Qui se ressemble s'assemble, en amitié aussi ? [PV Shizume]

Princesse solitaire, sourire éphémère, rencontre impromptue... Bienvenue !

Mon sac sur l'épaule, je marchais dans les couloirs, me fichant pas mal d'être déjà en retard d'une bonne dizaine de minutes... Si ce n'était pas plus. J'étais seule dans les couloirs. A part un surveillant qui m'avait lancé un regard mauvais en me disant de me dépêcher d'aller en cours. Je l'aurais bien ignoré, mais là, j'avais franchement pas la tête à supporter son blabla comme quoi on écoutait les adultes et tout le tralala. Donc j'avais prit un air faussement désolé, avait supplié le surveillant du regard, qui m'avait finalement laissé repartir, allant lui même vaquer à ses occupations. Bordel, si j'ai pas envie de me dépêcher, je me dépêche pas ! Toujours les mêmes, ces adultes, hein. A croire qu'ils sont là juste pour ça : nous pourrir nos journées. Comme si avec les cours, elles l'étaient pas déjà, pourries. Surtout que j'avais trouvé personne pour m'amuser. Les auras des gens que j'avais croisés étaient trop... inintéressantes. Je voulais de la nouveauté, de la puissance, ou que sais-je. Mais pitié, pas les petites demi-portions...

Quoi, je me vante ? Raaah, mais tu vas pas t'y mettre toi aussi. Bref, fiche moi la paix, tu vois pas que j'en ai marre ? Bon. Trouver ma salle de classe. Je sais même pas avec quel prof j'ai cours. Mathématiques, ou histoire ? Salle... Salle... Salle je sais plus combien. Ils pourraient pas mettre des plans ? Et moi qui avait oublié mon emploi du temps dans ma chambre. Et pas envie d'aller le chercher. Trop la flemme, pour le coup. Bon bah tant pis, le cours se ferait sans moi. J'allais pas manquer, hein. Parce qu'à la limite, soit j'allais rêvasser, soit j'allais foutre le bordel. Donc autant que j'y aille pas. J'avais rien à y perdre moi non plus.

Je m'arrêtais donc dans un angle d'un couloir, posais mon sac par terre et m'asseyais au sol. Je sortais mon MP3 noir et ses écouteurs assortis. Je mis ces derniers dans mes oreilles, mettais une musique de rock métal -pour une fois que c'était pas le genre un peu glauque déprimant- et fredonnais doucement l'air. Je sortis ensuite le journal noir et or de ma mère, que je gardais toujours sur moi, ou presque, et l'ouvrais à une page au hasard. Ah, tiens, elle s'était teinte en blonde. Je connaissais ce passage par coeur, et je dois avouer que ça me faisait un peu rire, d'imaginer Maman en blonde... Faudra que j'essaie, de me teindre les cheveux, un jour... Plongée dans la lecture du récit tracé à l'encre violette sur le papier un peu froissé et jauni, totalement dans ma bulle, j'en oubliais tout ce qui m'entourait.

(Désolée, je suis nulle pour les débuts >w<)

Comme quoi un oublie fait tout basculer

Allonger sur ventre, un bras pendant dans le vide, un bras nue, la peau de se bras était pale, très pale, on aurai presque dit de la porcelaine. Si on remonte bien, le long de se jolie bras, on pouvait y voir une épaule, garce a ces deux élément on pouvait tout de suite deviner que ce bras et cet épaule appartenait a une jeune femme. Une jeune femme d'un gabarie plutôt petit et menue. Cette peau couleur porcelaine recouvrai aussi le dos de la jeune femme, dos complètement nue et sans aucune imperfection apparente. Nous n'irons pas plus loin dans la description car sur ses reins et couvrant tout le reste il y a un draps blanc et fin. Vous voulez voir le visage de cette jeune femme ? Impossible il est caché par des mèches de cheveux. Des mèches de cheveux d'un roux flamboyant, les même que celle qui son éparpiller sur le lit au draps blanc pur. Un rayon de soleil se permis de passer entre les rideaux mal tiré de la fenêtre de la chambre de la jeune femme et alla tout droit se poser sur son visage a demis cacher. Ce qui lui fit ouvrir les yeux, de grand yeux qui tangue sans cesse entre le bleu océan et le vert émeraude. De grand yeux magnifique et qui ont fait tourné la tête d'un bon nombre de jeunes hommes complètement sous le charme de la jeune rousse. Elle cligna des yeux se redressa a l'aide de ses bras laissant a découvrir une belle poitrine toute aussi pale que le reste de sa peau mais aux bourgeons rosé des plus tentant. Et pas besoin d'être très attentif pour remarquer sur cette même poitrine le tatouage ? Non c'était un sceau, le ying et le yang en forme de cœur orange qu'elle disait être sa tache de naissance. Elle se tourna pour être assise sur le lit la couverture couvrant toujours le bas de son corps. Elle s'étira et regarda l'heure. Elle poussa un gros soupir en voyant qu'il était 8 heure passer que les cours avait commencer et qu'elle venait tout juste de se réveiller. Mais ce qui la blasa encore plus c'était la place vide a coter d'elle. La place de son frère, son frère jumeau, enfin ça c'était la version officiel, pour elle c'était avant tout son homme parfait, son âme-sœur et son amant. Et quel amant, mon dieu ce qu'elle aimé couché avec lui. Il avait était sa première fois a tout, premier et unique amour, premier baiser, et celui a qui elle avait offert sa virginité. Oui elle ferais n'importe quoi pour cet homme aux cheveux bleu, aux yeux bleu grâce a des lentille de couleur au corps d’apollon et au sourire ravageur. N'allait pas croire qu'elle n'aimer que son physique et couché avec, non elle tuerais pour son frère, elle ferait n'importe quoi pour lui, pour sa voix son odeur, sa façon douce de lui parler ses baiser, bref pour lui. Mais trêve de blabla et de rêvasserie. Elle se leva découvrant son corps complètement nue et dont elle n'avait aucunement honte bien au contraire. Elle alla prendre quelque affaires pour s'habiller, elle n'allait tout de même pas se promener nue, cela était uniquement réserver a son amour de toujours. Elle regarda au sol ses vêtements de la veille, et se mordit la lèvre inférieur en se remémorant comment il lui les avait retirer la veille pour lui faire l'amour avec passion. Elle s'habilla en vitesse avec son éternel tailleur noir et blanc, elle attacha a sa cuisse droite sa ceinture blanche en cuir, a sa main elle mit son gant en cuir blanc. Elle lassa ses bottes a talon la fessant gagner 5 centimètre lui donnant la taille d'un mètre soixante-cinq au lieux d'un mètre soixante. Puis elle couru dans la salle de bains pour coiffé ses précieux cheveux roux d'une longueur extrême. Ils lui arrivent quand même en dessous des fesses, jamais elle ne les a coupés en 16 ans, elle a même peur du coiffeur. Elle les attacha en deux couette comme d'habitude et sortie a la hâte de la salle de bain.

