Saito avait besoin d’avoir un moment dans la journée ou il pouvait s’évader quelque instant quand cela n’était pas tout le temps, c’était une manière de ne pas avoir de mauvais souvenir et de ne pas penser a ses pouvoirs de cette manière il ne s’énervait pas et donc ne pouvait pas y penser.
Mais si on lui enlevait se moment, qu’au moment où il est dedans une femme comme Yuze viens lui tirer de son rêve de cette évasion, est ce qu’il va perdre le contrôle ? Ou va-t-il rester tellement neutre et sur son nuage qu’il ne va même pas comprendre ce qu’il lui arrive ? Nous allions le savoir, a croire que Yuze n’aimait pas les personnes qui ne parle pas, c’est pourquoi l’enfant avait fis volte-face vers lui avec un regard a al limite assassin alors qu’il n’avait rien fais de spécial a vrais dire.. Va-t-on comprendre. Puis elle parla, c’est vrais que avec ses yeux la elle n’allait pas le regarder sans rien dire.
Quand a Sète il n’avait même pas sentie sa présence, les yeux fermer il commençait a tomber dans un sommeil des plus profond, jusqu’au moment où elle avait parlé, il n’avait même pas répondu croyant que ce n’était pas pour lui. Saito était vraiment sur son petit nuage.. Yuze avait demandé s’il avait un problème pour parler ? Et s’il avait perdu sa langue. Si il aurait eu les yeux ouvert, et qu’il n’aurait pas été affalé comme cela sur le caillou il aurait probablement tirer sa langue a la jeune femme pour lui montrer qu’elle est la, mais pour le coup il ne fis rien.
Décidément cette enfant n’était pas une enfant gentille, elle était vraiment casse-pied a la limite de la tuer sur place. C’était sans doute a cause de son passée peut être qu’elle était devenue comme cela, du moins c’est ce que je pense. Ou alors elle a toujours été comme cela.. Bonjour les parents ! si on voit la fille dans cette état là que devrait être les parents ! Des pas se fit t’entendre, du moins de l’oreille du jeune homme il avait entendu que des pas d’une jeune femme petit a la chevelure brune s’approchait de lui. Il connaissait que trop bien les pas de sa tendre amoureuse pour savoir que ce n’était pas elle.
Conclusion raison de plus de ne pas bouger. Hors mis si la personne n’était pas elle et que cela était une mauvaise personne.. Peu de chance. Donc il ne bougea pas d’un pouce pendant un seul instant que les pas venait dans sa directions. Sentant son regard assassin sur lui, il sentit également que son poignet volait ( t-elle un oiseau xDDD ou un fantôme encore mieux ! ) Saito se redressa un peu ouvrant ses yeux alors que ses lunettes étaient tombées sur le sol. Yuze pouvait enfin voir le regard bleu cyan qui était dans ses yeux. L’enfant avait un sourire mauvais sur les lèvres alors que Sète était en train de bailler. Après ce geste Yuze reprit la parole a tout aussi aimable que les autres.. Disant que si Sète avait un problème avec elle qu’il fallait le dire, que l’enfant n’allait pas se vexer juste une bonne raison d’avoir un problème.
Une bonne raison d’avoir un problème ?! C’est-à-dire que si il lui disait qu’il ne l’aimait pas l’insupportait surement rien quand la regardent il aurait deux fois plus de problème que si il ne disait rien ? Autant rien dire !! hahaha . La gamine avait quelque chose dans la froque ma parole. Savant que Rika allait répliquer il ne dit rien jusqu’à ce qu’elle prenne la parole, laissent son bras en l’aire la mine fatigué baillent en mettant sa main de temps a autres.
Ulrika, une grande histoire avec un caractère de mère devrais-je dire. A ce que venait de faire la jeune femme, Rika avait tapé du pied par terre comme a des enfants. Considèrait Sète comme un enfant ? Encore Yuze je veux bien car elle l’était vraiment, mais lui un jeune femme beau avec un pouvoir des plus douloureux.. Son visage avait un aire sévère, s’approchent des deux autres, et avec un ton autoritaire et énerver qu’elle avait dit que cela suffisait. Saito était bien d’accord, il n’avait rien demandé qu’il se tapait la gamine dans les pattes. Peu de temps après, il regarda Yuze avant de montrer Rika après avoir baillé.
« - Tu devrais écouter ce qu’elle a dit. Je crois qu’elle est énervé. »
Il avait tellement dit cela sur un ton calme et endormie qu’on pourrait croire qui dormait en même temps qu’il parlait. Juste après lui Rika avait recommencé a parler, elle devait en avoir marre et elle n’était pas la seule. Une fois que Riri était arriver vers eux elle avait elle aussi prit le poignet de Yuze sa faisait un chêne sauf que Sète ne tenait personne, il avait le regard dans celui de Yuze commencent a fermer les yeux pour dormir de nouveau. Une fois le poignet de la gamine dans la main, elle affirmer qu’il fallait arrêter leur sottise et que cela était vraiment stupide. Rien de mieux que Rika en colère pour que Saito donne un sourire sur ses lèvres, ce qu’il s’empêcha de faire.
