Daisetsu, le pion cool ... ou pas ?

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Daisetsu Enchô

Sérieux - Terre à terre - Empathique - Intègre - Vif - Protecteur - Galant - Indépendant - Ambitieux - Confiant - Dirigeant - Tolérant
Réservé - Pessimiste - Parfois cynique - Solitaire - Rancunier - Irritable - Un peu maladroit - Colérique - Nerveux - Jaloux - Méfiant - Secret - Manipulable

Wanna see my face ?

feat Izaya Orihara, Durarara !

Physique
Son physique ? Allez, on ne plaisantera pas, Dai' (appelons-le ainsi) est pour le moins ce que l'on appelle un "beau gosse". N'êtes-vous pas d'accord, mesdemoiselles ? Du haut de son mètre quatre-ving-huit, ne vous fait-il pas baver d'envie ? Allez, petit secret entre nous, il pèse soixante-treize kiles, et ce n'est que du muscle ! N'oubliez pas sa race... C'est un incube après tout. Il peut manger ce qu'il veut, il ne prend pas un gramme. De quoi faire jalouser les filles, hein ? Si vous avez la chance de le voir torse-nu, vous verrez qu'il a de belles tablettes de chocolat bien formées (il y a des avantages à être moniteur de sport), des bras musclés juste comme il faut, dans lesquels on serait protégé de tout danger... Ne nous égarons pas.
Son visage ? Un mélange d'ange et de démon. Un visage fin, presque féminin sous certains angles, encadré par des cheveux d'ébène, toujours en bataille, mais pourtant doux. Ce n'est pas faute de les coiffer, pourtant, mais il ne met pas de gel ni quoique ce soit, le naturel, il n'y a rien de mieux après tout. Quelques mèches viennent parfois s'égarer devant ses yeux. Ses yeux... rouges. Une fois qu'on y plonge, on ne peut s'en détacher, tellement leur couleur est envoûtante. Traîtres, ils reflètent à coup sûr les émotions du jeune homme, et permettent de lire en lui comme dans un livre ouvert.
Il a toujours ce petit sourire aux lèvres, lèvres qui d'ailleurs sont fines, et semblent douces, délicieuses à embrasser. Qui sait, peut-être pourrez-vous tester ?
Côté fringues, il traîne dans les teintes noires, grises, verts sombres. Avec les indémodables jeans, il met en général des basket simples ou montantes, dans les mêmes couleurs que le reste. Et il semble ne jamais se séparer de sa veste à capuche noire. Pourquoi ? Demandez-le lui si vous voulez...

Mental
Daisetsu est un peu un paradoxe en lui même, quand on le connait. Ce qui n'est pas bien difficile, en fait.
On remarquera tout de suite que c'est un jeune homme avec beaucoup de tenue, qui, malgré l'air un peu rebelle qu'il affiche, a des manières de gentleman. Il a tendance à vouvoyer les autres, et appelle toutes les filles "mademoiselle / demoiselle", et par leur nom de famille. Demandez-le lui, et il vous appellera par votre prénom, mais toujours précédé de "mademoiselle". Il a le sourire facile, bien qu'il soit souvent gêné lorsque l'on fait preuve de trop de cérémonies envers lui. Car oui, il est plus ou moins maladroit avec les autres, étant d'une nature réservée et solitaire. Il ne se mêle pas à la foule en général, il ne s'approche des autres que de temps à autres, quand il a besoin d'aide. En général, ce sont plutôt les autres qui viennent vers lui.

Parce que, si l'on cherche à le connaître, on verra que c'est en vérité quelqu'un de très sûr de lui, mais de très méfiant envers les autres, et très pessimiste, qui voit le verre à moitié vide plutôt qu'à moitié plein. C'est pour cela qu'il n'accorde sa confiance qu'à de rares personnes. Personnes qu'il cherchera ensuite à protéger à ses dépends s'il le faut. Et il peut se révéler très jaloux et possessif, s'il s'attache de trop aux autres. Il en a de mauvais souvenirs, peut-être est-ce pour cela qu'il évite un peu la compagnie des autres, et qu'il est si rancunier ? Car oui, si vous le trahissez, vous ne récupérerez jamais sa confiance. Perdu, c'est perdu. Vous pourrez pleurer, crier, supplier, rien n'y changera. Si vous l'avez blessé une fois, vous serez capable de le blesser une seconde fois. Voilà comment il raisonne.