Elle attrapa son sac qui comme d'habitude elle mit sur son épaule et y fourra son trieur plein de cours,sa trousse et sortie oubliant totalement son emploi du temps et même de le regarder. Par contre son téléphone portable jamais elle ne l’oublierais il était déjà dans son soutien gorge bien au chaud. Et comme d'habitude aussi au fond de son sac il y avait ses deux dagues et trois petit couteau a lancer au cas ou. Elle se mit a courir dans les couloir vide du dortoir, elle descendit les différent étage, d'abord celui où elle était donc l'étage mixte, puis celui des garçons et enfin celui des filles. Elle traversa vite la cour et entra dans le bâtiment où était les salle de classe. La elle s'arreta ouvrit son sac pour regarder la salle où elle avait censé avoir cours, cours qu'elle était en trin de rater. Elle lâcha un jurons en voyant qu'elle n'avait pas son emploie du temps. Elle se mit a marcher au pif dans le couloir jusqu'à ce qu'elle vit une jeune femme assise dans un coin. " Mais qu'es ce qu'elle fout ? Elle fait la manche ou quoi? " pensa la rouquine. Elle soupira en la regardant et se dit qu'elle était surement dans sa classe, son visage lui disait quelque chose. Elle s'approcha et la regarda avec son regard de peste.

- Hey toi, t'es dans la classe Red non ?

Mini-chat rencontre mini-rousse... Cachez-vous tous !

J'étais plongée dans la lecture, quand j'avais non pas entendu, puisque j'avais mes écouteurs dans les oreilles, et la musique était plutôt forte, mais j'avais senti que quelqu'un s'approchait de moi, d'une démarche légère. Une fille, selon mon instinct et mon odorat. Je soupirais, fermais le journal de ma mère, le laissais sur mes genoux, et levais le regard vers la demoiselle qui me faisait à présent face. C'était quoi ce regard de sale peste qu'elle affichait, là ? Elle se prenait pour une princesse ? Apparemment, elle avait parlé. Et j'avais loupé ses paroles. J'usais un bref instant de ma télépathie, juste pour récupérer la question de justesse. Ouais, bon, la politesse, on reverrait. Enfin, je n'étais peut-être pas mieux, en fait. Je ne répondis pas tout de suite, l'ignorant alors superbement, en rangeant le carnet noir et or dans mon sac, bien calé entre deux cahiers. Puis je me relevais, baissais la musique de mon MP3, et retirais un écouteur avant de prêter de nouveau attention à l'inconnue -ou presque, sa tête me disait quelque chose- qui me faisait face. Je l'avais bien fait patienter, mais c'était pas encore assez. Un sourire insolent aux lèvres, je pris bien le temps de la détailler du regard. Elle était assez jolie, avec ses cheveux roux qui avaient l'air fin et doux au toucher, ses yeux bleus qui paraissaient vous transpercer. Ses vêtements avaient l'avantage de laisser un peu place à l'imagination, et l'espace d'un instant, j'eus quelques idées mal placées... Que je chassais bien vite de ma tête. J'étais hétéro, bordel ! Je secouais la tête, reprenant mon observation. Un peu plus petite que moi, et encore, elle avait des talons qui lui rajoutaient sûrement quelques centimètres.

Je récupérais mon sac qui était à mes pieds, et le mis de manière négligée sur mon épaule, tandis que mon autre main venait se poser sur ma hanche, comme ça, j'avais ce petit air rebelle effrontée que j'aimais bien. Il me semblait l'avoir déjà vue en cours, oui. Mais impossible de me rappeler de son prénom. Juste son nom, qui ressemblait à un truc comme Sanaï, Senaï ou je sais pas trop quoi. Tant pis, c'est que c'était pas important. Enfin, je me décidais à lui répondre, après l'avoir bien snobée.

- Ouais. J'suis dans la classe Red. Si c'est pour savoir quel cours on a, j'en sais que dale. J'ai pas mon emploi du temps.

Voilà, comme ça, c'était clair et net. Je me dirigeais alors vers elle, la frôlant juste en lui passant à côté pour partir dans le couloir dont elle venait, en profitant pour respirer son odeur, qui fit aussitôt virer mon regard à l'écarlate. Une humaine... Elle sentait si bon. Son parfum était enivrant, me donnait envie de la plaquer contre le mur et d'enfoncer mes crocs dans sa gorge, sentir le liquide chaud et sucré... Je fermais les yeux, esquissais un sourire amusé, en m'arrêtant, lui faisant toujours dos.

- Et puis... Ce ne sont que des cours, au pire... Pas vrai ? Il y a des choses bien plus intéressantes à faire que rester sur une chaise à écouter les déblatérations d'un prof.

Sur ces mots, je me tournais d'un coup, laissant mon sac tomber de mon épaule. J'attrapais le poignet de la demoiselle pour la forcer à me faire face, la plaquais violemment contre le mur derrière elle. Enivrée, subjuguée, je vins lentement lui lécher le cou, avec l'envie d'y mordre sans plus de cérémonies... Me retenant pour le moment. Je voulais faire durer le plaisir.

Prend garde petite peste, ton physique ne te sauveras pas toujours

Elle regarder la brune la comme si c'était une moins que rien, bref comme d'habitude mais après tout c'était vrais, elle n'était rien comparé a la rouquine. Elle avait beau être mignonne, Shizume elle au moins était...Magnifique, elle le savait d'ailleurs, bien que parfois elle se disait que peut-être elle devait être un peut plus modeste, elle était belle même si elle disait le contraire parfois. Enfin elle se devais d'être parfaite pour Ikuto.

Cette fille osé l'ignoré, non mais pour qui elle se prenait elle ? En plus de faire la manche c'était une snobinarde non mais sans rire où va le monde de nos jours. Elle fulminé de l’intérieur car la rousse détesté au plus au point être snobé comme ça. Enfin elle en profita pour la détailler un peut. Brune ses cheveux avait l'air agréable a toucher et il était bien entretenue, ses yeux était intrigant de par leurs couleurs. Quand elle se leva Shizume pu voir qu'elle était plus petite qu'elle, même avec ces talons, ce qui complexer pas mal la rouquine, oui sa taille était le seul défaut a sa beauté qui relever du parfait. Elle soupira quand la jeune femme lui dit ne pas avoir l'emploi du temps

- En gros t'es inutile, lâcha la rousse.

La brune passa a coté d'elle, la frôla et Shizume eu la désagréable impression qu'elle respira l'espace d'une seconde son parfum. Parfum qu'elle ne mentait pas, elle n'en avait pas besoin, son odeur naturel était très bien. Elle leva les yeux au ciel a sa réplique, elle n'eu pas le temps de répondre qu'elle se retrouva sans rien dire plaquer contre le mur. Dans l'action elle avait lâché son sac, elle se retrouver donc désarmé, ou presque vous ne connaissait pas la rouquine sa se vois, elle a toujours un couteau dans sa botte. Elle sera les dents en rougissant quand elle senti la langue dans son cou. Elle se débattit un peu

- Mais qu'es ce que tu fou ! Laisse moi tranquille

Elle lui mit un coup de pied dans le tibia quand elle compris que c'était le seule moyen pour qu'elle la lâche.