Lachent le poignet de l’enfant, la jeune femme avait déposer ses mains sur ses hanches avant de reprendre la parole pour dire que Saito n’était pas une personne bavarde et qu’il ne fallait pas se facher pour si peu. Et que si Yuze voulait savoir ce qu’il avait dans son « pantalon » qu’elle n’était pas ravis de voir cela pour se soir. Sète calqua des doigts en direction de sa compagne avant de redresser la tête.
« - Exactement !»
Puis il marque une pause, secouent sa main qui était tenu par la gamine jusqu’à ce qu’il récupère son poignet en bonne état. Après quoi il reprit la parole un peu plus réveiller mais toujours aussi calme.
« - A l’avenir, évite de me toucher, tu serais.. hm aimable ? »
Il se redressa, ramassent ses lunettes regardant Yuze un instant avec un petit sourire et de remettre ses lunettes de soleil sur le pif ayant eu le temps que ses yeux redevienne dans un bleu cyan quand ses lunettes était tomber.
Sujet: Re: Nous sommes tous les mêmes, au fond. [Ulrika + Libre] Ven 6 Sep - 3:43
« Moi ? Pas contente ? T'as vu ça où ? »
Tu ne sais même pas ce qu'il t'a pris, et tu te rends compte que, pour le coup, tu as vraiment été stupide. Pourtant, tu ne te décides pas à le lâcher. Tu maintiens ton regard dans celui azuré, que tu voyais enfin depuis que ses lunettes étaient tombées, de ce vampire que tu ne connais que depuis quelques minutes. Et puis, elle se rapproche, comme tu l'avais pensé, et ne fait que te prendre le poignet afin que tu lâches son compagnon qui ne t'a rien fait. Tu ne résistes pas, tu te laisses faire. D'où te viens cette manie d'agir sans cesse sous le coup de l'impulsion, sans raison apparente ? Tu ne sais pas, ou plutôt tu ne veux pas savoir, même si inconsciemment, tu sais, mais tu ne l'admettras peut-être jamais. Tu regardes la vampire, en récupérant ton poignet, laissant filer un petit soupir entre tes lèvres.
- C'est bon, il n'y a pas de mal.
Tu te détournes, sans plus un mot, du moins avant que le bleuté ne se permette une petite phrase, qui, venant de lui, ne te paraisse ironique, limite provocatrice. Tu lèves les yeux au ciel, avant de les regarder tous les deux par dessus ton épaule, ton air redevenu ennuyé. Tu hausses les épaules en te fixant sur le jeune homme qui commence à te taper un peu sur le système sans trop que tu comprennes pourquoi.
- Je touche qui je veux, quand je veux.
Tu recommence à t'éloigner, prenant instinctivement la direction du lycée. Tu les laisses libres de te suivre ou non, ça t'est égal au final. La compagnie, ça n'a jamais été ta tasse de thé. Parce que tu as peur de faire du mal, comme toujours. Tu es incapable de t'attacher sans blesser, tu ne dois pas t'attacher, tu n'en as pas le droit. Il faut les briser, les détruire, voire les tuer. C'est ce que tu as toujours fait, depuis ce jour là... Tu ne veux plus souffrir, alors tu fuis le bonheur, tu laisses tes ailes tomber en cendres sans rien faire pour reprendre ton envol...
Sujet: Re: Nous sommes tous les mêmes, au fond. [Ulrika + Libre] Lun 9 Sep - 9:08
Nous sommes tous les mêmes, au fond. [Ulrika + Libre]
Rika les regarda l'un après l'autre Saito lui avait la bouille d'un endormit, sa tête normale quoi il avait souvent cette air calme et paisible un peu trop d'ailleurs, quand il dit à Yuze qui croyait qu'elle était énerver sur un ton des plus endormit elle manqua de perde patience et de le secouer comme un poirier pour qu'il se réveille une bonne fois pour toute, Yuze elle était restée calme après avoir récupérée son poignet elle n'avait fait que soupiré et répliquer qu'il n'y avait pas de mal, Ulrika soupira tous les deux décidément il avait l'air de se moquer d'elle.
