Vous avez aimé la version normale de Capu Chuu ? Alors venez visiter notre Next Génération, après les parents, voici les enfants qui font leur entrée au lycée Yokai ! |
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| Iris voleuse de visage ♪ | |
| | Auteur | Message |
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Chrisa Van Orgue
Messages : 34 Date d'inscription : 16/07/2013 Age : 28
Fiche perso Espèce: Inconnue Infos perso: Inventaire:
| Sujet: Iris voleuse de visage ♪ Mar 16 Juil - 8:52 | |
| IamIris Latro VultusWanna see my face ?feat Kirigiri KyoukoPhysique Iris, quel joli nom de fleur, mais cette iris ne fleurira jamais. Ce beau visage pâle entouré de cheveux lisses et longs qui s’arrête au dessus de son visage à cause d’une frange, continuent de tomber jusqu’au bas de son dos. Ils ont la même couleur que ces yeux. Ce corps mince et élégant. Tout ceci n’est pas à Iris. Tout ceci qui est si parfait, n’a été que volé à la femme qu’elle enviait le plus.
Mais sous ce masque ce cache son vrai visage, une peau blanche aussi claire et parfaite qu’une toile vierge, pourtant elle est si fine que l’on peu voir les veines et les fins muscles qui recouvre futilement les os. Un corps invivable pour un être vivant, même si l’on ne peut pas dire que se soit vraiment un corps, juste une ombre incertaine. Des bras trop fin, attaché à une cage thoracique ou bat un cœur, unique pièce de cette organisme. Des jambes trop faibles pour la soutenir, sont accrochées par de fragiles articulations. Ce n’est pas un homme et encore moi une femme, c’est juste un mannequin squelettique et fragile. Mais ce corps aussi immonde soit-il, cache la beauté d’un cœur vivant.
Très vite, elle trouva un visage, celui d’une femme aux yeux violets, ce visage qu’elle porte aujourd’hui. Pourtant, elle à parfaitement son corps, sa vision des choses, ses pensées, mais ses mains son comme brulée. Sur ses omoplates se trouvent deux perles incrustées dans sa chaire. Les dernières marques de son véritable corps qui restera à jamais la trahison de sa transformation.
Mental
La peur, ho oui la peur fut le premier sentiment qu’eu droit à cet être difforme. La peur de vivre comme de mourir, prisonnier entre les deux nuls ne voudraient avoir sa place pourtant, cette peur était une jouissance, une signe de vie qu’elle seule pouvait connaitre. Peut-être est-ce de là cette joie de vivre. Pourtant cette peur ne s’est jamais effacée, le moindre bruit la fait sursauter, la moindre surprise fait battre son cœur à cent à l’heure. Et la vue du sang ne la rassure pas beaucoup plus.
Pourtant, derrière tant de peur, elle sourie, heureuse de vivre, elle ressent la douleur de chacun comme un coup de couteau dans son cœur fragile, mais elle voit un espoir. Une lueur que seul ceux qui son mort né peuvent comprendre. L’espoir est la raison seule de son sourire, l’espoir d’un lendemain lui suffit amplement.
Malgré tout, un départ catastrophique n’implique pas que de l’espoir mais aussi de la jalousie, de l’envie. Une envie qui n’a aucune limite, dé qu’elle trouve quelque chose de beau, il faut qu’elle l’ait. Elle veut tout car elle n’avait rien. Et de ce rien, elle à tout pris, ne se culpabilisant de rien, elle se juge digne d’avoir tout ce qu’elle prend.
Délicate jusqu’à une gentillesse éphémère, elle n’a pas idée à quel point ses mots peuvent être touchant ou douloureux. Elle ne peut comprendre ça car on l’a toujours traitée comme un monstre ou comme une déesse quand elle vole un beau visage. Alors ces deux mondes ne font qu’un en elle.