♣ Qui se ressemble s’assemble,
en amitié aussi ? ♣

« A vouloir trop jouer, on perds tout ce qu’on a misé. »

Ce parfum... C'était si... enivrant. C'était un crime de sentir si bon. Lycée Yôkai, une entente entre humains et monstres ? Il y croyait vraiment, le dirlo ? Quelle drôle d'idée... C'était tout simplement contre-nature, ces histoires de cohabitation. Ou alors, qu'ils prennent des humains qui ne donnent pas envie de les dévorer tout entiers... Parce que franchement, là, c'était une torture pure et dure. Ma gorge me brûlait. Pour vous donner une petite idée, prenez un fer chauffé à blanc, et mettez-le dans votre gorge... Ca fait un peu ça, je pense. Une pure torture, que je vous disais. J'avais envie... non, j'avais besoin de son sang.

Mais la petite ne semblait pas de cet avis, puisqu'elle se débattait. Franchement, ces humains, toujours la même... Des asticots, juste bons à gigoter dans tous les sens ! Ils pouvaient pas être sage, l'espace d'un instant ? Je vins plonger mon regard devenu écarlate dans le sien, décidé à lui lancer une réplique cinglante, quand elle me mit un sale coup dans le tibia, qui me fit lâcher un cri de surprise, de douleur aussi, me faisant un peu reculer. Mais je tenais toujours l'un de ses poignets, et je n'étais pas près à le lâcher.

- Ce que je fous ? feulais-je, avec un sourire mauvais. T'es c*nne ou t'es c*nne ? A ton avis, j'fous quoi ?

Je serrais un peu son poignet, si elle se débattait de trop elle aurait toutes les chances du monde de se le fouler. Je vins lui donner un coup de genou dans le ventre, lâchant son poignet du même coup, sans y faire trop attention. C'était une humaine, que pouvait-elle bien me faire après tout ? Elle ne m'effrayait en rien. Trop sûre de moi ? Peut-être... Mais tant pis, au pire.

- T'as p't'être oublié où t'es, mistinguette... Ici, c'est pas l'pays des Bisounours, tu sais ?

Je fis un grand sourire, qui dévoilait mes crocs. Il aurait suffit que j'ai les cheveux noirs et les vêtements assortis, et j'aurais eu un air de ressemblance avec ces clichés des vampires que les humains s'amusent à imaginer dans leurs contes et légendes urbaines. Je croisais les bras, la regardant d'un air hautain.

Méfie toi petit chat

Himeka et Shizume dans le couloir ~

La rouquine se débattait, non mais sans rire vous avez vraiment crue qu'elle aller se laisser faire par cette fille ? Vous rêvez vous ! Shizume n'a jamais était le genre de fille qui se plie au règles des autres, c'est plutôt le genre de fille qui dicte les règles. Elle sera un peut les dents aux paroles de la brune, non mais pour qui elle se prend celle la ? Elle sais vraiment pas a qui elle à faire. Elle retint de couiné quand elle senti une forte douleur a son poignet, la vache elle a de la force celle la. Elle glapit quand la brune lui mit un coup de genoux dans le ventre et tomba a quatre pattes au sol. Oui elle a toujours était sensible a la douleur malgré que dans son entrainement on lui est appris la résistance a la douleur, ce n'est qu'une fille après tout, et humaine qui plus est.

Elle releva la tête vers la jeune femme et la regarda avec son air de peste, oui elle ne l'avait toujours pas perdu, et avant qu'elle le perde il en faudrait beaucoup. Après tout on est une peste ou on l'est pas. Et dans le monde des peste, Shizume n'est pas n'importe qui. Demandez donc a toute ses filles qu'elle a berné avec son air d'ange et ses faux airs de gentille fille prête a les aidé. Prête a les ridiculisé ouai !

- Je sais parfaitement où je suis, quand au faite que je soit "c*nne " je me demande qui est l'est le plus entre nous deux.

Elle se releva en profitant pour discrètement prendre son couteau dans sa botte et la garder dans la paume de sa main. Un manche blanc dans un gans blanc ça passe inaperçue. Et comme elle n'avait pas encore sortie la lame rétractable c'était plutôt simple a cacher. Elle laissa donc ce bras la tomber le long de son corps et l'autre elle s'en servie pour passer une main dans ses cheveux toujours en fixant la brune. Sur ses lèvres un petit sourire suffisant s'était dessiné. La provoquer elle ? Non jamais !

Fiche codée par UmiBwack sur Epicode.Ne pas retirez.

♣ Qui se ressemble s’assemble,
en amitié aussi ? ♣

« Tu te crois maline, t’es tombée sur une épine. »

Je devais au moins reconnaître qu'elle avait beau être humaine, elle avait du cran. Certains se seraient mis à pleurer et trembler comme une feuille, elle non. Elle se débattait, et cela ne me rendait vraiment pas la tâche facile. Et, quand je l'avais finalement mise au sol, elle s'était relevée. Sauf qu'au lieu de fuir comme on aurait pu le croire, elle était restée plantée face à moi, et s'était mise à me provoquer, ouvertement. Je frissonnais alors, car sa provocation me rappelait celles d'une autre, autant dans ses paroles que dans son sourire et son regard.

« Tu me dégoûtes, Himeka... Tu fais ta forte, tu me critiques... Mais toi tu fuis, la queue entre les jambes. Tu crois que tu arriveras à quoi comme ça ? Tu finiras seule et détestée de toute manière. Pourquoi t'obstiner ? C'est inutile. Tu te feras manipuler, de la même manière que ce... Nerumi, qui t'a humiliée. »
« La ferme ! C'est de ta faute, tout est de ta faute, Tu l'as manipulé, Tu lui as dit de me détruire... Tu es la seule coupable ! »
« Toi, tu es coupable d'être faible et naïve, grande soeur... »

Je reculais légèrement, me souvenant de ce soir où elle avait bien faillit me tuer. Ah, non ! Mais pourquoi je flanchais maintenant, moi ? Je me sentais stupide, et mon hésitation, ma faille, venait certainement de me faire perdre toute crédibilité face à la rouquine en face de moi. Je secouais doucement la tête, cherchant à chasser mes sombres pensées, me rapprochant de la jeune femme, avant de la contourner pour venir frapper dans le mur, violemment.

- PUT*IN ! Je me tournais vers la jeune femme, le regard haineux, mais pas contre la rousse ; haineux contre moi, haineux contre « elle ». Pourquoi t'es comme elle, toi, hein ?!

J'attrapais une mèche des cheveux de la rousse pour la tirer de force vers moi et la plaquer contre le mur en la tenant au niveau des épaules, cherchant à venir plonger mes crocs dans son cou. Au fond, je ne savais même plus pourquoi j'agissais ainsi. Peut-être parce qu'à la place de cette humaine, je voyais une autre jeune femme, aux cheveux d'ébène et aux yeux rouges, celle que je désirais tuer ? Je ne sais pas. Je ne sais plus...

