Capu Next Génération
Bienvenue dans ce lycée où les monstres sont rois ♪♥️

Souvenez-vous du temps ancien où déjà les monstres et humains vivaient en semi-harmonie dans ce lycée, il y a plusieurs années de cela...
Aujourd'hui, les enfants de ces anciens élèves font leur entrée dans cette académie mystérieuse, loin du pays des Bisounours ♪♥️

Que seras- tu ? Ange ou démon ? Rejoins-nous pour le savoir ~ ^w^
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 Petite succube pour vous faire des misères

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MessageSujet: Petite succube pour vous faire des misères   Petite succube pour vous faire des misères Icon_minitimeJeu 4 Oct - 7:05



I
am
Natsu Amane

Souriante - Joueuse - Optimiste - Courageuse - Confiante - Responsable
Capricieuse - De mauvaise foi - Egocentrique - Têtue - Colérique - Impulsive - Vulgaire - Perverse - Manipulatrice - Infidèle

Wanna see my face ?

feat Luka Megurine de Vocaloid

Physique
Cette fille ? Une fichue canon. Le jour où elle est arrivée au collège, elle est un peu devenue l'attraction de tous les garçons. En même temps, comment ne pas baver devant cette bombe d'un mètre soixante-six, qui semble dans la norme niveau poids vu son allure svelte ? Ses longs cheveux d'un rose vif attiraient le regard, ils détonnaient de par leur couleur inhabituelle dans les murs de notre collège, ils avaient l'air doux et soyeux, malgré cet air décoiffé rebelle qu'elle avait, la grande majorité des hommes aurait voulu pouvoir un jour passer leur main dans ses longs cheveux qui lui arrivaient pratiquement aux genoux. Elle avait aussi de ces yeux... Des yeux d'un splendide bleu, envoûtant, qui variait facilement du turquoise au bleu marine, je n'ai jamais su de quoi leur couleur dépendait. Le temps, ses humeurs...?
Elle avait une poitrine déjà assez développée pour son âge, qui en faisait baver plus d'un. En plus, elle faisait du zèle sur ses tenues, décolleté plongeant, mini-jupe, à peine dans l'adolescence elle était déjà provocante, un véritable appel au viol. Elle avait même son petit truc rien qu'à elle, toujours ce même vernis bleu ciel sur ses ongles, disons son "vernis fétiche".
Côté vestimentaire, elle portait un peu de tout. Ses habits, comme je l'ai dis, pouvaient être très courts, limite vulgaires, tout comme féminin et mignon, selon ses humeurs. N'importe qu'elles couleurs lui convenait, elle ne se bloquait pas sur une seule couleur, un jour elle pouvait venir toute en noir, et le lendemain, en rose, jaune et vert, tout à la fois. Certains la disaient excentrique, mais c'est bien ce qui faisait son charme.
En tout cas, c'était une fétichiste des bracelets apparemment, elle en portait tout le temps. Et des serre-têtes aussi, d'ailleurs. Encore un petit signe particulier bien à elle.
Pour finir, elle porte un tatouage à l'avant-bras gauche. " 03 " inscrit en rose, je n'ai jamais compris ce qu'il signifiait. Je n'ai aussi jamais osé lui demander.
Non, décidément, cette fille avait tout pour plaire.
Témoignage d'un ancien camarade d'école de Natsu.

Nous ajouterons que, sous sa forme de succube, des ailes roses vif lui apparaissent dans le dos, accompagnées d'une queue de démon à la couleur assortie, et ses ongles s'allongent.