Histoire I. »*« Ouvre les yeux et regarde ce monde qui s’ouvre à toi. »*«
Ouvrir les yeux sur un monde inconnu, voilà ce qui attendait cette créature. Couchée dans le font d’une grotte sombre où la lumière du jour ne pouvait pas brûler sa peau blanche transparente. Le vent s’engouffrait pour glisser sur la roche et apporter l’humidité de la rivière jusqu’à la peau sèche. En dessous, le cœur battait doucement, les yeux sombres de la créature, s’ouvraient doucement pour voir la voûte au dessus d’elle. Ses lèvres desséchées s’ouvrirent péniblement pour chercher de l’air sans pour autant trouver la moindre force pour inspirer et encore moins le moindre endroit pour emprisonner cet air frais.
L’éco de pas arrivait de plus en plus fort, mais il lui était impossible de tourner la tête vers la personne qui arrivait. Les yeux noirs opaques ne virent que de long cheveux violets, ceux-ci glissèrent doucement sur son visage lui faisant fermer les yeux alors que des bras la soulevèrent du sol. Le sol glacé lui manquait déjà tandis que la créature rouvrait les yeux pour voir un visage, si beau, si doux, si agréable au regard. * Je le veux ! * Pensa-t-elle en fixant se visage avant de le détailler. De grands yeux violets, un teint pâle et parfait, un nez fin qui est parfait sur ce visage parfait. Envieuse, la créature squelettique voulait se visage, se corps aux formes délicates et généreuses. La femme qui la portait se mit à parler, d’une voie douce et trop belle que pour être vraie. Mais cela ne fit qu’accentuer l’envie de procéder cette être de devenir elle.
La force vient dans les bras de la créature, la femme qui la portait tomba dans l’eau son corps se fanait doucement et pourtant trop vite. La créature qui était dans ses bras, se voyait dans son corps, sa peau devenait sienne alors que la belle dame se mourait lentement, elle admirait la créature devenir elle. Des cheveux magnifiques qui volaient doucement au gré du vent à la voie de cristal qui se laissait portée à des kilomètres de là. Une voie qui ferait pâlir de jalousie n’importe qui et qui, a présent, est la sienne.
Dans un cas de conscience, la créature qui avait maintenant un visage humain, se tourna vers le corps qui baignait dans le fin cours d’eau. La peau flétris de la propriétaire de son visage, pendait en languettes de peaux, telles les feuilles fanées d’un arbre. Une telle fleure, même fanée ne pouvait rester ainsi. La créature prit doucement le corps qui lui parut si lourd, elle le posa de l’autre coté sur un roché avant d’aller chercher des fleures pour les poser autour du corps en un doux lit. Elle ignorait pourquoi elle faisait ça, mais elle se sentait reconnaissante face à cette femme qui lui avait tant offert. Pas seulement un visage mais aussi un passé, car la créature ne vola pas que son corps, elle arracha aussi les souvenirs de la femme. Celle-ci portait le nom d’Iris, comme les fleures qui se trouvaient près d’elle.
- Merci, Iris…
II. »*« Un mauvais départ pour une vie mouvementée »* «
A peine venait-elle de quitter la forêt en laissant la vrai Iris se reposer a jamais sur un lit de fleures blanches et aux légères touches violacée. Une fleure d’une beauté magnifique qui se nomme iris elle aussi. Même si jamais la créature ne reviendrait en ce lieu, elle gardait du mieux qu’elle peut chaque détail de cette forêt. Mais trop vite elle en trouva la sorti et ne peut prendre plus de plaisir à admirer ce lieu si beau et si agréable. Le soleil l’aveugla et quand sa vue revient doucement, elle souria tendrement en voyant un homme s’approcher d’elle, l’homme était l’amant et aimé d’Iris. La vrai femme, pas celle qui se trouvait face à lui, mais ça il l’ignorait. Comme toutes les autres personnes qui croisent son passage. Tous les villageois de ce petit coin de bonheur. Les petites maisons en pierres avec des toits en bois, les clôtures à bétail qui lâcheraient au premier coup de corne. Un petit lieu calme, doux et paisible. Pourtant quand l’homme la prit dans ses bras, tout dérapa. La peau de la créature changea doucement et douloureusement, ses pommettes se mouvaient tendit que ses yeux s’éclaircissaient et son corps devient plus mince plus jeune. Les longs cheveux mauves devinrent blonds et ils remontèrent en ondulant pour devenir des crolles.