Petit chat est tombé sur une peste

Himeka et Shizume dans le couloir ~

Quand Shizume senti que la brune lui tiré les cheveux pour la ramener vers elle et la plaquer contre le mur elle grogna. Si il y avait une chose qu'elle détester, bien sur après le fait qu'on touche ou tourne autour de son frère, c'est qu'on touche a ses cheveux. C'était en soit sa fièreté, ce n'est pas pour rien qu'elle les avait si long. La seule fois où sa mère adoptive avait essayer de l'amener chez le coiffeur pour les couper elle avait fait un très gros caprice, une de ses "crise" en très grave. Les convulsion avait était très forte et impressionnante et lui avait même fait perdre connaissance. De ce fait personne n'avais jamais coupé un seul de ses long, très long cheveux roux flamboyant.

Elle couina quand elle senti que la brune essayait de la mordre dans le coup. Elle fit sortir la lame de son couteau et alla la planté directement dans l'épaule de son agresseuse. Pas trop profond quand même, son maître d'arme lui avait souvent dit " Blesse ton adversaire mais ne le tue jamais !" et là elle voulait juste que la brune la lâche. Quand ce fut fait elle la regarda toujours avec son air suffisant, le couteau a la lame ruisselant de sang a la mains elle souri d'un air satisfait

- Je ne sais absolument pas de qui tu parle et en faite j'm'en fiche pas mal. Qui que se soit jamais elle ne pourra me ressembler, je suis unique. Personne ne peut m'arriver a la cheville !

Elle ria légèrement et pointa son couteau ver la jeune femme. Elle était déterminé et jamais elle ne se laisserais faire. Elle savait très bien se battre et se défendre que se soit physiquement ou mentalement, bien qu'elle était mieux sur le plan mental.

- Maintenant si tu veux te battre viens, mais je pense que c'est toi y laissera le plus de sang !

Elle l'attendait de pied ferme maintenant. C'était elle ou cette brune et a choisir elle préféré elle a la brune.

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♣ Qui se ressemble s'assemble,
en amitié aussi ? ♣

« N'hésite pas à griffer, c'est mère de sûreté. »

Ne vends pas la peau de l'ours avant de l'avoir tué. Ce vieux dicton était plus vrai que jamais à cet instant, j'avais cru avoir obtenu victoire, j'avais cru que j'allais pouvoir enfin me nourrir sans m'inquiéter d'autre chose. Problème, il faut croire que j'avais sous-estimé la rouquine. Quand je sentis la vive douleur dans mon épaule, j'eu un instant de surprise, qui me valut une seconde de silence avant de lâcher un faible gémissement. Je me reculais vivement, avec la désagréable sensation du métal froid qui sortait de ma chair. Posant ma main sur ma blessure, je posais mon regard plus que furieux sur la petiote, l'odeur du sang ne faisant que me rendre un peu plus assoiffée. Pourtant, je ne pu m'empêcher de ricaner à ses paroles, il faut croire que je devais avoir un côté maso pour ne pas laisser tomber et m'en aller. Non, j'en redemandais encore.

- Non, en effet, elle ne te ressemble pas. Elle est bien plus... Méprisante et méprisable que toi.

Je me rapprochais vivement d'elle, posant ma main pleine de sang sur la sienne qui tenait son couteau, venant lécher le liquide écarlate qui s'y trouvait. J'étais plus qu'habituée au goût de mon propre sang, puisque souvent je m'étais moi-même mordue, pour calmer la brûlure de ma gorge lorsque je n'avais rien à me mettre sous la dent. Mais aujourd'hui, il était hors de question que j'ai de nouveau à faire ça !

- J'y laisserais peut-être mon sang, mais j'ai la chance de me régénérer, contrairement aux humains... Naine rouge. ~

Non, ce n'était franchement pas malin de jouer sur des mots pareils, surtout qu'il était possible qu'elle est un complexe sur sa taille et qu'elle cherche du coup à me faire ravaler mes mots, mais je m'en fichais un peu, justement c'était ce que je cherchais, qu'elle s'épuise toute seule à vouloir me faire taire, et que je puisse ensuite en profiter. Un grand sourire aux lèvres, je sortais les griffes et vins entailler légèrement sa joue de ma main libre en me préparant au prochain coup que je comptais non pas esquiver, mais encaisser. Je tenais à peine sa main armée, et elle n'aurait aucunement à forcer pour se libérer. Inconsciente ? Moui, je l'étais sûrement un peu... Beaucoup. On ne sait jamais ce que peut faire un animal quand il se sent menacé. Je jouais avec le feu, et ça m'amusait. Sous la soif, je n'étais plus tout à fait moi-même, et je savais que j'allais certainement regretter mes actes, mais pour le moment je n'avais qu'une envie : boire son sang.

Petit chat est tombé sur une peste

Himeka et Shizume dans le couloir ~

Sur ses lèvres s'afficha un sourire satisfait, elle avait montrée a la jeune femme qu'elle ne compté pas se faire "croquer" sans rien dire, elle opposerais toute forme de résistance possible et imaginable. Oui c'est sur et certain la jeune femme n'aurais pas une seule goûte de son sang. Elle haussa les épaules au paroles sur cette fille qui lui ressemblait parait-il

- Honnêtement ? J'en est rien a faire. Je suis tout ce qu'il y a de plus unique et personne ne peut me ressemblait.

Elle poussa un grognement quand la bleu posa sa mains pleine de sang sur la sienne. Génial son gant blanc était bon pour le nettoyage, si elle savait le temps que sa prend de nettoyer du cuir. Elle eu une grimace de dégoût quand elle lécha le sang qui couler de la lame essayant de faire un geste pour qu'elle s'entaille la langue sa lui apprendrais a lécher un couteau aussi aiguisé.

Elle grinca des dents quand elle l'appela " Naine rouge", son plus gros complexe était justement sa taille. Donc l’appeler ainsi était une très mauvaise idée. Elle n'eu pas un très gros effort a faire pour se libéré et assigné un bon coup de pied dans le tibias de la jeune femme. Elle se redressa légèrement le regard plein de méprise, elle tacher de rester zen pour ne pas entré dans ce que la jeune femme voulait.

- On ta jamais dit que plus c'était petit, plus sa peut être dangereux ? Tu pense surement l'inverse, mais si tu regarde bien, le cancer c'est une minuscule cellule, une tarentule, c'est pas vraiment très gros, les sangsue non plus, j'ai plein d'exemple comme ca. Donc fait gaffe a la "Naine rouge "

Elle n'avais toujours pas perdu son sourire de sale petite peste. D'ailleurs cumulé a cet air méprisant, elle avait moins l'air d'un ange.

Fiche codée par UmiBwack sur Epicode.Ne pas retirez.