Mental
Vous voulez que je vous dise ? Cette fille est une vraie peste ! Elle n'a pas toujours été comme ça, autrefois on pouvait compter sur elle, elle était adorable, tout le monde l'adorait... Et puis, à cause de ce mec et de cette fille... Elle est devenue ce qu'elle est. Je ne la supporte plus. Quoi ? Vous voulez savoir pourquoi elle est tellement insupportable ? Elle se croit tout permis, elle croit tout connaître et utilise les autres. On ne sait jamais quand elle ment, ou quand elle dit la vérité. Et bien sûr, si on cherche à la contredire, elle part au quart de tour et vous en met plein la tête ! Elle est égocentrique, elle ne voit qu'elle et elle même, limite, elle se dirait votre "amie" et puis, elle vous verrait pleurer, elle ferait comme si elle ne vous avait pas vu. En plus, elle est capricieuse, quand elle veut quelque chose, elle est pire que les gosses, elle fait tout et n'importe quoi pour avoir l'objet de ses convoitises ! Essayez de lui faire remarquer, elle se mettra à nier la vérité, elle ne reconnait jamais ses torts, elle aime avoir le dernier mot, ce n'est qu'une sale mauvaise perdante ! Elle est vraiment trop têtue et veut toujours avoir raison, elle m'énerve, cette gamine qui se croit supérieure ! Et elle est d'une de ces vulgarité...
La cerise sur le gâteau, c'est une perverse ! Ouais, et pas des moindres, je vous jure. Comme quoi, faut se méfier des filles à l'air adorable comme elle, ça cache de ces personnes... Un jour, elle en violera un ou une, à ce rythme ! Le pire du pire, c'est qu'elle est infidèle ! Et après on se demande pourquoi elle ne sort avec personne...

Quoi ? Je dois lui trouver des qualités maintenant ? Pff, vous croyez que c'est possible ? A part le fait que malgré son sale caractère elle sourit souvent... Du moins avec les personnes qu'elle apprécie vraiment. Même si on ne dirait pas, c'est une fille très optimiste, en fait, elle voit plus le verre à moitié plein qu'à moitié vide. Elle est aussi courageuse, surement parce qu'elle est très sûre d'elle, peut-être même un peu trop parfois, non, souvent. Mais elle sait être responsable, elle évite de prendre des risques inutiles, surtout si cela peut mettre d'autres personnes en danger. C'est tout ce que je lui vois...

Témoignage d'une ancienne camarade d'école de Natsu.


Histoire
L'oubli...
Na... Natsu...?
...est le seul...
Tiens bon !... On va te soigner !...
...échappatoire à tout ça...
J'ai... mal...
...à l'amour...
Chut... Tu vas t'en sortir !
...à la mort...
Dé...solée... Naty...
...aux larmes...
Non !... A... Anata...
...au chargin...
ANATA !
...Je voudrais tellement...
Oublier...

Les yeux des enfants ne sont pas encore souillés des immondices de ce monde

Je ne me souviens plus de ma date de naissance. Je sais juste que c'était il y a 19 ans, dans un petit village paisible où il ne se passait jamais rien de bien intéressant. Dans cette petite bourgade, les voisins se connaissaient tous entre eux, de même que les enfants, tellement qu'il n'était pas rare de voir ces derniers s'inviter les uns chez les autres ou courir ensemble entre la trentaine d'habitations existantes. Le village se situait dans une vallée, semblant éloignée de tout, coupé du monde réel, pourtant la ville se trouvait juste à côté. Ce fut dans cet endroit tranquille et chaleureux que je passais les premières années de ma douce vie, entourée de ma mère, mon père, et ma soeur, Anata. Elle avait quatre ans de plus que moi, et elle m'adorait, tout comme je l'adorais. Dés que je fus en âge, d'ailleurs, nous faisions les quatre-cent coups ensemble, autant aux enfants qu'aux adultes. On se faisait bien sûr réprimander à chaque fois, mais comment les adultes pouvaient-ils résister à nos bouilles toutes mignonnes de gamines innocentes ? Ils n'y arrivaient jamais, et les bêtises étaient bien vite oubliées quand nous repartions jouer en riant.
Je m'entendais avec tous les enfants du village, et les adultes m'adoraient aussi. Il y avait cette vieille dame que j'appellais "Mamie" bien qu'elle ne le fut pas réellement. Tous les dimanches, quand j'allais chez elle, elle me préparait du chocolat chaud et des crèpes que nous mangions en discutant, parfois Anata venait avec moi, d'autres fois non.
J'allais à l'école, la petite école du village qui comptait donc peu d'enfants, qui se connaissaient et s'adorait tous. Aussi, personne n'était jamais laissé à l'écart. Quand un nouvel élève arrivait, il était chaleureusement accueillit, devenait aussitôt des nôtres dés que nous connaissions son prénom.
Ce sont ici les quelques choses dont je me rappelle, puisque nous ne gardons souvent que peu de souvenirs des premières années de notre vie, notre mémoire nous faisant bien malheureusement défaut.
Si mes souvenirs de mes années primaires sont troubles, ceux du collège, eux, sont bels et bien nets. Le collège, cette phase qui nous forge la mentalité, qui nous montre sous notre vrai jour, qui nous apprend la vie et les sentiments... J'en ai fais les frais.