Une femme hurla à la sorcière en voyant la petite fille qui venait d’apparaitre alors que l’homme recula en voyant sa sœur. La jeune enfant était morte noyée dans un pui , l’homme l’avait poussé s’en faire exprès. L’enfant avait percutée un des cailloux qui dépassaient de la paroi et une fois sonnée, elle avait finie par se noyer. La vie éphémère de la petite avait marquée à jamais son frère qui s’en reprochait. Mais le moment venu, où la petite sœur regarda à nouveau son frère avec des yeux de pardon, il la gifla avec rage en criant au monstre. Iris recula avec peur et bascula sous le choc, une fois au sol, elle pleura a chaude larme en criant son nom, mais très vite, les villageois arrivèrent avec des torches et des fourches en bois. Plus le temps de pleurer à la jeune enfant sensible, Iris partie dans la forêt.
Courir plus vite que jamais, voilà une chose qu’elle voulait faire, mais sous une forme d’enfant, elle ne pouvait pas courir bien vite et certainement pas plus vite qu’une bande de villageois armés et en colères. Pourtant, ils ne la rattrapaient pas et même elle se retrouva seule en plaine forêt, un lieu qu’elle connaissait, sans s’en souvenir. Aucuns chemins ne lui disaient rien, elle tournait sur elle-même et doucement elle retrouva le corps de la première personne qu’elle vit.
La nuit était tombée sur elle et la forêt, il lui était impossible de voir par où aller, déjà qu’elle n’arrivait pas à choisir un chemin. Paniquée elle tourna sur elle-même, ne faisant qu’accentuer son sentiment de peur. Jusqu’à finir au sol, Iris tourna sur elle-même, le noir qui ne laissait même pas les lueurs de la lune passer. La jeune créature comprit que c’était la nuit qu’avait fait fuir ses poursuivants, car… il y avait des prédateurs qui feront fuir n’importe qui en cette époque. Des loups noirs, des loups qui sont plus féroces et plus grands que n’importe lequel de ses cousins, pourtant même ses créatures avaient des règles. Certaine plus strictes d’autres, mais surtout que celui qui tue le chef, devient le chef.
Aucune idée, sauf courir, voilà ce que voulait faire la pauvre enfant, elle se releva sur un hurlant qui la fit trembler de peur, jamais au grand jamais elle n’avait entendue de telle.
Pourtant ce cri ne lui faisait déjà plus peur, quand l’animal le poussa à nouveau, elle ne broncha pas plus que ça. Mais son cœur battait à tout rompre, le loup approchait avec sa meute. On l’entendait au choc de ses pattes avec la terre et aux hurlements de ses congénères. Et comme pour annoncer leurs arrivées en retards, la forêt sombra dans le silence alors qu’un éclat de lune descendit sur elle. Tendait que l’enfant levait les yeux au ciel pour admirer la petite parcelle de lune, les bêtes sauvages arrivèrent.
Le silence devenait palpable et même lourd, mais les créatures aux poils noirs comme la nuit, attendaient d’avoir toute l’attention de leur proie. Les yeux bleus de la petite fille descendirent doucement sur les deux sphères jaunes du chef de la meute, ce dernier grognait avant de rapprocher sa gueule du sol en gonflant son dos. L’animal devenait plus grand, malgré sa taille déjà égale à celle d’un homme adulte. Un loup des montagnes une bête incroyablement belle et pourtant trop féroce pour être approchée.
La petite poupée blonde souria doucement avant de pencher la tête sur le coté, l’air frais de la nuit rendait le souffle de la petite devenait visible, ainsi que ceux de toutes les bêtes qui étaient face à elle. Neuf bêtes, une petite meute, mais pour de telle créature, c’était une meute énorme. Mais, le voleur de visage ne montrait aucune peur pour la simple raison que ces créatures auront plus vite peur d’elle qu’inversement. Pour la simple raison qu’ils craignent plus ceux qui n’ont pas peur d’eux que ceux qui tremblent en pointant une arme qui leur est mortel.