♣ Qui se ressemble s'assemble,
en amitié aussi ? ♣

« Les microbes peuvent tuer, il paraît. »

J'avais beau la tenir, et continuer de provoquer, j'étais toujours un peu ailleurs, pas tout à fait là. Dans un ailleurs qui remontait à quelques mois ou quelques années. Des souvenirs, qui tournaient toujours autour de la même personne. C'était justement pour la fuir et avoir enfin la paix que j'avais accepté de venir ici. Et aussi, surtout d'ailleurs, pour tenter d'apprendre des choses sur mon père biologique, June Hijiyama. Seiumi-sensei n'avait rien pu m'en dire, malheureusement. Mais je n'en étais qu'au début de mon aventure ici, j'avais encore tout le temps d'en apprendre plus. Les archives du lycée m'apprendraient certainement beaucoup de choses.

Je fus soudainement tirée de mes rêvasseries par une douleur au tibia, qui me ramena à la réalité en une seconde. Même si j'étais un peu moins sensible à la douleur qu'une humaine, ça n'en était pas moins désagréable. Je lâchais un tout petit cri, reculant d'un coup. Je manquais perdre l'équilibre, mais fort heureusement je me rattrapais de justesse. Manquerait plus que je me ridiculise à me ramasser devant elle, tiens. Je secouais la tête, achevant de recouvrir mes esprits. Ses paroles ne m'intéressaient pas, je pu juste constater qu'elle n'avait pas tort. Et puis, ne dit-on pas que les naines rouges ont autrefois étaient des géantes ? Les scientifiques n'affirment-ils pas que le Soleil, cette source de chaleur et de lumière pour tout le système solaire, allait un jour être réduit à l'état de naine rouge ? Donc, de ce côté-là, elle marquait un point, il fallait l'admettre.

- J't'accorde au moins ça. Enfin... Peut être faudrait-il que nous allions en cours, quand-même. Si ça t'intéresse, on aura tout l'temps de s'battre un autre jour.

Ma blessure à l'épaule s'était pratiquement régénérée, et même s'il y avait du sang sur mon haut, pas de soucis, j'avais ma veste par terre avec mon sac. Je l'enfilais donc, pour cacher les dégâts, par pure flemme d'aller me changer dans ma chambre. De là, pour savoir dans quelle salle nous étions, j'envoyais rapidement un texto à une de mes « amies » de ma classe -en fait, ce trio me collait aux basques, juste pour se faire bien voir, parce que j'avais une petite réputation de fille à caractère. Pff, ces histoires de réputation, c'est du grand n'importe quoi...- histoire qu'elle m'informe. Slt, on a quoi ? Et dans quelle salle ? J'ai zappé mon EDT et une autre meuf aussi. La réponse arriva un instant après. Salle 16, Géo avec l'autre c*n là. Chaud, il est vénère, il va vous tuer. Je soupirais, levant les yeux vers la rousse.

- Géographie en salle 16... Paraît qu'le prof' est d'mauvaise humeur. Ca te dit que, rien qu'cinq minutes, on s'allie pour clouer l'bec à c'vieux c*n qu'à rien à foutre ici ?

J'osais un petit sourire, je voulais voir ce qu'elle avait dans le ventre, avec quelqu'un autre que moi. Ca risquait d'être très... amusant à voir. Et, qui sait, peut-être qu'au moins là dessus on s'entendrait bien ?

Le prof ne va pas en revenir

Himeka et Shizume remballe un prof ~

Elle esquissa un sourire victorieux. Oui elle aimé qu'on lui donne raison ca la faisait ce sentir puissante. Elle fut un peut surprise aux paroles de la jeune femme concernant les cours.Tout a l'heure elle ne voulait pas y aller et maintenant elle voulait y aller ? Ou c'était par ce qu'elle se défilé ? Oui c'était surement cela. Elle esquissa un sourire mauvais

- Moi j'veux y aller depuis le début en cours c'est toi qui ne voulait pas y aller, alors pourquoi avoir changer d'avis ? Tu a peur ? Sérieux je sais déjà que je gagnerais contre toi donc même pas la peine d'essayer.

Elle la laissa trouver où elles avait cours, surement grace a une de ses "amies". Elle la regarda toujours avec son air de peste et commença a marcher en direction de la salle de cours

- Si tu veux écoute, j'ai pas vraiment besoin de quelqu'un pour clouer le bec a un prof mais bon.

Une fois devant la porte elle regarda sa nouvelle "allié" et toqua. Le prof hurla un ' ENTRER" et la rousse s'éxécuta tranquillement même pas un bonjour désoler ni rien elle commenca a se dirigé vers un bureau de libre.

- Où étiez vous mesdemoiselles ?
- Désoler on a eu un petit contre temps, Himeka ne se sentait pas très bien.
- Vous avez plus d'un quart d'heure de retard !
- Je sais comme tout le monde j'ai appris a lire l'heure en primaire
-Dehors.

La rousse s’arrêta et regarda le prof.

- Allez y si vous voulez mais personnellement j'vais m'asseoir et suivre le cours.

Elle s'instalat tranquillement et commença a sortir ses affaires.

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♣ Qui se ressemble s'assemble,
en amitié aussi ? ♣

« Ni en revenir, ni en rester, d'ailleurs. »

Je roulais des yeux à ses paroles, sans rien répliquer, me fichant pas mal qu'elle me traite en clair de trouillarde. Au fond, elle pouvait penser ou dire ce qu'elle voulait, moi je sais ce que je vaux, et la personne qui m'en fera douter n'est pas encore née. Même elle, qui parvenait à me faire douter sur l'instant, n'y arrivait pas sur le long terme. Alors, cette naine rouge, elle n'était pas prête d'y arriver.

Je remis mon sac sur mon épaule, marchant à ses côtés vers la salle, silencieuse. De toute façon, qu'aurais-je pu dire ? Parler du beau temps et de la pluie, peut-être ? N'importe quoi. Tiltant soudain quelque chose, je me regardais dans l'écran noir de mon portable, rassurée en voyant que mes yeux avaient repris leur couleur bleue. Je passais une main dans mes cheveux bruns, les remettant un peu en place, avant de ranger mon portable quand nous arrivions devant la salle. Ma nouvelle « amie » frappa à la porte, et je compris vite à la voix du prof' qui retenti qu'il était vraiment colère colère. Eh bah, il allait être amusant à rembarrer.

Je laissais Shizume passer devant, entrant à sa suite sans rien dire non plus. Je ne pu m'empêcher de sourire à la façon dont elle répondait à ce vieux type, qui n'avait que ce qu'il mérite. Lorsqu'elle eu fini son cassage en beauté, et qu'elle allait s'asseoir à une place libre, je fis mine de la suivre, quand le professeur toussota pour attirer mon attention. Je m'arrêtais, le regardais.

- Mademoiselle Hijiyama, qu'avez vous à dire pour votre défense ?
- Je doute que ça vous intéresse.
- J'espère que vous êtes consciente qu'il me sera très facile de faire un rapport détaillé à votre mère.
- Ce qui ne fera que montrer votre incompétence à gérer vos propres élèves.

En vérité, je détestais être fille de professeur. Certains diront que j'ai de la chance, mais loin de là. J'avais souvent l'impression qu'elle en attendait trop de moi. Et puis, comme là, les autres profs se faisaient un malin plaisir à me le rappeler limite à chaque cours. Ce qui me déplaisait fortement. On me connaissait comme « la fille de la sensei Kurotsuki » et pas comme « Himeka Hijiyama ». Alors, certes, j'adorais ma mère, mais parfois, c'était lourd.