Il se protège du mieux qu'il peut, parce qu'il est quelqu'un de très sensible et manipulable, qui se laisse facilement avoir par quelques sourires. Il tombe très facilement amoureux, ce qui est assez dérangeant, puisque rares sont les personnes qui répondraient à son amour. Une raison de plus, pour laquelle il se tient à l'écart des autres autant qu'il le peut.

Malgré tout, quand il est en confiance, on comprendra vite que c'est quelqu'un qui a une mentalité de meneur, de leader, il aime décider, avoir les choses en mains. C'est quelqu'un de responsable, qui pense à l'intérêt de tous plutôt qu'au sien ou à celui d'une unique personne.

Histoire
Il y a 21 ans, un 24 juin, naissait un jeune garçon, incube pur. Fils d'une belle succube, Miyako, et d'un incube, Kensuke. C'était leur premier et unique enfant, qui grandit dans l'amour. Il avait été désiré, il était aimé, il serait guidé. On lui prévoyait déjà un grand avenir, on voulait qu'il devienne médecin, comme son père, ou avocat, comme sa mère. Ils se penchaient sur son berceau en lui faisant les promesses de mille et unes merveilles, toutes plus belles les unes que les autres. On lui contait des histoires de princesses et de chevaliers. En résumé, les choses banales de la vie.

A l'école maternelle, il apprit à compter jusqu'à 10, à colorier sans dépasser, puis à lire et écrire. Il apprenait vite, était appliqué et adroit dans tout ce qu'il entreprenait. Il entamait à peine sa vie qu'il faisait déjà la fierté de ses parents, qui continuaient de voir en lui le reflet de tous leurs propres rêves.

Cependant, en âge de comprendre, leur fils ne prêtait aucune attention à tout ce qui touchait à la médecine ou aux droits. Tout ce qu'il l'intéressait, c'étaient les jeux vidéos et le sport. Malgré toutes les tentatives possibles et inimaginables pour le faire porter ne serait-ce qu'un petit regard aux métiers de ses parents, il ne décrochait pas de sa console ni du terrain de football qui était non loin de chez eux. Malgré tout, ses géniteurs ne désespéraient pas, se disaient que ça lui passerait avec l'âge, et qu'un jour il deviendrait assez mature pour s'intéresser aux "choses des grands". Mais ce jour ne vint pas.

Au collège, il entra dans l'équipe de foot de son établissement, et en devint très vite de leader. Ses amis avaient tous une grande confiance en lui, les garçons l'adoraient, parce qu'il était quelqu'un de droit, franc, sérieux, qui savait garder la tête froide en toutes circonstances, mais qui savait aussi rire et s'amuser, comme tous les jeunes de son âge. Les filles étaient folles de lui, et dés qu'il était sur le terrain, on pouvait voir de jeunes donzelles en chaleurs sautiller dans les gradins en hurlant son nom à tue-tête. Cependant, les filles ne l'intéressaient pas plus que ça, à l'époque, pour lui elles n'étaient que des gamines qui ne faisaient que piailler, parler maquillage et fringues, et casser du sucre sur le dos des gens. Au grand dam de ces demoiselles ! Non, jamais il ne trouva l'amour. Pourtant, il était très sociable, très ouvert, mais il ne trouva jamais la perle rare, que ce soit chez les femmes ou les hommes. Il ne vivait que pour sa véritable passion : le football.