La bête enfonça ses griffes dans le sol pour courir vers elle avant de bondir en ouvrant sa gueule, les yeux bleus se plissèrent doucement avant de faire un pas de coté pour éviter la plus grosse partie de la morsure. Et à son touché, l’enfant se mua en loup aussi gros que lui voir même plus impressionnant. Le savoir du combat de bête arrivait comme un ouragan. Le chef de meute était une femelle et face à elle se trouvait son ancien compagnon qu’elle avait laissé agoniser avec une corne de rêne dans le ventre. Ce qui veut dire, qu’elle regrette sinon, le voleur de visages n’aurait pas peu prendre une telle apparence.
Le nouveau loup se montra avec fierté en grondant sourdement. La louve se fit petite et baissa la tête, les autres bêtes suivirent le mouvement et la nouvelle forme de la créature se fit moins imposante. Le voleur était soulagé de voir que son tour avait marché même s’il saignait à la patte droite avant. Il se coucha au sol en soupirant avant de se lécher la patte pour arrêter le saignement, en vient, et même pire car la douleur était trop forte que pour continuer ainsi. Il se leva d’un bon en retirant sa patte du touché du sol pour regarder les autres et leurs faire comprendre qu'ils devaient de partir chasser pour lui.
Sans même attendre plus, les bêtes partirent et au bout d’une heure, la meute revient avec plusieurs gibiers de taille. Le chef se réveilla au moindre signe de leur arrivé les attendant calmement avant de se mettre à table. Il plongea ses immenses crocs dans le ventre d’un cerf pour lui arracher la peau et libérer ses entrailles. L’animal déjà mort n’était plus qu’un repas sanguinolent. Le loup n’eut que quelque bouchée du petit animal part rapport à sa taille, il lui fallu cinq corps pour pouvoir enfin s’apaiser de sa faim et laisser le reste à ses chasseurs.
Et quelques nombreux chapitres plus tard…
»*« Chapitre au numéro perdu. »* «
L’odeur mélangée du sang et de la terre des corps au sol, l’air saturée par la poudre, les boulets déchirant le ciel au dessus de sa tête, aucun doute, cette guerre allait être gravée, comme un cauchemar, dans l’histoire. Le déglutit d’une gorge sèche était aussi douloureux que d’avaler de la poudre à canon, pourtant le choix n’était pas là.
L’homme serra son arme contre lui avant de la charger en priant pour son âme et sa femme qui jamais ne le rêvera. Une femme qui ne pourra lui pardonner d’avoir négligé son amour et son futur enfant.
Un jeune homme arriva au coté du futur père, ils se regardèrent un long moment en silence, pas besoin de parler quand le choc des boulets de canons tombant au sol, recouvre tout. Même le son de son propre souffle disparaissait sous les hurlements. Pourtant, l’homme fit un geste simple et compréhensif, il leva sa main à sa bouche pour montrer qu’il avait soif. L’eau était un trésor précieux qui dans c’est condition disparait rapidement. Le jeune homme attrapa sa gourde pour la lui donner avant de frapper amicalement sur son épaule. Le visage couvert de terre, il salua son ainé avant de partir. L’homme le regarda avant de lever la gourde pour le remercier des quelques goutes qui lui donne un peu d’espoir avant de se lever pour aller attaquer de front.
Mais à ce moment précis, il était seul, a part les canons qui étaient au loin, il n’y avait plus personne en vie. Les corps jonchaient le sol a moitié enseveli dans la terre, répandant un liquide brun noir. La pluie arriva doucement pour nettoyer l’air de ses péchés. L’homme avança d’un pas lent, profitant de cette fine délivrance qui ne durerait pas, mais chaque goute était un soulagement. Il lâcha sa garde avant de tourner sur lui-même en fermant les yeux, heureux de ce calme même s’il n’y a que des morts. Lui il était en vie. Il s’arrêta pour ouvrir les yeux et voir une femme. Là à quelques mètres de lui, elle avait les yeux rivés sur un corps. De longs cheveux blonds glissèrent de ses épaules alors que ses genoux venaient heurter le sol. Sans un mot, l’homme regardait, observant les doux trais de la femme. Elle attrapa doucement le corps devant elle pour le tourner sur le coté et le laisser tomber sur le dos.