Elle lâcha un long soupire elle se sentait frustré par tout ça, lorsqu'elle avait dit que Saito était du genre à ne pas parler beaucoup ect.. Celui-ci avait confirmé après avoir claqué des doigts dans sa direction, il semblait déjà plus réveiller qu'avant ensuite il marqua une pause secoua son poignet et ajouta en s'adressa a Yuze lui disant que si à l'avenir elle pouvait éviter de la toucher elle serai aimable. D’ailleurs Yuze lui répondit qu'elle touchait qui elle voulait, quand elle le voulait, d’ailleurs celle-ci commençait à s'éloigner.
Ulrika soupira de plus belle regarda Saito l'air lasser, décidément quand il ouvrait la bouche il semblait toujours vouloir montrer a Yuze qu'il la méprisait, quel caractère de cochon il n'en démordait pas de se montré désagréable avec elle, Rika se demandait bien comme elle avait fait l'autre nuit pour ne pas avoir droit à ce genre de remarque de la part de Sète, oui était-il tout simplement jaloux que Rika s’intéresse à quelqu'un d'autre que lui ? Aucune idée en tout cas ce qui était sur c'est que sur ce coup il ne se montrait pas très sociable.
- Tu es désespérant Saito.
Ce fut la seule phrase qu'elle s'autorisa à dire au jeune homme, elle était toujours aussi frustré, tout ça pour finir avec un conflit, d'ailleurs son hypothèse du début lui reviens à l'esprit, il avait peut-être les crocs ? Apres tout la jeune vampire avait déjà un peux manger mais elle avait encore faim, elle soupira et murmura.
- J'ai les crocs.
Elle regarda Yuze qui s'éloignait, surement en avait-elle assez de rester avec eux, ou autres. Ulrika hésita un moment à la suivre et lui demandé ce qui n'allait pas, mais elle semblait se diriger vers le lycée et Rika ne voulait pas rentrer tout de suite du moins elle voulait encore étancher sa soif avant de rentré, elle lui dit d'une voix qui portait assez loin pour qu'elle puisse l’entendre de là où elle était :
- Yuze je ne sais pas ce qui a pris tout t’a l'heure, mais en tout cas si sa t’intéresse moi je vais manger un bout.
A ses mots Rika regarda aussi Saito comme pour lui demander s'il venait ou comptait rester planté sur son rocher à ronfler le reste de la nuit, si aucun des deux ne venait avec elle et bien elle irai chasser seule.
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[ Un peu court désoler j'avait pas trop d'inspiration >w<, Yuze pour moi c'est pas dérangeant ta nouvelle façon d’écrire ^^ ]
Saito Oni
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Sujet: Re: Nous sommes tous les mêmes, au fond. [Ulrika + Libre] Jeu 10 Oct - 5:04
Yes, I have a lollipop
Dans la vie, il ne faut pas s’arrêter devant un panneau et se dire soudainement « qu’est-ce que je fous la ? » « Ma vie est nul » Nous avons tous des mauvais moments, on se lève c’est une mauvaise journée copain copine vous largue méchamment en vous trompant la veille et en disant « je te considère comme ma sœur ». Cela fait mal, mais l’amour ? L’amour ce n’est pas ça justement ? Du bonheur des rires des larmes des chutes et on se relève car la vie avance. C’est en allant de l’avant qu’on n’est plus fort a chaque instant.
A[lors, si vous avez que des mauvaise nouvelles, que votre journée n’est pas la vôtre, et bien pensée a moi et dit vous, qu’il ne faut pas s’arrêter a un quelqu’un que nous perdons. Il faut juste se dire que la vie est faite ainsi que qu’il ne méritait pas d’être avec vous, vous en trouverez d’autre. On n’a toute une vie pour ça !! Alors déprimer as, relever votre tête regarder vous dans le miroir et sourie comme jamais ! La vie est bien trop courte pour se détruire la vie, la santé pour un mec qui ne servait pas. Ne tuer pas votre prochain, je chasser pas le bonheur.. Mais une chose essentiel dans une vie, imposé vous, votre style votre caractère. On s’en fou du reste on fait ce qu’on veux ! Tant qu’on est heureux.
Sète, a imposé ses choix, son style. Faite comme lui et vous verrez que c’est largement mieux que de rester dans son coin a être comme les autres.. Revenons a nos moutons, le cailloux était la, froid humide et dure. Bien sur c’est un caillou, cela ne peut pas être moue confortable comme un siège chaud. Ayant un peu marre d’être assis il prit du courage a se lever, se fut un grand succès puisqu’il était a présent levé. S’étirant un coup, il n’avait pas répondu a aucune des paroles des jeunes femmes. Décidément les femmes étaient trop compliquées pour lui. Et pour une fois, il rangea ses lunettes laissent ses yeux dans au « jour » .