Amour, quand tu nous tiens, il faut se préparer à pleurer, puisque tu n'es qu'un combat inutile

Dés le premier jour, les mecs avaient trouvé amusant de me reluquer de la tête aux pieds -leur regard s'attardait sur mes cheveux ou ma poitrine- toute la sainte journée, et les jours suivant aussi. Je ne leur avais d'abord pas prété attention, jusqu'à ce que je LE croise. Lui. Coup de foudre. Le genre d'homme qui devait faire tomber toutes les filles. Un fantasme à lui seul. Enfin, bien sûr, à la base, ce n'était que physique. Pour sûr, je ne lui avais même pas parlé, comment l'attirance que j'avais pour lui pouvait-elle être autre que physique ? Je l'avais espionné durant les premiers jours, et j'avais remarqué une blonde aux yeux identiques aux miens qui lui traînait autour. Avant même d'approcher le garçon que j'avais pour cible, j'avais engagé la conversation avec la blonde, par le plus grand des "hasards". Elle s'appelait Abyze. Abyze Wairudo. Elle était sympathique, et nous sommes rapidement devenues amies, pour ne pas dire meilleures amies. Nous passions souvent du temps ensemble, même en dehors des cours. Je l'adorais.
Mais en même temps, je me rapprochais du mec que j'avais repéré à mon arrivée. Lui aussi, il était sympathique, avec lui aussi, je passais du temps. Mais si j'avais su...!
Abyze aussi s'était rapprochée de lui. Je ne le savais pas, au début, et elle et moi étions toujours fourrées ensemble, à faire les quatre cent coups. Je commencais à me dire qu'avec ce beau jeune homme, j'avais une chance, que c'était vraiment de l'amour... Mais il a fallut que tout soit faux.

Un jour, cet homme en question a demandé à nous voir ensemble, Abyze et moi. Nous étions donc au rendez-vous, et ce jour là, il nous a annoncé la chose si simple qui pourtant fit tout basculer. Je ne lui plaisais pas. Abyze non plus. Aucune fille au monde non plus. Non, lui il jouait dans l'autre cour, celle des hommes. Oui, il était homosexuel. Ou, plutôt, il l'était devenu il y a peu de temps. De là, notre relation avec Abyze avait dégringolée en flèche, et nous étions passées de meilleures amies à pires ennemies. Impossible pour nous de nous retrouver ensemble dans la même pièce, de simplement nous voir. Le mieux, c'était de ne pas nous croiser, ne pas nous parler, éviter un combat à tout prix. Aucune de nous deux n'étions humaines, et un combat aurait à coup sûr tourné au bain de sang.

Suite à cette déception à la fois amoureuse et amicale, je m'étais réfugiée auprès de ma soeur, qui m'avait réconfortée. Elle avait déjà connu la défaite de l'amour, et elle m'avait été d'u grand secours, pour m'aider à oublier cet homme. Il n'empêche que je me sentais obligé de tenir quelqu'un pour responsable, et cela tomba contre Abyze, forcément. Pourtant, au fond, je savais qu'il n'y avait pas d'autre coupable que cet homme. Mais je ne pouvais pas m'empêcher de rejeter la faute sur Elle...

Orphelines de malheur, vous n'avez rien à faire ici, vous n'êtes pas des nôtres

Je m'étais quand même remise de tout cela, au bout d'un an. Même si quand je croisais Abyze dans les couloirs du collège, je ne pouvais m'empêcher de lui décocher un regard noir ou quelques paroles amères, qu'elle me rendait bien, d'ailleurs. Nous ne pouvions plus nous sourire, discuter ensemble, rire ensemble, nous étions privées l'une de l'autre. Elle ne me manquait pas, du moins c'est ce que je m'efforçait de croire, sans vraiment en être convaincue au final.

Un jour, pour qui, pour quoi, mes parents avaient décidé de quitter le village pour s'installer en ville, où je serais bien plus proche du collège. Ils voulaient que nous changions d'air, sans partir trop loin. J'étais triste, tout comme Anata. Quitter cet endroit chaleureux qui nous avait vu grandir, où nous avions tous nos amis et nos repères, c'était comme nous voler une partie de nous-même. Mon seul réconfort résidait dans le fait que nous n'habiterions pas loin, et que je verrais toujours quelques amis du village au collège. Malgré tout, la tristesse ne me quittait pas.