L’homme retenait presque son souffle en voyant les larmes couler sur le délicat visage à la peau si claire que même la neige devait paraitre grise à coté. La sublime créature glissa doucement ses doigts sur le visage du défunt. Elle prononça des mots inaudibles, mais l’homme savait que c’était des mots d’adieux. Il attendit qu’elle finisse avant de s’approcher, sans attendre elle se leva, quand le bruit d’une flaque se fit entendre. La belle femme jeta un regard triste au solda avant de venir vers lui qui s’était arrêté. Il la regardait avant de murmurer quelque excuse pour l’homme qui ne respirait plus. Elle le regarda avant de sourire en lui répondant que les morts n’ont plus besoin d’excuse, seule les vivants peuvent en recevoir. Il fut surpris d’entendre une telle froideur dans sa voie, mais la vérité était bien là.
La femme passa a coté de lui en touchant doucement son épaule, l’homme attrapa sa main pour lui demander ce que faisait une telle beauté dans ce lieu maudit. Mais ses yeux ne virent pas la belle femme, ils virent son épouse. Son cœur fit un bon et elle recula. Non… Je ne suis pas elle, elle est morte…’Le visage de l’homme se décomposait, ce n’était pas elle qui ne le révérait pas, c’était lui. La femme recula avant de lui faire dos, reprenant un visage encore différant, celui d’Iris. L’homme était tombé au sol pour prendre le fusil en main et le serrer contre lui avant de mettre le canon sous son menton pour tirer. L’éco du coup résonna longtemps tendit que le silence des canons avait pris place.
Iris, la belle femme, elle ne pouvait touché l’homme qu’elle appréciait qu’après sa mort, sinon elle prenait un visage de son passé. Un sort cruel contre lequel, elle ne pouvait absolument rien. Et jamais cela na changera, un baiser et tout par en vrille, elle le sait, elle l’a déjà vécue. Quand elle embrasse quelqu’un, sa partie la plus sauvage prend le dessus, le loup géant apparaît. Indomptable et féroce, il tue tout sur son passage ne laissant que des corps difformes et sanglant.
Quand un rêve rappel la réalité...
-Pousse !!! Allez encore un effort tu y es presque je vois sa tête. Pousse !
Iris avait les mains entre les jambes de la femme qui hurlait en sueur. Cela faisait presque trois heures que la jeune mère hurlait sous les douloureuses contractions. Et depuis, aussi bien Iris que l’autre jeune femme, Émilie. Une vieille connaissance qui travail dans le monde des humains comme infirmière, une aide précieuse pour le moment. Les hurlements finir par disparaître en soupire, l’enfant était enfin dehors, même si quelque chose n’allait pas la mère pouvait enfin soupirer de soulagement. Iris avait été dans la pièce d’à-côté avec le bébé, il où plutôt elle, n’avait pas criée. Elle ne respirait pas, mais son cœur battait. Émilie avait été avec la voleuse de visage, sans attendre la jeune infirmière, prit un fin tube pour le passer dans la bouche du bébé et l’enfoncer doucement. Du sang en sortit avant que le nouveau né s’agite, elle retira vite le tube et l’enfant hurla. Soulagée Iris lava la petite chose avant de l’emballer doucement dans de la soie blanche pour aller la donner a sa mère.
La femme aux yeux mauves et aux longs cheveux noirs ondulés, souria en prenant doucement l’enfant.
-Merci Iris Et Émilie.
- Allons C’est naturel Chrisa.
Emilie salua chaudement les deux femmes avant de partir, elle devait aller autre par car on avait aussi besoin d’elle. Iris la salua avant de rester près de son ami. Chrisa admirait son enfant, elle n’avait jamais dit de qu’il était, mais la voleuse de visage savait, par le touché.