Saito pris le temps de sauter sur place pour se réchauffer et de s’étendre de gauche a droite, une fois cela fait un fit un sourire de plus content. Puis avec un peu d’impatient il fouilla dans sa poche et sortie une sucette, se léchant les lèvres accompagnées d’un petit bruit dans la bouche il ouvrit le papier de sucette et le mit directement dans la bouche. Une odeur de pomme et de Kaki était dans sa bouche, il aimait plus que plus cette sucette qu’on trouvait un peu partout. Il se frotta les mains pour se réchauffer celle-ci, nous pouvions dire que Sète avait retrouvé le poil de la bête ! Les mains derrière la tête croisé, il fit un petit sourire a Rika. Il compta sur ses doigts avant de dire d’un ton joyeux a Ulrika ;
« - Pourquoi pas, cela fait… un , deux, trois, quatre ! Quatre jours que j’ai as mangé, je commence a avoir un petit creux.. »
Sète attendit de savoir si la jeune fillette qui était partie quelque pas plus loin allait oui ou non venir avec nous ou allait encore faire la moue de son côté.
Sujet: Re: Nous sommes tous les mêmes, au fond. [Ulrika + Libre] Mer 4 Déc - 9:48
« Je ne me ferais pas prier ! »
Le vent se lève, léger, rempli d'effluves toutes plus différentes les unes que les autres. La ville. Tu ne parviens même pas à sentir la forêt, qui est pourtant ce que tu préfères. Après tout, le manoir de ta famille se situe en plein bois. Forcément, les bâtiments de ciment, tu as la manie de détester ça. C'est tout ce qu'il y a de moins beau, à tes yeux, rien ne vaut un bol d'air frais en pleine nature. Eh oui, fou qu'une fille comme toi puisse apprécier être au calme à l'ombre d'un arbre, n'est-ce pas ?
Enfin, pour le moment, toute ton attention est dirigée vers tes confrères, tu t'es immobilisée à l'entente de la proposition d'Ulrika. Tu pivotes sur les talons pour te tourner face à elle, tête inclinée, et sourire soudain revenu se loger sur tes lèvres. D'un coup, tu réalises que tu n'as pas pu finir ton repas d'un peu plus tôt, peut-être que ceci joue sur tes nerfs, depuis tout à l'heure. Même si la provocation est dans ta nature, tu t'étais réellement énervée pour pas grand chose, autant éviter de recommencer. Même si tu ne l'admettra pas, tu ne veux pas te mettre Rika à dos, pas alors que tu peux avoir la chance de te faire au moins une amie, une fille différente de toutes les autres, de toutes ces pimbêches qui n'ont que les mots maquillage et garçons à la bouche. De toute façon, tu n'aimes pas les garçons, tu préfères mille fois les filles, et tu ne t'en caches pas. Ce que tu penses des hommes ? Tous des coups d'un soir. Les seuls qui sortent du lot ne sont que ton père et ton demi-frère. Les autres, tu les mets tous dans le même sac.
Donc, dommage, mais si tu acceptais la proposition de tes camarades, tu allais devoir traîner avec Saito. Mais, au moins, tu aurais sûrement de quoi te mettre sous la dent. Prise dans un dilemme, tu les observes, l'un puis l'autre, chacun leur tour, avant de finalement hocher la tête.
- Une partie de chasse... ce sera toujours plus intéressant que de s'ennuyer au lycée. N'est-ce pas ? Je vous suis, donc. A trois, on trouvera bien de quoi s'amuser un peu.
Tu les rejoins donc, moitié en trottinant, moitié en sautillant, ce qui te donne un air de petite fille dans la prairie. A vrai dire, il ne te manque plus que les tresses et le panier pour que tout soit parfait. Au passage, tu donnes une pichenette sur le front du jeune homme, articulant un "Désolée" sans bruit avec tes lèvres. Il pouvait être flatté, rares étaient les fois où tu daignais t'excuser, mais tu es consciente d'avoir commis une faute, et tu as un minimum d'intelligence. Assez au moins pour savoir quand est-ce que des excuses sont méritées. Et, là, elles le sont.
Tu prends d'un coup les devants, se tournant pour marcher en arrière tout en observant les deux vampires, un léger sourire gravé sur tes lèvres. L'air de rien, tu joues avec la gourmette sur ton poignet, ton regard se faisant soudain interrogatif.
- Où va-t-on ? Il faudrait trouver un groupe de jeunes, mais il doit y en avoir beaucoup, de sortie.
D'un mouvement de la main, tu désignes les environs, au sens large du terme. Il y a bien quelques endroits fréquentés que tu connais, hormis les boîtes de nuit et les bars -le sang surchargé d'alcool, ce n'est pas ce qu'il y a de meilleur-, il y a le parc pour les couples ou la plage pour les groupes. Tu proposerais peut-être, si Ulrika et Saito ne trouvaient pas d'idées. Pour le moment, tu gardes le silence, te contentant d'observer sagement.