Ce qui lui valut d'emmener son équipe jusqu'en finale de la Coupe Nationale Junior Inter-Ecoles. Jamais ses parents n'avaient assisté à un seul de ses matchs, jugeant cela comme une perte de temps inutile. Daisetsu en était chaque fois blessé, mais il n'en montra jamais rien. Un homme ne pleure pas. Son père le lui avait toujours dit. Alors, il ne pleurait pas. Quelle ne fut pas sa surprise lorsque, en entrant sur le terrain, le jour de la finale, il eut l'infini bonheur de voir ses parents dans les gradins, en première ligne, en train de l'encourager de vive voix, un sourire aux lèvres. Le jeune âgé d'alors 16 ans fit des merveilles sur le terrain, pour finalement, sous un tonnerre d'applaudissement, marquer le but gagnant à la dernière seconde de jeu. Le but qui nomma son équipe championne nationale junior. On le porta en triomphe, et, pour la première fois, il lut de la fierté dans les yeux de ses parents. Tout allait pour le mieux.

On aurait cru que tout continuerait ainsi, jusqu'à ce qu'à ses 17 ans, il ne fasse la rencontre d'un jeune homme, Lorenzo. Il était nouveau dans l'établissement, assez discret et silencieux. Il avait tout de suite attiré l'attention de Daisetsu. Cependant Lorenzo était devenu le souffre-douleur de la classe, on le frappait, l'humiliait, et il ne faisait rien pour se défendre. Daisetsu ne se sentait pas capable d'agir, d'empêcher cela, il craignait au fond de lui de perdre l'estime de ses amis, sûrement. Puis, un jour, s'en fut trop.

A la fin du cours de sport, alors que les garçons allaient prendre leur douche, certains petits malins prirent plaisir à envoyer Lorenzo tout habillé sous les jets d'eau, accompagné de son sac contenant ses affaires de rechange. Les rires fusaient, les moqueries. Lorenzo demeurait silencieux, le regard baissé. Ce jour là, Daisetsu en eut plus que marre, il frappa ceux qui martyrisaient le jeune, et, une fois qu'ils s'en furent aller en les traitant tous les deux de tous les noms, il alla aider Lorenzo, et lui prêta ses vêtements de rechange pour qu'il n'ai pas à passer la journée dans des fringues trempées. De là, naquit une amitié extrèmement forte entre les deux jeunes hommes. Une amitié... et bien plus.

Ce fut un mois après la naissance de leur complicité qu'ils échangèrent un premier baiser, sous la lueur d'un réverbère, un soir de Décembre, alors que la neige tombait lentement sur la ville. C'était un baiser tendre, passionné, amoureux, leur premier à tous les deux. De là, ils connurent une liaison secrète, pour ne pas avoir à subir les regards méprisants et les moqueries qu'entraînaient généralement les relations homosexuelles. Malgré le fait de devoir se cacher, ils étaient heureux. Heureux et amoureux, c'était tout ce qu'ils leur fallait, ça leur suffisait largement. La journée, ils vivaient de regards et de sourires, la nuit, ils vivaient de baisers et de caresses. Tout allait encore pour le mieux, mais il aura fallut que le destin s'en mêle.

Ils étaient ensemble depuis trois ans, avaient tous les deux 20 ans, et vivaient ensemble depuis leur sortie du lycée. Daisetsu était entraîneur de football à ses heures perdues, et Lorenzo travaillait dans une petite entreprise de designers. Avec leurs petits revenus, ils survenaient à leurs besoins autant que possible, en payant parfois tant bien que mal le loyer de leur appartement. Et puis, le drame arriva.

Un soir de mars, il pleuvait énormément, Lorenzo était en retard. Il aurait du être rentré depuis plus d'une demie-heure. Inquiet, Daisetsu faisait les cents pas, en regardant par la fenêtre, tentant de joindre le portable de son aimé, qui sonnait dans le vide. Il lui laissa plus d'un message, mais il n'eut aucun retour. Aussi, il décida d'aller lui-même sur la route chercher Lorenzo, mais, malheur, sa voiture était en panne. Daisetsu angoissait comme jamais, il faisait trop mauvais pour y aller à pieds. Il du donc remonter dans l'appartement, et prendre son mal en patience. Le téléphone sonna.