Les deux femmes s’étaient rencontrées par un étrange hasard. Il faut dire qu’une belle femme aux cheveux noirs qui s’assoie face à une lectrice pris dans un livre. Ce n’était pas banal, mais il n’y avait eu besoin d’aucun mot. Elles s’étaient juste regardée et Iris lui offrit à boire quand celle qui venait de s’assoir sortie un livre. Chrisa ne savait pas que la femme face à elle était l’auteur de l’ouvrage qu’elle tenait en main. Un bel hasard car cette rencontre dura sept mois, jusqu’à l’accouchement.
- Alors, comment vas-tu l’appelée ?
-Elisabeth… Rose… non je sais Rosa, comme avait choisi son père.
Ces quelques mots surprirent la voleuse de visage, elle n’avait encore jamais entendue la dragonne parlée de l’homme qui l’avait abandonnée avec un enfant. Mais elle ne poserait aucune question, elle savait et comprenait son silence sur cet être.
L’orage déchira le ciel et la femme aux yeux violets se redressa en un bon. Elle venait de rêver de sa vieille amie. Elle avait essayée de la contactée la vieille pour avoir de ses nouvelles, mais cela avait été impossible. Et puis, depuis qu’elle n’apprenait plus Rosa à utiliser ses flammes après que ses pouvoirs sois scellés, Iris n’avait eu que peu de nouvelles. Voilà qu’elle se réveillait à trois heures du matin. Un mauvais pressentiment qui venait du loup géant.
Elle sortit de son lit, inutile d’essayée de se rendormir, elle sait qu’elle n’y arrivera pas. Et puis, elle allait déposer une lettre de démission à son travail avant de partir. Une foie hors de son lit, elle s’arrêta devant son mur où était accrochée une belle collection de diplôme, mais tous autour d’un même point, l’enseignement. Elle les arracha du mur pour en faire un beau petit tas avant d’aller prendre sa douche. Iris prit son déjeuné avant de faire un sac avec quelque habit pour ensuite laisser une lettre et de l’argent pour le propriétaire. Expliquant brièvement qu’elle gardait bien l’appartement et qu’elle reviendrait chercher ses affaires avant de partir.
Sans attendre elle écrivit une brève lettre au directeur du Lycé Yokai, se doutant bien qu’elle pourrait être utile là bas. Elle fit aussi des lettres pour ses élèves. Après tout, elle travaillait le matin comme secrétaire et le soir elle donnait des cours particulières aux jeunes monstres, et l’après midi elle écrivait des romans.
En une journée, elle arriva à la petite maison près de la forêt où vivait Chrisa Van Orgue, mais rien, une vieille odeur de sang imprégnait les murs, une odeur de sang et de mort. Elle fouilla un peu pour trouver des bandages, salis par la morsure de la chaire putride qu’elles avaient vaguement soignée. Une marque inconnue, même si elle en savait beaucoup, la seule certitude était que ça venait d’un monstre.
Le lendemain elle arriva à son appartement, une lettre avait été glissée sous la porte, le lycé avait répondu elle était engagée. Sans rien prendre de plus que ses diplômes et ses habits, avec une photo ou deux, elle partie pour le lycé.
Et enfin elle arriva au village qui abritait l’établissement. In Fact, I'm Just... ♣ Surnom :Iris, Mademoiselle, Voleuse de visage / de souvenirs. ♣ Age :786 ans ♣ Sexe : Changeant, femme pour l'instant ♣ Race : Inconnue ♣ Profession : Professeur de chimie ♣ Chambre solo ou double : Solo ♣ Orientation sexuelle :Bisexuelle. ♣ Pouvoirs :*Latro Vultus* qui signifie * Voleur de visage*. Ce pouvoir unique consiste à prendre un visage, le corps et même les souvenirs d'un être, mais pour cela elle doit toucher la personne ou la créature a qui appartient ce souvenir. Ce dernier ne peut-être que le plus marquant ou le plus cher à l'être a qui elle va copier le souvenir. Pourtant, le visage qu'elle prend ne peut être celui d'un être vivant, sinon il disparaît de ce monde qu'elle puisse l'avoir.