- Suffit, l'insolence ! Donnez moi immédiatement le numéro de votre mère, je la contacte tout de suite !
- Désolée, je pense pas que vous soyez son genre. Dans le style vieux type rabougris, on fait pas pire. Puis, elle est déjà mariée, vous savez.

Il vira au rouge écrevisse, sous mon regard insolent, et le grand sourire que j'affichais. Il était en rogne, mais c'est lui qui en prenait cher pour son grade. Pas moi. J'en étais fière. Et puis, Shizume voyait au moins que je n'avais pas non plus la langue dans ma poche.

- Vous, vous n'échapperez pas au rapport et à la retenue, prévenez votre mère qu'elle vienne me voir ce soir.
- Vous croyez quand même pas qu'en plus, je vais vous arranger le coup ? Prenez pas vos rêves pour des réalités.
- DEHORS ! Je ne veux plus vous voir !
- Ça tombe bien, moi non plus. Mais j'ai la flemme de partir, libre à vous.

Sur ce, j'allais m'installer à l'une des dernières tables libres, juste à côté de Shizume, lui adressant un sourire. Ce qui acheva d'énerver le professeur.

- J'espère que vous êtes fières de vous, toutes les deux ! Vous ne perdez rien pour attendre !

Sur ce, il tourna les talons et sortit de la salle, sous le regard éberlué des autres élèves. Soudain, tous les regards se posèrent sur nous, et un tonnerre d'applaudissement retentit, des sifflements et des rires. Nos prénoms, à Shizume et moi, fusaient de toutes les bouches, et ça me plaisait. Il allait s'en dire que l'on venait certainement de se faire une sacrée réputation dans la classe. Et, très vite, ça se propagerait sûrement dans le lycée. Ce prof en avait pris cher, et ce n'était sûrement que le début.

Le prof ne va pas en revenir

Himeka et Shizume remballe un prof ~

Elle ne put s’empêcher de pouffait de rire de temps en temps aux réplique de la jeune femme. C'était drôle de voir le vieux professeur pousser a bout et serait les dents. Il avait vraiment une tête de constipé comme ça c'était a mourir de rire. Elle ne put s'empêcher de faire un commentaire au professeur

- C'est pas bien sensei de vouloir vous faire une femme marié ! Et vous n'avez pas honte de demande a sa fille de vous arrangez un coup ?!

Elle souri quand sa nouvelle amie se mit a coté d'elle et pour nagué le prof qui partait elle lui fit un signe de la main comme pour lui dire au revoir. Elle était assez contente, elle avait vue que la jeune femme valait peut être quelque chose finalement. C'était peut être pas une de ses focus qui venait faire "amie-amie" avec elle juste pour Ikuto. Elle avait surement trouver quelqu'un pour sympathisé un minimum. Elle lui souri et chuchota discrètement:

- Bien jouer !

Elle était fière de son coup mais le fait que la classe devienne un gros foutoir ne lui plaisait pas vraiment. Surtout qu'ils criait tous leurs noms et elle commencer a avoir un peut mal a la tête. Elle déglutit en sentant une douleur commencer a monté dans sa poitrine. Comme quand elle faisait ses crises de colère. Elle ferma les yeux et sera un peut les poings avant de se retourné et fusiller tout le monde du regard, le genre de regard qui fait un peut peur a voir.

- C'est bon, on sais elle s'appelle Himeka, moi je m’appelle Shizume c'est génial. Vos nom a vous on s'en contre fiche alors la ferme maintenant !

Elle se tourna a nouveau face a son bureau et replongea son regard dans son cahier ouvert

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♣ Qui se ressemble s'assemble,
en amitié aussi ? ♣

« Le début d'une amitié ? »

J'avais faillit mourir de rire quand Shizume avait rajouté son petit grain de sel, mais je m'étais retenue tant bien que mal, gardant mon sérieux aussi longtemps que je le pouvais. Et ce ne fut qu'une fois installée sur ma chaise que j'étais partie dans un fou rire total, juste après que la rouquine ai fait un petit signe d'au revoir au professeur, juste pour le narguer un peu plus. On avait fait fort, il faut dire. -Caaaaalme, Hime caaaalme-toi, respire, respire, de l'aiiiiiiiiir pitiééééé !- En plus, j'étais surprise mais fière qu'elle m'ai gratifiée d'un « bien joué » accompagné d'un sourire. Je me doutais que ce devait être rare, et j'avais du marquer un bon point auprès d'elle. Je ne sais pas trop pourquoi j'en étais heureuse. Peut-être parce qu'au final, j'aimais bien les gens comme moi, les sales pestes qui se prennent pas pour n'importe qui. Oui, je suis parfaitement consciente de mon caractère, le genre difficile à vivre, égoïste et orgueilleuse, jalouse à n'en plus finir, colérique et impulsive. Mais, autant appeler un chat un chat, j'étais tout de même souriante et déconneuse, fêtarde, et j'adorais faire les quatre cent coups et des blagues idiotes dont je suis la seule à rire. Ben quoi ? Vive l'auto dérision !

Je me calmais enfin, après quelques longs instants, et je devais avouer que les cris enthousiastes des autres devenaient très vite plus qu'agaçant. D'accord, on a fait fuir le prof, mais c'est pas une raison pour nous casser les oreilles pendant trois plombs, je commençais à en avoir la migraine. Je m'apprêtais à leur gueuler dessus, mais Shizume me devança, et ce fut d'un coup le silence le plus total. Puis, chacun se mit à discuter dans son coin, en chuchotant et je du me faire violence pour ne pas repartir en fou rire. Non, Himeka, tu te tais, là, ce sera le summum de la non-discrétion si tu craques ! Tu prends une profonde respiration, puis tu regardes Shizume.

- T'es pas mal non plus, dans le genre je rembarre les gens. Chapeau ~

Je me levais alors, et quelques uns levèrent les yeux vers moi, discrètement, presque comme s'ils avaient peur que Shizume ou moi les mordions. Bon, pour ma part, y'avait le risque, mais quand même ! ... Bref.

Je me dirigeais jusqu'au bureau du prof', regardant les papiers qu'il avait laissé sur sa table, dont la liste d'appel de la classe Red. Je survolais alors les noms du regard, me stoppant un instant sur celui d'une fille qui portait le même nom de famille que le sensei que j'avais rencontré en forêt. Enfin, ce n'était pas ça qui m'intéressait... Ah, voilà. Shizume. Sedai. Le nom de famille que je n'arrivais pas à retrouver, tout à l'heure. Maintenant, je l'avais sous le nez, et il y avait un doublon. Ikuto Sedai ? Elle avait un frangin ? Je fus un peu jalouse sur le coup, songeant à Ichinose avant de me reprendre. Je pris les feuilles de cours qu'il avait abandonné, et m'assis sur son bureau pour les lire en diagonale avant de les reposer, levant les yeux vers le reste de la classe.