« Allô ?
Monsieur Enchô ?
C'est moi. Qui est-ce ?
L'hôpital.
... L'hôpital...? Que ce passe-t-il ?
Nous vous appelons au sujet de Lorenzo Piazza. Le connaissez-vous ?
O... Oui... Pourquoi ?
Il a eu un accident de voiture... Il est actuellement en soins d'urgence. Nous ne savons pas s'il s'en sortira. »

Il ne répondit pas. Il raccrocha. Son coeur battait à cent à la seconde, ses mains étaient moites, il tremblait. Des larmes coulaient sur ses joues. Pour lui, le destin de Lorenzo était déjà scellé. Il le savait, instinctivement. Désespéré, ne voyant plus aucune issue, il prit un papier, et un stylo, et commença à écrire une lettre.

« Papa, maman,

Vous trouverez sûrement cette lettre dimanche, quand vous viendrez. Nous devions nous voir, mais ce ne sera pas possible. Lorenzo a eu un accident de voiture. Il est en soin d'urgence, je sais au fond de moi... qu'il ne s'en sortira pas. Et je ne veux pas vivre sans lui.
Oui, papa, maman, depuis que j'ai quitté le lycée et le domicile familial, nous ne nous sommes pas vus, j'en suis désolé. Je vous ai caché beaucoup de chose. D'ailleurs, Lorenzo... Vous savez, c'était ce garçon qui était devenu mon meilleur ami, au lycée. Mais... il était bien plus que ça. C'est pour cela que je suis partit, que j'ai coupé les ponts avec vous. J'avais peur de votre jugement. J'aurais tant voulu vous présenter mon homme, dimanche... Vous l'auriez sûrement adoré. Il aurait peut-être même été ce fils si parfait que j'aurais voulu être pour vous, mais que je n'ai jamais été.
J'aurais aimé vous donner une réelle raison pour que vous soyez fiers de moi, vous avoir écouté un peu plus souvent, au lieu de toujours n'en faire qu'à ma tête; Peut-être n'en serais-je pas là aujourd'hui ? Peut-être ne serais-je pas au bord du gouffre, sans voir aucune issue ?
Car voilà, ce soir, je ne vois plus aucune raison d'être. J'ai perdu ma lumière, mon amour, ma raison d'être. Le battement de son coeur va s'arrêter, le mien cessera avec. Je refuse de vivre sans lui.
Je suis désolé, vous ne saurez jamais à quel point. Ni à quel point je vous aime.
S'il vous plait, souriez, dites-vous que je serais heureux, à jamais.
Je vous aime,
Daisetsu, votre fils. »

Laissant cette lettre en évidence sur la table basse du salon, il gagna la salle de bain. Ce soir là, les larmes et le sang coulèrent, alors qu'il se sentait partir. Lorsqu'il ferma les yeux, un sourire hantait ses lèvres.

Bad End ...?
Non.

Il se réveilla.
Blanc.
Tout était blanc.
Un hôpital.

Il ne comprit jamais comment il en était arrivé là. Il ne chercha en vérité pas à comprendre.
Il était devenu silencieux, passif, méfiant. Ce qu'on lui disait ? Il n'y prêtait aucune attention. Jamais il ne reçu la visite de ses parents, il le prit comme de la rancune envers ce qu'il avait fait. Envers ce qu'il avait voulu faire.
Il fut bien sûr suivit psychologiquement, mais n'osa jamais confier tout ce qu'ils renfermait, gardant ses doutes, douleurs, colères, rancunes, sa détresse, pour lui même. Personne ne méritait de savoir. Tout le monde n'était que traître. Des profiteurs, des menteurs, des hypocrites. Des gens qui te tournaient le dos, qui t'abandonnaient. Il avait perdu confiance en tous ceux qui l'entouraient. Il s'était battit un mur, entre lui et les autres.
Un mur qu'il s'efforça d'atténuer, avec l'aide d'une jeune femme qui était entrée dans sa vie à l'hôpital. Tsukino. Une jolie blonde, aux yeux verts, qui devint son amie, mais jamais plus. Elle était homosexuelle, ce qui empêchait toute ambiguïté, à la joie de Daisetsu, qui retrouva un peu le sourire, et appris à être un peu moins méfiant, un peu moins anti-social. Tsukino avait plus ou moins ramassé les morceaux de ce qui avait été détruit. Elle avait reconstruit le jeune homme en grande partie, lui avait réappris à sourire, rire, apprécier, à croire un tant soit peu à la vie et à en profiter à fond. Ce qu'il se jura de faire.