*Divina Lacrima * autrement dit * Larmes Divines* Le sel des larmes du voleur de visage, n’est pas commun, il permet de soigner toutes les blessures, voilà un don rare et pourtant, la quantité de sel qu’’il faut pour soigner la plus petite des plaies, ne permet aucun soin avec deux larmes…
* Sero Veneficci* donc * Sérum empoissonné* Ce dit-sérum qui est son sang, peut autant ouvrir les yeux sur le visage qui apparaît devant la personne qui a goûté au sang. Qu'il peut aussi bien devenir un poison aussi douloureux qu’imaginable pour l'être qui ne cache pas un visage défunt qu’elle peut prendre. ♣ Passions : Regarder les étoiles et écouter la nature. ♣ Tiques et manies : Jouer avec ses cheveux. Manger des bonbons à la framboise. Rester à l'écart. Maladroit et distraite. ♣ Ambition/but/objectif : Perdre ses pouvoirs pour pouvoir vivre comme une humaine♥ ♣ Armes : Aucune, son pouvoir est la pire des tortures psychologiques.
♣ Comment avez-vous connu le forum ? DC ♥ © Never-Utopia
Dernière édition par Iris Latro Vultus le Mar 30 Juil - 4:23, édité 2 fois | |
| | | Yuze L. Kurotsuki
† The Cute Devil †
Messages : 129 Date d'inscription : 21/03/2013
Fiche perso Espèce: Duras - Vampire Infos perso: Inventaire:
| Sujet: Re: Iris voleuse de visage ♪ Lun 29 Juil - 5:14 | |
| Mauvaise venue ♥ J'aime beaucoup ton histoire, malgré les fautes qu'il y a j'aime bien la rédaction ^^
Je suis Yuze Kurotsuki, 16 ans, Classe Red, mi-Duras par mon père Luze, mi-Vampire par ma mère Yûki, tous deux sensei ici. J'ai aussi ma demie-soeur Himeka Hijiyama. Je te laisse le plaisir de me découvrir, en RP ou RP CB ♥
Alors, côté administratif.. "Manipulatrice" , même "malgré elle", on accepte pas, désolée. Et... Pour les pouvoirs, je n'ai pas vraiment compris en quoi ils consistent en fait ><
Si tu pouvais éclaircir la chose, se serait bien, merci ♥ | |
| | | Chrisa Van Orgue
Messages : 34 Date d'inscription : 16/07/2013 Age : 28
Fiche perso Espèce: Inconnue Infos perso: Inventaire:
| Sujet: Re: Iris voleuse de visage ♪ Lun 29 Juil - 6:22 | |
| Merci beaucoup,
Je me suis bien amusée à faire mon histoire, j'avoue qu'Altair m'a aidé par moment. J'ai changée les petits détailles demandé, si cela ne va toujours pas et bien je retravaillerais encore jusqu’à ce que ça vous plaises Jeune Élève =3
Merci a vous | |
| | | Yuze L. Kurotsuki
† The Cute Devil †
Messages : 129 Date d'inscription : 21/03/2013
Fiche perso Espèce: Duras - Vampire Infos perso: Inventaire:
| Sujet: Re: Iris voleuse de visage ♪ Mar 30 Juil - 3:46 | |
| Alors, alors, pour moi c'est bon ! Il reste juste le détail de l'ambition/but/objectif par contre ^^
Allez, je te donne la question à laquelle tu dois répondre pour ta validation : Combien d'armes autorisons-nous aux monstres? Et combien aux humains ?
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| | | Chrisa Van Orgue
Messages : 34 Date d'inscription : 16/07/2013 Age : 28
Fiche perso Espèce: Inconnue Infos perso: Inventaire:
| Sujet: Re: Iris voleuse de visage ♪ Mar 30 Juil - 4:23 | |
| Voilà le but est changé.
Yuze dit oui ! | |
| | | Yuze L. Kurotsuki
† The Cute Devil †
Messages : 129 Date d'inscription : 21/03/2013
Fiche perso Espèce: Duras - Vampire Infos perso: Inventaire:
| Sujet: Re: Iris voleuse de visage ♪ Mar 30 Juil - 4:52 | |
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| | | Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: Iris voleuse de visage ♪ | |
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| | | | Iris voleuse de visage ♪ | |
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