- Alors... Et si on faisait cours, à notre manière ? ~ Je suppose que ce pauvre sensei ne reviendra pas aujourd'hui... Hm, de quoi va-t-on parler alors ?

Je tapotais des ongles sur le bureau, la tête légèrement inclinée, observant les élèves, un sourire amusé aux lèvres. Je me demandais ce que ça faisait, d'être prof, tiens. Ça devait être kiffant, quand on avait du répondant qui en valait le coup, pas comme celui qu'on avait fait fuir, quoi.

MODE FAB FIIIIIIVE 8D

Le prof ne va pas en revenir

Himeka et Shizume remballe un prof ~

Elle fit un petit sourire a sa nouvelle amie quand elle lui "tira" son chapeau. En même temps elle l'avais prise pour qui quand ? Elle avait toujours eu du répondant. Et ce n'est que maintenant qu'elle avait compris pourquoi son père lui disait " Tu a autant de répondant que ta mère" en faite il ne parlait pas de la vieille sorciere qui l'avais adopté mais de la femme qui l'avais mise au monde. Qui pouvais bien être cette femme ? Quelqu'un d'admirable ? Quelqu'un de mal honnete ? Une drogué ? Mais qui était elle ? C'était surement une des seule question auquel Shizume n'avait pas réponse... Et pourtant elle avait normalement réponse a tout.

- Merci je sais.

Elle avait dit cela avec un sourire et un ton doux, rien d'arrogant ou de narquois cette fois. Alors là cette fille pouvait se sentir honoré car normalement cette Shizume là n'était réserver qu'a Ikuto.

Elle la regarda aller jouer au prof en souriant amusé. Elle regarda la classe, et bizarrement personne n'avais envie de croisé son regard bleu/vert profond. En même temps très peut aime son regard profond qui semble vous sonder de l’intérieur, mais qui est aussi très arrogant et narquois. Elle sembler défié tout le monde tout le temps. Elle jouer sans cesse avec le feu mais avait une telle confiance en elle qu'elle n'avais absolument pas peur des brûlure. Elle se leva a son tour et alla s'asseoir a coté de sa nouvelle amie et lui pris la feuille pour la lire vaguement.

-Bla, bla, bla... Non mais serieux il sais pas écrire où quoi ce prof ? Vous savais qu'il sais pas écrire Toyohashi ?! C'est un gros bouffon ce prof sérieux... Et vous vous en pensez quoi ?

Elle souri a la classe qui avait les yeux fixer sur les deux magnifique jeune fille qui était assise sur le bureau. Shizume croisa ses belle jambe fine dont on voyer une partie des cuisse car elle n'était pas couverte par sa mini jupe ou ses longue botte.

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« Se moquer, c'est mal. Mais je vais t'aider. »

Dans sa voix, il n'y avait plus rien d'arrogant. Et, instinctivement, je sentais que j'avais de quoi en être heureuse. Mais bon, il en allait de même pour elle : c'était la seule personne avec qui je me sentais aussi bien, depuis... longtemps. Au fond, je ne me faisais pas d'illusions. Sûrement était-elle comme les autres, un jour je t'adore et le lendemain, je t'ignore. Ceci ne m'empêchait pas pour autant d'en profiter un minimum aujourd'hui.

Du coup, lorsqu'elle me rejoignit, prenant la feuille que je tenais pour "gentiment" descendre un peu plus le prof -les absents ont toujours tort- j'étais ravie. Je ne pu donc m'empêcher de rire à sa remarque, lâchant un "J'avoue, quel nul !" d'un air sarcastique. Puis, d'un coup, je relevais la tête en entendant un soupir. Là, deuxième rang tout à droite, une garce blonde. Je ne pouvais pas me la voir, et c'était réciproque : elle draguait tous les mecs qu'elle voyait, en couple ou non, et prenait les filles de haut. Même les filles de sa propre clique, mais qui étaient actuellement assises totalement à son opposée.

- Qu'est-t'as, Collette ?
- Korete, de un. De deux, tu te crois amusante avec ta copine ?
- Toujours plus que toi, la coincée. C'est quoi ton blème ? T'as encore pris un râteau ? Ca m'étonne même pas, sérieux.
- Mêle-toi de tes affaires !

J'esquissais l'ombre d'un grand sourire innocent, m'appuyant tranquillement au bureau. Elle voulait jouer ? Je ne rêvais pas ? Eh bien, qu'il en soit ainsi, on allait jouer. En espérant que Shizume me suivrait, et n'aurait aucun remords à descendre cette garce.

- Alors, aujourd'hui nous allons faire un cours d'éducation sexuelle, en nous basant sur du vécu. Ma chère Korete, explique-nous un peu. Il y a trois semaines, c'était Kuroi, la semaine dernière Ayame et juste après Hiro. Cette semaine, c'est qui ?
- T'es jalouse parce que j'ai une vie sexuelle que tu n'as pas ?
- Oh, bah, si t'as tant besoin de tailler des pipes pour être épanouie...
- ... J'vais t'tuer !
- D'ailleurs, Ayame m'a dit des choses très intéressantes... N'est-ce pas ?

Tous les regards se tournèrent vers lui, dont celui, furieux, de Korete. Il semblait ne rien vouloir dire. Alors, je jetais un oeil à Shizume. Elle, elle saurait sûrement le convaincre de parler.

PS : à toi de jouer Ayame pour ridiculiser la peste blonde !

Le prof ne va pas en revenir

Himeka et Shizume remballe un prof ~

Elle regarda son amie en souriant quand elle l'entendit rire. C'est étrange comme elle se sentait bien avec la bleuté. Et c'était agréable de se dire que finalement elle allait peut être avoir une vraie amie , la bleu pouvait d'ailleur se sentir honorée. Elle serait la première et quand Shizume aimait quelque chose elle ne faisait pas semblant, elle savait que si elle avait une amie elle ferais n'importe quoi pour elle. Elle serais même prête a la couvrir pour toute ses bêtises quitte a prendre pour elle n'importe qu'elle punition. C'était une des plus grande qualité de la rousse, et disons que là aussi le peut de qualité qu'elle avait n'était pas des moindres.

Elle pouffa légèrement de rire en entendant la blonde parler, et surtout en entendant son nom. Certain regards se tournèrent vers elle pour savoir ce qu'elle avait. En plus son amie ne semblait pas aimé cette nana donc elle allait la pourrir bien comme il faut. Vous connaissait la phrase, les ennemies de mes amis son mes ennemies, les amis de mes ennemies son mes ennemies et les ennemies de mes ennemies son mes amis ? Bah c'est le cas pour Shizume.

-Sérieusement tu t'appelle vraiment Korete ? T'es un accidents t'es parents te voulait pas où bien ils t'aiment pas par ce que appeler son enfant Korete quand même !

Et la dans la classe se fut une effusion de rire, non seulement par les paroles de la bleu mais aussi par celles de la rousse. Elle regarda son amie avec un grand sourire alors que Korete la fusilla du regard. Elle n'avait plutôt pas intérêt a commencer a parler des parents de la rousse sinon ça allait barder pour elle.