Un peu plus d'un mois plus tard, nous étions dans notre nouvelle habitation. Petite maison aux murs blancs et aux volets bleus, en bordure de centre ville, un quart d'heure du collège à pieds. J'avais une petite chambre modeste mais que j'avais tout de suite adorée, elle ressemblait à celle que j'avais dans la maison au village. Je me sentais un peu moins "ailleurs". Et puis, comme prévu, au collège, je revoyais des amis du village, avec qui je passais d'ailleurs le plus clair de mon temps, que ce soit en classe ou aux pauses. Je m'y faisais, je n'étais plus malheureuse. Au contraire, même. Il a fallut que quelque chose vienne troubler tout cela... Et change le cours des choses, sans retour en arrière possible.

C'était une nuit d'hiver, la neige tombait dehors et recouvrait le sol et les toits d'une fine couche de poudre immaculée. Nous étions, mes parents, ma soeur et moi-même, couchés et endormis depuis longtemps. Cette nuit aurait pu être tout à fait normal, mais non. Des bruits sourds et inhabituels m'avaient réveillée, et j'étais descendue sur la pointe des pieds au rez-de-chaussée, pour voir la cause de ces bruits. J'avais eu une terrible vision alors. A la cuisine, mes parents, et trois hommes inconnus et cagoulés, des pistolets à la main. Je n'avais même pas écouté leurs paroles, des coups de feu avaient retentit, et mes parents étaient tombés au sol. Trop choquée pour hurler, j'étais remontée à l'étage, réveiller ma soeur, le visage baigné de larmes. Elle avait déjà les yeux ouverts, et à me voir elle comprit aussitôt. Elle m'ordonna de me cacher et de rester silencieuse, ce que je fis alors docilement. J'étais dans un état second, ne faisant qu'obéïr puisqu'elle semblait avoir gardé la tête froide. Dans ma tête, les images de mes parents chutant à terre après avoir reçu des balles repassait en boucle.

Les minutes défilèrent, mon coeur battait à cent à l'heure, j'avais peur. Mais je restais silencieuse. Après un temps qui me sembla interminable, j'entendis de nouveau des bruits en bas, sans vraiment comprendre ce que c'était. Puis, des pas avaient monté les escaliers, et deux personnes étaient entrées. Ma soeur, accompagnée d'un homme en uniforme, un gendarme. Anata vint me prendre dans ses bras, et je sentis ses larmes dans mon cou quand elle me souffla que nous étions sauvées. Mais nous étions orphelines.

Une nouvelle vie débuta alors, nous fûmes placées en orphelinat, avec nombre d'autres enfants, mais nous restions toutes deux à l'écart. Nous ne voulions pas être comme eux, sans parents, sans famille. C'était trop difficile pour nous. Alors nous restions ensemble, dans un coin tranquille, évitant de nous mêler aux autres.
Au collège, tout avait changé aussi, les autres se moquaient de nous, nous étions devenues les orphelines de malheur dont personne ne voulait. Nous étions malheureuses, mais nous ne le montriions pas.

Notre vie autrefois si belle avait été réduite à un flot sombre de désespoir et de solitude. On dit souvent que la vie est un long fleuve tranquille... Oui, à condition de savoir nager.

Tu m'avais promis de ne jamais m'abandonner, tu as mentit, je te déteste... Ne me laisse pas !


In Fact, I'm Just...

♣ Surnom : Naty, Nat...
♣ Age : 19 bougies.
♣ Sexe : Femme, ça se voit pas ?
♣ Race : 100% Succube
♣ Profession : Etudiante ( Comité de sécurité si possible )
♣ Chambre solo ou double ( préciser si chambre mixte ou non ) : Double simple, réservée.
♣ Orientation sexuelle : Bisexuelle, mais se dit hétérosexuelle.
♣ Pouvoirs : Allonger ses ongles sur une dizaine de centimètres, voler avec ses ailes de succube. Charmer les hommes en croisant leur regard. Les rendre esclaves en les embrassant (pouvoir scellé).
♣ Passions : Le sexe, l'alcool, les sorties en boite, ...
♣ Tiques et manies : Se mordiller les ongles à tout bout de champs.
♣ Ambition/but/objectif : Se réconcilier avec une certaine personne...
♣ Armes : Aucune.

♣ Comment avez-vous connu le forum ? Secret, secret !


© Never-Utopia


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