Un jour, par le plus grand des hasards, il reçu dans sa boîte aux lettres un prospectus, qui parlait d'un lycée Yôkai, en recherche de personnel. Un lycée pour monstres... Après méditation, il se dit que nombre de jeunes dans ce lycée devaient avoir connus plus ou moins une vie difficile, et certains auraient certainement un jour besoin d'être épaulés. Aussi, il plia bagages, informa Tsukino, qui fut ravie pour lui. Du même temps, Daisetsu reprit son rôle de moniteur sportif. Enfin, il reprennait réellement sa vie en mains.

Deux semaines plus tard, son CV envoyé, sa candidature acceptée, il monta dans le Bus44.

In Fact, I'm Just...

♣ Surnom : Dai'
♣ Age : 21 ans
♣ Sexe : Homme... Quoi, vous avez des doutes ?
♣ Race : Incube
♣ Profession : Surveillant - Moniteur sportif dans le monde des humains.
♣ Chambre solo ou double ( préciser si chambre mixte ou non ) : Double, mixte ou simple peu importe, et il possède un studio dans le monde des humains et y retourne en fin de semaine en général, pour y passer le week end.
♣ Orientation sexuelle : Bisexuel.
♣ Pouvoirs : Charmer les demoiselles en croisant leur regard, les rendre esclaves en les embrassant (pouvoir scellé), voler grâce à ses ailes, et trancher grâce à ses ongles qui s'allongent sur quelques centimètres. Il a un certain pouvoir de guérison qu'il ne peut utiliser que sur les autres en touchant leurs plaies, si elles ne sont pas trop profondes ou importantes toutefois.
♣ Passions : Les jeux vidéos, le sport, la musique, les sorties entre potes...
♣ Tiques et manies : Aucune à ma connaissance.
♣ Ambition/but/objectif : Euh... Vivre sa vie à fond ?
♣ Armes : Nothing.

♣ Comment avez-vous connu le forum ? Qui sait ? ♪ (Bouche à oreille, en fait ;D)

Bienvenue !
Les deux semaines pour ta fiche sont un peu dépassées, des nouvelles ? Sinon, je devrais archiver, ce serait dommage é.è

Alors, sinon, moi c'est Himeka Hijiyama, classe Red, 16 ans. Je suis mi vampire, mi neko. Je suis malheureusement de la même famille que Yuze Kurotsuki, qui est ma demie-soeur. Ensuite, Tatsuya est mon petit ami, donc pas touche ! Et Shizume, c'est ma meilleure amie.
Je suis d'une nature méfiante, et pas très sociable, aux premiers abords, mais je te laisserais le plaisir de me découvrir ^^ (Pas de pensées perverses ><)

Ensuite... Je suis co-fonda sur le forum, donc si tu as des questions, des suggestions... Je suis là ! ^^

Sur ce, encore bienvenue, et bon courage pour la fin de ta fiche ! Mais donne signe de vie, s'il te plait !

Merci !

Présentation terminée, au passage !

Parfait ! ♥ Histoire triste T_T

Je te demanderais de répondre à une petite question, pour pouvoir te valider !
Combien de ligne minimum faut il faire pour un RP ?
Met ta réponse en hide ^^

La réponse Shime est d'accord

Shime m'a devancée xD
Allez, je dis... Validé !
Je te mets ta couleur ! Bon jeu ! ♥

» Premier pas au lycé [Pv: Daisetsu + Libre]