Elle rit quand sa nouvelle amie annonça quel serais le sujet de leurs cours. Puis elle regarda le jeune homme qui n'osait pas vraiment parler. Elle ne descendit pas du bureau où elle était assise mais regarda le jeune homme dans les yeux, c'est bizarre mais quand elle regardait un certain moment les hommes dans les yeux, ils se mettaient a parler a dire la vérité. Elle n'avait jamais compris ce phénomène mais il faut avouer que parfois c'était utile, comme là par exemple. Le jeune homme avoua que Korete poussé des gémissement très aiguë digne de ceux d'un cochon d'inde. La rousse explosa de rire et se mit a faire le bruit d'un cochon d'inde

-Korete la cochonette d'inde ! Ta amené t'es amis les rongeurs?

Elle regarda la blonde avec son sourire narquoi et hautain sur les lévre, son sourire de sale petite peste qui la rendait des plus sexy pourtant. Ce sourire lui allait tellement bien en plus, il reflété bien sa véritable personnalité.

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en amitié aussi ? ♣

« Cat goes meow. What does the Indian pig says ? »

Bim, dans ses dents. Je la plaindrais presque, la pauvre Cole... Korete, pardon. Je me levais du bureau, pour attraper l'un des feutres et écrivis sur le tableau un résumé de ce que disait ma nouvelle amie. Soit " Korete/Colette -> Cochon d'inde. Kouiik kouiik. ". Oui, plus idiot, tu meurs, mais au moins, ça faisait rire les élèves de la classe. Mais sûrement pas notre victime, qui devait d'autant plus rager qu'Ayame lui aussi riait... et de bon cœur. La blonde semblait vouloir dire quelque chose, mais, certainement ne trouvait-elle rien d'assez fort à nous envoyer dans la figure. Impossible de nous battre, Shizume et moi formions un duo de choc, nous nous étions extrêmement bien trouvées, au plus grand malheur de cette chère cochonne d'inde.

- Pauvre gamine. Je pensais que t'avais plus de répondant que ça.
- Tss... Vous... vos gueules !
- Ouaw. Le niveau. T'as vu ça, Shizume ? Elle vient de nous mettre cher... Je vais pleurer.

Je fis mine d'essuyer mes yeux, comme si j'avais pleuré, et fini par éclater de rire, alors que de l'aura de Korete émanait toute sa haine envers Shime et moi. Ce qui ne fit qu'augmenter mon envie de la faire craquer. Je jouais avec le feutre du tableau dans mes mains, avant de le reposer sur le bureau. J'avais une sale idée en tête. Très sale. Qui risquait d'en secouer plus d'un... ou d'une. Je m'approchais d'Ayame, posant mes mains sur sa table en me penchant vers lui. J'affichais un sourire, venant poser mes lèvres contre les siennes. Ceci ne me gênait en rien, après tout, j'étais célibataire, je ne devais rien à personne. Et puis, qu'est-ce que ça pouvait être jubilatoire, d'entendre les hoquets et cris de surprise. Que c'est bon, d'être une fille populaire,n parfois... Les mecs ne rechignaient presque jamais à nous embrasser. Ce qui pouvait donner lieu à des scènes très... amusantes, comme celle-ci.

- HIMEKA ! Sale pu...
- T'as un truc à dire peut-être ? que je lui lâchais en la toisant d'un air mauvais.

Nous nous défiâmes du regard pendant un long moment, et puis, sans que je m'y attende, elle se leva et me lança son cahier en pleine figure. Surprise, et malgré mes réflexes, je ne pu l'éviter, et le cahier s'écroula à mes pieds. La tension était palpable dans la salle, les regards passaient de moi, figée, yeux cachés derrière ma frange, à Korete, larmes aux yeux, tremblante, qui se rendait compte de son erreur, et enfin à Shizume, qui risquait fort de rajouter son grain de seul.

Soudain, j'esquissais un grand sourire, ramassant le cahier avant de m'avancer vers Korete, reposant calmement le cahier sur la table. Et puis, la claque partie toute seule, sans que je ne puisse rien faire pour la retenir.

- Refais une seule fois un truc pareil, et à la sortie des cours je t'explose la gueule contre un mur. Pigé, bouffonne ?

Elle tremble, tête baissée, main sur la joue, et bientôt, je vois des larmes rouler sur ses joues, et un sourire de victoire s'invite sur mes lèvres alors que je reviens, guillerette, vers mon amie.

- Pauvre fille, elle va pleurer... Avant de dire ou faire quelque chose, on réfléchit, histoire de savoir si on se sent capable d'assumer mes conséquences.

J'esquisse un sourire des plus angéliques en la regardant, me mettant, l'air de rien, à imiter le petit couinement des cochons d'inde, bientôt suivie par tout le reste de la classe. Elle avait voulu jouer à la petite garce, elle allait voir à quel point Shizume et moi pouvions l'être mille fois plus... Oui, j'étais prête à continuer de la descendre ainsi pendant... longtemps encore.

Le prof ne va pas en revenir

Himeka et Shizume joue un mauvais tour ~

Shizume toujours assise sur le bureau les jambes croisé elle regarder ce qui se passer son air de peste sur le visage. Elle émit un petit gloussement en voyant ce que sa nouvelle amie écrivait au tableau. Elles s'était bien trouvées ses deux peste. Et la pauvre blonde semblait déjà a bout de nerf. C'était un peut décevant pour Shizume qui aurais aimer un jouet qui ne se brise pas si vite.

Elle rit en compagnie de son amie quand la victime des moqueries leurs dit de la fermer. Elle traça avec son doigt le chemin d'une larme sur sa joue comme si elle pleuré

-Bouhouhou on a pris trop cher !

Elle regarda son amie aller vers le jeune homme se doutant qu'elle avait un plan en tête mais elle fut quand même agréablement surprise que la bleu aille embrasser Ayame. Lui aussi fut surpris apparemment mais il ne dit rien et se laissa faire sous les hoquets et cris de surprise. Elle sa l'amusait en faite, et puis personne ne rechigne a se faire embrasser par une fille populaire non ? Elle posa ensuite son regard sur la blonde qui hurla et voulut insulté son amie avant que cette dernière ne la coupe. C'était assez amusant comme scène jusqu’à ce que le cahier arrive en pleine dans la figure d'Himeka, et ca la rousse n'apprécia pas du tout. Si on pouvait lui donner une qualité c'était bien celle de prendre soin et de chérir ses amis. Mais elle gardais un calme magistral, elle laissa son amie réglé ce qu'elle avait a réglé avec la blonde puis dit d'un ton calme et posé

- Himeka enfin ne soit pas si violente !

Elle se leva du bureau et alla vers celui de la blonde. Elle se pencha au dessus de la blonde en question et alla passer une mains sur la joue de sa victime pour séché les larmes qui coulait.

- Regarde la pauvre elle pleure... On dirais un petit cochon d'inde qui a pas eu son maïs se matin

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